Catégories
Uncategorized

Les antidépresseurs augmenteraient les risques de crise cardiaque

Une nouvelle recherche indique un facteur de risque de crise cardiaque un peu plus élevé chez les gens qui consomment des antidépresseurs que chez les autres, rapporte www.nlm.nih.gov.

L’étude cible les antidépresseurs bien connus, comme Prozac et Paxil, mais spécifie que si le risque augmente pour tous les usagers, un seul individu sur 10 000 subirait véritablement une crise cardiaque provoquée par la prise de ces médicaments.

Les statistiques démontrent que les risques sont au plus fort durant les premières semaines et premiers mois d’un traitement.

« Les médecins devraient être au fait de cette association de risque », affirme le Dr Daniel Hackam, professeur associé à la London Health Sciences Center of University Hospital, en Ontario.

Il ajoute : « Cependant, les gens qui ne font pas partie du groupe à haut risque ne devraient pas s’en faire outre mesure. Le risque ultime ne touche qu’un cas sur 10 000. Les risques diminuent grandement si vous êtes un utilisateur de longue date, sans effets précédents ».

Cette recherche analysait les données de 16 études sur le sujet, qui touchaient plus de 500 000 personnes au total.

Catégories
Uncategorized

Des tests sanguins qui annoncent les crises cardiaques

Parmi les gens qui sont à risque de développer des problèmes cardiaques, ceux qui connaissent leurs taux dans le sang de deux marqueurs spécifiques des inflammations seraient mieux protégés.

C’est ce qu’avancent des chercheurs britanniques, des propos rapportés par nlm.nih.gov. Ceux-ci concluent qu’il serait plus facile de prévenir une éventuelle crise cardiaque lorsque l’on connait ces facteurs, identifiables par le biais de tests sanguins.

Ces marqueurs, la protéine C-Réactive et le fibrinogène, sont produits par le foie en réponse à une inflammation dans l’organisme. En les observant, on pourrait ainsi détecter l’imminence d’une possible attaque cardiaque.

Cependant, les chercheurs veulent doser cette affirmation, en expliquant que même si cela est hautement probable, le tout reste sujet à débats. Il est difficile de conclure avec précision combien de vies, en moyenne, pourraient être sauvées grâce à ce système de « dépistage ».

Le Dr Gregg Fonarow, professeur de cardiologie à l’Université de Californie, résume : « Plusieurs études précédentes démontraient que des tests sanguins ciblant les taux de la C-Réactive et du fibrinogène, lorsqu’isolés, pouvaient prédire d’éventuels accidents cardiovasculaires. Cependant, les modèles ne sont pas bien définis et laissent la porte ouverte à bien des débats ».

Catégories
Uncategorized

Le poisson plus efficace que les suppléments d’oméga-3?

Selon une étude publiée par le Dr Luc Djoussé et rapportée par nlm.nih.com, il serait plus bénéfique de consommer du poisson que des suppléments d’oméga-3.

Ce serait vrai en tout cas en ce qui concerne les risques de problèmes cardiaques, l’étude ciblant principalement les liens observables entre les effets du poisson sur le cœur.

Après avoir compilé les données provenant de 20 000 hommes, le chercheur croit pouvoir conclure que le poisson réduit les risques de problèmes cardiaques. Cependant, les effets des oméga-3 vendus en suppléments sont loin d’être aussi convaincants et clairs.

Ces résultats vont de pair avec les recommandations de l’American Heart Association, affirme le Dr Djoussé.

Ces recommandations suggèrent à la population de consommer deux portions de poisson dit « gras » par semaine. On retrouve dans cette liste le saumon, les sardines, le thon et le hareng.

L’étude démontre que le risque de problèmes cardiaques est, en moyenne, diminué de 30 % chez les hommes qui consomment régulièrement du poisson.

La polémique entourant la prise d’oméga-3 en suppléments se poursuit donc, et parions que les débats ne font que commencer.

Catégories
Uncategorized

Le stress lié aux risques de maladies cardiaques

Voici un constat qui ne surprendra personne. Les gens qui déclarent ressentir un haut niveau de stress au quotidien ont plus de risques de développer des maladies cardiaques que ceux qui sont moins stressés.

Même si cela n’a rien de bien étonnant, cette révision de plusieurs études dresse un tableau plus clair des causes à effet, selon nlm.nih.gov.

« Tout le monde sait que le stress est mauvais pour le cœur », lance le professeur Donald Edmundson du Colombia University Medical Center. Il poursuit : « Les preuves ont cependant été disparates au fil des dernières années ».

Cette année, une étude de 200 000 Européens démontrait clairement que ceux qui travaillaient dans un environnement stressant avaient plus de risques de maladies cardiovasculaires que ceux qui ressentent moins de pression de leur emploi.

Aussi, ceux qui possèdent une plus grande liberté d’action professionnelle réduisent grandement le facteur de stress ressenti.

Des études ont par ailleurs suivi des milliers de personnes qui n’avaient aucun diagnostic de problèmes cardiaques, sur une période variant de 3 à 21 ans.

Les chercheurs concluent que les gens stressés voient leur taux d’hormones dans le sang augmenter, et qu’ils sont également plus sujets aux comportements nocifs pour la santé (cigarette, mauvais régime alimentaire, faible activité physique) que les gens plus détendus au travail. Il s’agirait donc d’une cause indirecte, mais très réelle.

Catégories
Uncategorized

Le burnout associé aux risques de crise cardiaque

Le surmenage professionnel pourrait mener tout droit à un infarctus, selon ce que rapporte lanutrition.fr.

D’autres maladies cardiovasculaires pourraient aussi être encouragées par un comportement professionnel excessif.

L’épuisement professionnel, on le sait, se reconnaît par ses symptômes de fatigue émotionnelle extrême, de fatigue physique et certaines difficultés cognitives. Bref, le corps ne répond plus, ou très mal. Il a été établi bon nombre de fois, par plusieurs études, que le surmenage peut facilement mener vers une dépression.

On apprend maintenant qu’il peut tout aussi bien mener à une crise cardiaque, selon une étude effectuée par des chercheurs israéliens effectuée sur 8838 hommes et femmes de 19 à 67 ans. Les patients ont été suivis sur une période moyenne de 3,4 années.

Les résultats sont clairs : les gens qui se surmènent au travail augmentent radicalement leurs chances de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire un infarctus. On parle même de 79 % d’augmentation du risque dans les cas d’épuisement sévère.

Le sport est une arme redoutable pour contrer les effets du surmenage, recommandent les experts. L’activité physique, alliée à un rythme de travail sain, permettrait de faire chuter les risques et de maintenir une bonne santé cardiaque.

Catégories
Uncategorized

Les antioxydants pour contrer les risques de crise cardiaque

Qui ne sait pas, en 2012, que manger beaucoup de fruits est important pour la santé? Ceux qui ne respectent pas cette règle ne pourront certainement pas prétendre ne pas avoir été prévenus.

Voici une nouvelle statistique qui vient s’ajouter à la longue liste déjà connue. On parle cette fois des antioxydants retrouvés dans les fruits, qui pourraient réduire de façon considérable les risques de faire une crise cardiaque. La statistique s’applique d’autant plus sur les femmes d’âge mûr, ciblées ici dans cette étude.

En effet, selon santelog.com, l’étude internationale visant 30 000 femmes âgées, conduite par l’American Journal of Medicine, conclut que la consommation de 6 portions (minimum) de fruits et légumes par jour réduirait les risques d’infarctus de 20 %.

La comparaison se fait avec une personne type qui ne mangerait en moyenne que 2,4 portions par jour.

De plus en plus, les antioxydants sont pointés par les chercheurs comme étant des alliés de taille dans la guerre de la santé. Ce sont des éléments chimiques que l’on retrouve dans plusieurs aliments, à commencer par les légumes verts à feuilles, les céréales complètes, le café et, bien sûr, les fruits.

Catégories
Uncategorized

Les crises quotidiennes chez l’enfant, un indicateur de problèmes mentaux

C’est la chercheuse Lauren Wakschlag, de la Northwestern University Feinberg School of Medicine, qui a procédé au sondage mené auprès de 1500 parents.

Les résultats démontrent que 84 % des enfants d’âge préscolaire ont piqué des crises dans le dernier mois. Cependant, seulement 8,6 % de ces enfants présentaient des crises quotidiennes.

Selon myhealthnewsdaily.com, cette étude fait partie d’une recherche plus étendue sur la distinction entre les crises « normales » et celles représentant un risque de problème de comportement ultérieur.

Ainsi, les parents sont invités à observer les crises de larmes de leurs enfants, leur intensité, leur durée et la vitesse à laquelle l’enfant retrouve son état normal. Il est également important de noter si elles font suite à une réaction de frustration ou de colère, ou sont simplement spontanées et injustifiées.

Wakschlag précise l’objectif de la recherche, publiée dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry. « Il y a un réel danger que les enfants d’âge préscolaire soient mal diagnostiqués, alors que leur comportement est normal, et donc qu’ils soient traités inutilement avec de la médication. C’est ce que nous souhaitons éviter ».

Catégories
Uncategorized

Que faire lorsque votre enfant se met à hurler

On recommande d’abord de trouver ce qui justifie ces cris, ce que l’enfant tente d’exprimer à travers ces hurlements.

Le site parle du hurlement de joie. Si l’enfant heureux se met à crier, vous pouvez le prendre dans vos bras et lui caresser le dos. Il sentira votre présence réconfortante, qui le calmera. Puis, tâchez de lui faire comprendre qu’il peut hurler au terrain de jeu, mais qu’il doit garder son calme à l’intérieur.

Aussi, si l’enfant crie pour attirer l’attention alors que vous êtes au téléphone, par exemple, démontrez que vous ne l’ignorez pas en lui touchant le dos, en l’assoyant sur vos genoux ou en lui souriant.

S’il crie parce qu’il est en colère, attirez son attention sur autre chose que sur ce qui le fâche. Donnez-lui un livre, un objet intriguant ou trouvez-lui quelque chose à faire.

Si vous haussez aussi le ton, l’enfant ne fera que s’énerver davantage. S’il n’y a rien à faire pour calmer ses cris, emmenez-le à l’écart jusqu’à ce qu’il se calme.

Pour ce qui est des bébés, rappelons que le Dr Harvey Karp croit détenir la solution pour les calmer sous forme de routine bien particulière. La méthode consiste à emmailloter serré le bébé dans une couverture, le mettre dans une position de côté, faire des sons de silence (chut), le bercer et lui donner une suce.

Catégories
Uncategorized

Des solutions prometteuses pour la crise de mortalité infantile au Nigeria

Ces nouvelles solutions pour le programme d’immunisation du Nigeria offriraient le meilleur espoir de faciliter l’accès à la vaccination dans les régions les plus éloignées du Nigeria et mettraient ainsi un frein à la vague de mortalité infantile qui sévit au pays.

Entre autres, les experts suggèrent l’établissement d’un fonds gouvernemental pour le programme d’immunisation, des contrats de transports et d’entretient des véhicules qui assurent la livraison des vaccins des réfrigérateurs de l’État jusqu’aux cliniques communautaires, des moyens de transport réfrigérés afin de garder les vaccins à une bonne température ou encore un transfert de fonds conditionnel pour encourager les parents à faire vacciner leurs enfants.

« Le gouvernement du Nigeria a fait des progrès majeurs dans le secteur de l’immunisation de routine durant les trois dernières années, mais les plus belles promesses d’immunisation et de ses bénéfices économiques ne seront pas totalement réalisables jusqu’à ce que les vaccins se rendent à tous les enfants nigériens », dit le directeur général de l’IVAC, Orin Levine.

Rappelons que de récentes projections du Decade of Vaccines Economics ont montré qu’en distribuant des vaccins contre cinq des principales maladies affectant les enfants, le Nigeria pourrait sauver plus de 600 000 vies, en plus d’ajouter à son économie 17 milliards de dollars.

Catégories
Uncategorized

Épilepsie : un médicament pour contrer les crises d’absence

L’enfant est éveillé, mais il est dans un état second. Dans son cerveau, des signaux de haute fréquence se bousculent, viennent et repartent rapidement, et provoquent des crises d’absence des centaines de fois par jour chez les enfants atteints d’épilepsie.

Pour remédier à cette situation et permettre à ces petits d’être concentrés, d’avoir une vie normale et de réussir à l’école notamment, un nouveau médicament, appelé pour le moment Z941 Z944, pourrait être efficace.

Des tests sur des rats en laboratoire ont permis d’éviter 80 à 90 % des crises d’absence chez les rongeurs.

Les résultats de l’étude de chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique, publiés dans la revue Science Translational Medicine, laissent croire que le médicament pourrait avoir le même effet sur les enfants. Les premiers tests sur des cellules humaines clonées le prouvent déjà.

Selon des scientifiques australiens, une mutation dans les canaux calciques de type T du cerveau qui laisse entrer un flux trop élevé de calcium serait à l’origine des crises d’absence épileptiques.

Le nouveau médicament, qui peut être pris en comprimés, permettrait de bloquer le passage du flux.

Toutefois, des ajustements et des études supplémentaires devront être effectués pour que le médicament n’entre pas en conflit avec d’autres fonctions corporelles, comme le rythme cardiaque qui a besoin des canaux calciques.

Les médicaments utilisés pour traiter l’épilepsie ne sont pas totalement aptes à gérer les crises d’absence et provoquent souvent des effets secondaires graves, comme de la somnolence et des troubles de la vision.

Outre l’épilepsie, il semblerait que la douleur chronique pourrait être traitée par ce nouveau remède.