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Hollywood PQ

Marc Labrèche et Vincent Graton dévoilent leur pire critique en carrière

«Il a réussi à détruire mon égo rapidement.»

L’excellent talk-show Je viens vers toi est de retour pour une deuxième saison et chaque semaine des moments très divertissants sont de la partie.

C’est notamment le cas lorsque l’animateur Marc Labrèche était en compagnie de Vincent Graton (qui lui était présent à titre de chakra) et que les deux hommes nous ont partagé l’une de leurs pires critiques respectives reçues en carrière.

On se retrouve dans une semaine 😗✌️🍁Nouvelle case horaire pour l'émission : lundi et mardi 21h à Noovo et sur noovo.ca 🗓#jeviensverstoi #MarcLabrèche #fallvibes

Posted by Je viens vers toi on Monday, September 4, 2023

Un sujet qui est arrivé à la table lorsque que l’invitée du jour, Magalie Lépine-Blondeau, affirmait plutôt bien vivre avec la critique, malgré le fait que Marc théorisait qu’une femme sous le signe astrologique du Lion vivait pourtant souvent mal avec la pression critique.

«Toi Vincent, tu es Taureau! C’est confirmé par France Beaudoin. Je n’ai rien à ajouter là-dessus. Sérieusement, toi, tu vis bien avec la critique, Vincent?», demande ensuite avec humour Marc Labrèche.

«Je m’en sacre pas mal! Je pense que je suis vraiment rendu là! Pas au début de ma carrière. Je me souviens d’une critique terrible de Robert Lévesque (…) Il avait écrit…», débute Vincent Graton.

«Robert Lévesque est le critique du devoir, du théâtre, il y a longtemps», précise alors Marc Labrèche pour le public et les téléspectateurs.

«Il avait écrit: Cet acteur… J’avais 22 ans genre… cet acteur à l’increvable superficialité (…) J’étais rentré dans le bain, je pense que j’ai failli me noyer (…) Il a réussi à détruire mon égo rapidement, mais je suis ressuscité!», lance Vincent.

«Toi, Marc, tu vis bien avec la critique?», veut alors savoir la chakra Pascale Renaud-Hébert.

Quoi de mieux que de retrouver sa grande chum autour de la table grande de l'amitié. 🫂Photo: Ève B. Lavoie

Posted by Je viens vers toi on Tuesday, September 26, 2023

«Oui. Maintenant, oui. Mais, comme Vincent, j’ai eu moi mon premier show de théâtre… c’est un critique qui s’appelait Martial Dassylva dans La Presse, puis qui avait écrit… j’avais 17 ans, c’était au Rideau Vert. Puis, là, il disait: Quand tu as Marc Labrèche, le fils de Gaétan Labrèche, c’est une copie conforme en beaucoup plus pâle et en beaucoup moins bon. À cet âge-là, c’est épouvantable», explique le désormais légendaire Marc Labrèche.

Prenez-vous bien la critique?

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Jeux.ca

Critique – Assassin’s Creed Valhalla

Vous vous demandez peut-être comment les Vikings, le peuple le moins discret au monde, peuvent être le point central d’un jeu d’infiltration comme Assassin’s Creed? Mini-spoiler, question de vous mettre en contexte: les protagonistes sont approchés par deux membres des «Hidden Ones», une organisation qui deviendra la confrérie des assassins. Si leur habit blanc avec accent rouge n’était pas assez pour vous le faire comprendre, ce le sera sûrement lorsqu’ils donneront à votre personnage la fameuse lame cachée qui lui permettra de faire des assassinations comme dans le bon vieux temps. 

L’introduction de Valhalla est géniale. Elle nous immerge dans le monde cruel des Vikings des années 870. Les traumas d’enfances nous peignent un portrait clairement défini du héro du jeu, qui figure parmi les plus mémorables de la série.

Au milieu de tous ces cris de guerre, de la bière et des décapitations, j’avoue être bien heureux d’avoir choisi d’incarner la version féminine d’Eivor, le protagoniste de Valhalla. Ça élimine déjà une grosse partie de la toxicité de conquérant, prêt à tuer tout le monde pour marquer son territoire. Après Kratos, Hades (dans… Hades), et l’omniprésence des clones de Jason Momoa, un répit du «mâle barbu fâché» est grandement apprécié. (Par contre, l’héroïne tombe aussi dans un archétype : elle est Furiosa dans Mad Max, mais bon, c’est déjà mieux!)

On vous offre le choix, mais pour la première fois, vous pouvez incarner la version féminine et masculine «en même temps». On nous explique qu’il y a un glitch dans l’animus et qu’il n’arrive pas à être certain du sexe d’Eivor, alors vous pouvez aussi choisir de laisser l’animus décider, et vous alternerez à chaque chapitre.

Des trésors, du mystère et des artéfacts

Après 4 heures à se promener sur les montagnes enneigées de la Norvège, le prologue se termine et on retrouve rapidement le Assassin’s Creed qu’on connaît, pour le meilleur et pour le pire. Une fois qu’Eivor et sa bande débarquent en Angleterre pour continuer leur conquête, on a accès à la carte complète à monde ouvert de Valhalla et on tombe rapidement dans nos vieilles habitudes. On ouvre la carte pour réaliser qu’elle pullule de points de synchronisation et de points d’intérêt qui se séparent en 3 catégories: trésors, mystères et artéfacts. 

Les trésors sont bien souvent au milieu de camps ennemi, vous donnant une raison d’aller croiser le fer avec ces pauvres gens qui n’ont rien demandé. Sinon, les trésors sont cachés au fond d’une grotte inaccessible ou d’un bâtiment sans ouverture. Ça devient alors un casse-tête: il faut peut-être détruire le cadenas à l’intérieur de la maison en visant à travers une fenêtre, plonger dans un lac pour trouver un passage englouti sous l’eau, ou remarquez une série d’arbres qui nous donnera accès à une fenêtre autrement inatteignable. C’est presque du géocaching virtuel. Parmi les trésors, on retrouve de nouvelles armes ou pièces d’équipement, des attaques spéciales, des coffres pleins de ressources et bien sûr quelques pièces de monnaie.

Les mystères sont de petites missions secondaires qui sont là pour étoffer l’univers du jeu, et nous divertir. Si les missions d’Origins étaient plutôt semblables l’une de l’autre (SVP sauvez mon mari prisonnier d’une forteresse), ici, c’est absolument le contraire. Je n’arrive pas à dire si c’est nécessairement une bonne chose: les missions sont excessivement farfelues! Aider un homme à se suicider, donner des œufs de vipère à une prisonnière pour qu’elle produise le gaz le plus odorant possible, retirer une hache dans la tête d’un passant, battre un grand-père à main nue pour le libérer d’une malédiction, bref, ce n’est que quelques exemples, mais les autres qui me viennent à l’esprit sont tout aussi étrange. C’était parfois le cas dans Odyssey, mais dans Valhalla, c’est poussé à l’extrême.

Les artéfacts sont les «collectibles» du jeu. Ils sont parfois de simples objets romains à trouver au milieu de ruines. C’est aussi le retour des feuilles volantes de Black Flag, qui testeront vos talents de parkour. Si vous vous retrouvez dans un paysage lugubre presque en noir et blanc, c’est qu’une sphère de malédiction est quelque part autour de vous. Vous devez la détruire pour que tout redevienne normal. D’ailleurs, je profite de ce point pour pointer le fait que la série semble s’éloigner de plus en plus de ses racines historiques. Le surnaturel et la mythologie sont de plus en plus présents. 

On vous indique combien d’éléments de chacune des catégories (trésors, mystères, et artéfacts) se trouvent dans chacune des régions, ce qui poussera les complétionistes à passer au peigne fin le paysage verdoyant.

Ç’a d’ailleurs été un problème pour moi depuis les tout débuts de la série, mais plus particulièrement dans Origins, Odyssey, et Valhalla. Si la prochaine mission de la campagne se trouve à l’autre bout de la carte, je ne peux m’empêcher de jouer à connecter les points sur la carte, tentant de terminer le moindre objectif sur mon chemin. Assurément, mes séances de jeux sont plus longues, mais aussi moins significatives par rapport au progrès de la campagne. 

Fidèle à ses habitudes

Le plus gros point négatif de Valhalla, c’est Odyssey. Deux ans après sa sortie, je n’avais pas encore eu le temps de m’ennuyer de la franchise. Il faut dire que depuis Origins, les Assassin’s Creed sont de plus en plus longs, d’une part parce que le public se plaint des jeux trop courts (même si quantité égale rarement qualité dans les jeux vidéo), puis aussi parce que les microtransactions et les DLC sont beaucoup plus présent aujourd’hui. 

Pire: les différentes régions sur la carte requièrent que notre personnage soit d’un niveau supérieur à un chiffre suggéré (depuis Origins), ce qui nous force à compléter les activités secondaires. Au début on le fait pour le plaisir, mais si vous en avez assez des tâches répétitives, vous serez parfois heurté à un mur si vous souhaitez continuer la campagne. S’il était possible de compléter à 100% un Assassin’s Creed II en 35 heures, Odyssey en demandait plus de 130 (données selon HowLongtoBeat.com). Certains joueurs seront ravis d’avoir autant de contenu, tandis que ceux qui ont moins de temps libre devront étirer l’aventure sur plusieurs mois. Impossible pour le moment de dire combien de temps Valhalla nécessitera, mais je confirme qu’il suit la tendance des deux derniers.

Heureusement, la carte de Valhalla semble plus raisonnable par rapport à l’immensité de celle du dernier jeu. Votre village se trouve au centre de la carte ce qui fait déjà une partie du boulot, puis les disques SSD de la PS5 et la Xbox Series allège grandement la téléportation d’un point de synchronisation à l’autre.

Douzième jeu Assassin’s Creed en treize ans. Je vous mentirais si je vous disais que tout sent encore le char neuf. En même temps, j’ai du mal à lui reprocher sa répétitivité, puisqu’au final, le produit est exactement ce qui nous a été vendu. On tombe dans nos pantoufles, dans une routine réconfortante de jeu à monde ouvert, puis soudainement, 4 heures se sont passées sans que l’on ne s’en aperçoive.

La grosse nouveauté, c’est les pillages très «vikings» qui remplacent la conquête de fort. Vous arrivez devant une forteresse ennemie, soufflez dans votre corne et votre bande débarque en criant, déchaînant leur rage jusqu’à ce que l’endroit soit vide. Même si ça brise les conventions de la série, sachez que la meilleure stratégie reste de s’infiltrer au préalable et d’éliminer quelques gardes, question de ne pas se retrouver en désavantage numérique lors du massacre. Puis ces «raids» ne sont pas utilisables sur tous les camps ennemis. Vous serez donc seul la majeure partie du jeu, donc la discrétion est plus souvent de mise, même si la confrontation directe à la hache est une option (un peu comme dans Far Cry, où l’on peut choisir d’éliminer les ennemis avec son arc de loin, ou de décimer un endroit au lance-flamme).

À mon grand désarroi, il n’est plus possible d’utiliser son aigle pour identifier manuellement les ennemis autour de soi. On doit plutôt se servir de la vision d’Odin: on clique sur le joystick droit pour révéler les objets ou ennemis qui se trouvent dans un rayon autour de nous. Mon problème avec cette technique, c’est qu’il faut appuyer à nouveau lorsqu’on se déplace, pour «rafraîchir» ce pouvoir. C’est donc plus difficile de planifier nos stratégies d’infiltration puisque notre vision est limitée à ce qui est relativement proche: pas toujours une bonne nouvelle dans un jeu avec des archers.

Un jeu cross-gen, ne l’oublions pas

Assassin’s Creed Valhalla se trouve dans une drôle de position. Il sort en même temps que les nouvelles consoles, alors il est utilisé comme titre phare pour démontrer la puissance des nouvelles machines. C’est la même situation que Black Flag, excepté que cette fois, le consommateur n’est pas forcé de payer une deuxième fois s’il change de console.

Souvenez-vous que le vrai saut de génération dans la série s’est fait avec Unity, le premier titre qui était uniquement «next-gen» et le premier à utiliser AnvilNext 2.0, une nouvelle version du moteur de jeu d’Ubisoft. Tous les jeux depuis Unity, y compris Valhalla utilisent encore cette même version de l’engin. La différence, c’est que les nouvelles consoles peuvent nous donner le maximum de performance et enfin nous donner résultat fluide (60fps), même si la résolution est augmentée à 4k.

J’ai joué à la version Xbox One (S) de Valhalla. C’était tout à fait jouable, mais sachant que la PS5 et Series X nous attendent au coin, le 30 FPS, 1080p et les textures parfois basses résolutions ne pouvait que me donner hâte à la nouvelle génération. Si vous ne prévoyez pas passer aux nouvelles consoles, mais voulez jouer à Valhalla, je ne le vous déconseille pas non plus: il sera alors semblable à ce que vous avez vu dans Origins et Odyssey. 

Somme toute, il fait partie des «bons Assassin’s Creed» avec assez de viande autour de l’os pour vous occuper pendant bien longtemps.

Note finale

8 / 10

Un texte de Martin Brisebois de Jeux.ca

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Cinéma

Critiques unanimes pour le « Blade Runner 2049 » de Denis Villeneuve

Denis Villeneuve ne finira probablement jamais de nous étonner.

Cette fois, il met les critiques hollywoodiennes dans sa petite poche arrière avec son « Blade Runner 2049 », rapporte EW.

Les premiers visionnements de presse donnent en effet lieu à des critiques dithyrambiques, unanimes et presque irréelles. D’autant plus que le défi de concocter une suite au Blade Runner de Ridley Scott de 1982 était considéré comme quasi insurmontable dès le départ.

Certains parlent d’un film « à couper le souffle », « hallucinant », d’autres d’un « chef d’oeuvre » ou encore d’un « coup de circuit ».

Denis Villeneuve pourrait donc, lui et son équipe, se retrouver encore une fois en pleine course aux Oscars, en plus de s’installer définitivement parmi les géants de Hollywood.

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Potins

Coeur de Pirate affectée par une critique virulente

Coeur de Pirate a eu du mal à digérer les propos d’une personne en ligne, personne qui semble ne pas avoir apprécié la soirée passée lors d’un concert de l’artiste, et qui n’a visiblement pas encore appris le sens du tact.

Au lieu de passer son chemin, Coeur de Pirate a décidé de partager l’incident sur son compte Instagram, tout en offrant une réponse à ce détracteur.

« Pour vrai, je fais rarement ça mais là c’est trop. Hier j’ai fait un concert en début de maladie, où j’ai du sortir 2 fois seulement pour essayer de ne pas être malade sur scène. Je suis sincèrement désolée que ton expérience n’aie pas été à la hauteur, vraiment. Mais je veux juste expliquer que les conséquences d’annuler ou de reporter un concert sont toujours plus grandes. Il y a des gens qui ne travailleront pas ce soir là, il y a des musiciens ou des techniciens qui ne pourront pas faire le spectacle, il y a des gens qui attendent ce soir là spécifiquement et qui ne pourront pas revenir si c’est reporté, sans parler des assurances, du diffuseur, d’une salle.. bref, ça repose beaucoup sur moi et ma santé. Si je suis incapable de faire le show, je ne le fais pas. Si j’arrive à monter sur scène je le fais parceque je ne veux décevoir personne. Donc je m’excuse, sincèrement. Je pense aux gens qui ont apprécié mes commentaires qui font que je suis la personne que je suis, mais si ce n’est pas pour toi…c’est pas grave. Tu peux passer à autre chose, mais comprends les faits : je suis heureuse de monter sur scène, ça m’aide énormément. Ce que tu me dis n’éclipse pas ce que les gens qui aiment ont pensé de moi mais au moins comprend ce qui est en jeu avant de laisser ce genre de commentaire », écrit-elle (intégral).

Évidemment, plusieurs fans se sont portés à la défense de la chanteuse québécoise en lien avec cette publication.

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Safia Nolin répond à ses détracteurs

La nouvelle venue Safia Nolin a reçu son baptême d’intimidation en ligne au cours des derniers jours, elle qui a été critiquée sur son apparence.

Visiblement un peu ébranlée, mais toujours solide, la chanteuse a offert une réponse à ses détracteurs au cours des dernières heures.

« Hier, c’était comme un beau grand rêve qui finissait pu. Le PLUS beau cadeau, Andréanne pis Phil qui me donnent le Félix de révélation. Jouer avec mes merveilleuses amies, rencontrer la reine du monde, Céline. ÊTRE MOI-MÊME, SAFIA. », écrit la jeune femme sur son compte Facebook.

Un message aimé et partagé par de nombreux fans, qui semblent visiblement en avoir marre qu’une artiste, ou une personne en général, puisse se faire juger sur son apparence en 2016.

« Même les filles qui se sont fendues en quatre pour se trouver une robe se font quand même juger », note d’ailleurs un internaute.

Outre le prix de la Révélation de l’année, Safia Nolin a également remporté celui du Clip de l’année lors du Premier Gala.

Son album comprenant son extrait Igloo, Limoilou, a été lancé à l’automne 2015.

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Excellente critique pour Les beaux malaises en France

L’adaptation de l’émission Les beaux malaises obtient un succès évident.

Après une belle réception du public, voilà que Le Figaro propose une critique du nouveau produit de M6 qui aura de quoi faire plaisir à la star de la nouvelle mouture de l’émission, Franck Dubosc, mais aussi à son créateur original québécois, Martin Matte.

Ce dernier n’a d’ailleurs pas manqué de partager l’article du Figaro sur sa page Facebook.

« On a beau dire, un article de même, ça fait plaisiiiiiiiiir! », lance Matte sur le réseau social, un message accompagné du lien menant vers la critique.

Le Figaro parle d’un « souffle nouveau au genre », et d’un produit « efficace », au grand bonheur de M6, on imagine.

Découvrez ici l’excellente critique proposée par le journaliste du Figaro, Damien Mercereau.

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Eugenie Bouchard sévèrement critiquée

« Genie » était de passage à Québec depuis quelques jours pour la Coupe Banque Nationale, et ce tournoi se sera terminé de manière abrupte pour la joueuse canadienne.

Eugenie Bouchard s’est inclinée 6-2 et 6-3 contre Alla Kudryavtseva, et a commis plusieurs fautes.

Cependant, ses pires fautes semblent avoir été commises en dehors du cadre du match.

En effet, il semble qu’une partie des loyaux admirateurs et membres de la « Genie Army » se soient retournés contre la blonde athlète après non seulement une performance jugée extrêmement laborieuse, mais aussi pour sa décision d’avoir refusé de saluer ses partisans et de parler aux médias après sa défaite expéditive.

Plusieurs avaient encore sur le coeur sa sortie virulente contre le Hilton Québec, quelques heures auparavant, alors qu’Eugenie Bouchard blâmait l’établissement hôtelier pour des bruits qui l’auraient empêchée de dormir en paix.

Si le mécontentement des fans s’est fait entendre dès la fin du match de Bouchard avec quelques huées, la grogne contre l’attitude et le rendement de celle qui était à ce moment 48e joueuse mondiale s’est transportée sur les réseaux sociaux.

Plusieurs semblent avoir atteint la limite de leur patience dans le cas de la joueuse de tennis, et de nombreux commentaires parfois sarcastiques, parfois carrément peu élogieux, peuvent facilement être trouvés en ligne.

La lune de miel entre Eugenie Bouchard et plusieurs partisans semble donc terminée.

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Emily Ratajkowski ne s’en laisse pas imposer

Emily Ratajkowski avait laissé pantois bien des admirateurs lors de sa présence à une fête organisée par Harper’s Bazaar, portant une robe qui en laissait bien peu pour l’imagination.

Un choix qu’a rapidement critiqué Tim Gunn, de Project Runway, alors qu’il était l’invité de l’émission Fashion Police.

« Si je voyais ça à une fête, tout ce que je pourrais faire serait de boire. Je ne pourrais pas manger. La robe est si vulgaire et révélatrice. Pourquoi porter quoi que ce soit alors? Pourquoi ne pas juste l’enlever? », déclarait alors Gunn, en se questionnant sur l’impact des réseaux sociaux sur le choix vestimentaire osé de plusieurs célébrités.

Mais Emily Ratajkowski ne semble pas du genre à se laisser insulter.

Celle qui avait justement signé un article pour Glamour s’attardant aux doubles standards sexistes de notre société s’en est prise à Tim Gunn sur Twitter.

« Quand j’ai écrit mon article pour Glamour, je pensais aux hommes qui traitent les femmes sexy de chercheuses d’attention. Je ne pensais même pas aux animateurs d’émissions de télévision nationale qui traite les femmes de vulgaires parce qu’on peut voir leurs estomacs. Les hommes occidentaux en 2016 : ils veulent bannir les femmes de l’extérieur du pays qui se couvrent volontairement à la plage, mais veulent ensuite que les femmes cachent leurs corps « vulgaires » à la maison. En 2016, pourquoi continuer à essayer de dicter ce que les femmes peuvent porter », lance avec aplomb Emily Ratajkowski.

Tim Gunn, 63 ans, n’aurait pas encore répondu à la contre-attaque de la star de Gone Girl.

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Pénélope McQuade en furie

Pénélope McQuade croit que l’émission Les Échangistes présentée sur ICI Radio-Canada Télé est victime d’un traitement injuste, ce qui met l’animatrice en colère.

Après de nombreuses critiques désastreuses, Pénélope McQuade s’est confiée à Paul Arcand, au 98,5 Montréal.

« Je pense que la télévision publique peut offrir de tout. On arrive avec des formats qu’on essaie de développer, puis on nous dit que c’est merdique. Ce qui est difficile, c’est qu’on dirait qu’on doit répondre aux critères de tout le monde à tous moments », lance McQuade en rappelant que Les Échangistes est un concept local, au contraire de Tout le monde en parle ou de La Voix, par exemple.

Pénélope McQuade croit par ailleurs qu’il est difficile de créer des offres plus ciblées avec les obligations de rendement actuel.

«Je suis la première à trouver qu’il n’y a pas assez de culture à la télé … ce type d’émission semble incompatible avec une télé grand public et des revenus publicitaires suffisants», conclut l’animatrice, des propos rapportés par le Journal de Québec.

Les Échangistes est présenté du lundi au jeudi, à 21H, et remplace en quelque sorte l’ancienne émission de Pénélope McQuade, qui portait son nom.

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Tina Fey se moque des Oscars

Tina Fey n’a pas été impressionnée par l’étalage des valeurs sociales des grands de l’Industrie lors de la récente cérémonie des Oscars.

La brillante comédienne américaine n’a pas mâché ses morts lorsqu’invitée à commenter sa soirée des Oscars dans les studios d’Howard Stern, sur Sirium XM.

« Je dirais que le fait d’être aux Oscars, et je ne sais pas si vous ressentez la même chose quand vous allez là-bas, mais ça me rend très fière d’habiter ici (New York). Parce que rendu à la moitié, je me disais : c’est vraiment de la merde hollywoodienne », lance Tina Fey.

« Tout le monde me disait quoi faire et c’était genre, les gens crient à propos des agressions sexuelles ou de l’avidité capitaliste, ou encore des changements climatiques. J’étais genre : allons, choisissez une direction. On me balançait trop de choses au visage. Aussi, vous êtes tous riches, alors pourquoi vous criez contre l’avidité des corporations? », ajoute l’ex-vedette de 30 Rock.

Tina Fey a eu de bons mots pour Caitlyn Jenner, avec qui elle souhaitait vraiment prendre une photo, mais en vain.

« J’essayais d’avoir un contact visuel avec elle, mais elle ne voulait rien savoir », explique avec humour Fey, qui aura finalement été prise en photo malgré elle par le joueur de la NFL Michael Strahan.

« Ça ne m’a pas dérangé. J’aime prendre des selfies avec les gens super grands, parce que ça rend plus belle », lance Tina Fey en conclusion.