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Les meilleures destinations golf pour cet hiver

Le golf connait un succès étonnant au Québec, considérant la longueur de l’été que l’on a, par rapport à celle de l’hiver. Cela n’empêche pas bon nombre de Québécois, hommes et femmes, de s’adonner à ce sport durant toute la saison estivale.

Une fois l’automne venu, on range les bâtons et… mais attendez, pourquoi ranger les bâtons alors que plusieurs destinations voyages accessibles offrent parmi les meilleurs parcours de golf au monde!

Si cette idée vous fait envie, pensez d’abord à Cuba et à la République dominicaine. Ces deux endroits proposent des parcours à couper le souffle (comme le Varadero Golf Club) et, comme on le sait, plusieurs forfaits très abordables sont offerts aux Québécois qui veulent y séjourner.

Le Mexique est également une destination de choix quand on pense au golf hivernal. Une panoplie de somptueux terrains sont proposés (Manzanillo, Puebla, Querétaro, Puerto Vallarta et Monterrey), sur des toiles de fond paradisiaques uniques aux paysages mexicains.

Pour terminer, LeVoyageur.net suggère les Bahamas comme destination-golf par excellence. Les terrains sont si magnifiques, au cœur des îles, que la PGA y tient même l’une de ces plus belles épreuves de l’année.

Ne reste plus qu’à convaincre l’être aimé de vous laisser jouer au golf en hiver…

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Les meilleures destinations golf pour cet hiver

Le golf connait un succès étonnant au Québec, considérant la longueur de l’été que l’on a, par rapport à celle de l’hiver. Cela n’empêche pas bon nombre de Québécois, hommes et femmes, de s’adonner à ce sport durant toute la saison estivale.

Une fois l’automne venu, on range les bâtons et… mais attendez, pourquoi ranger les bâtons alors que plusieurs destinations voyages accessibles offrent parmi les meilleurs parcours de golf au monde!

Si cette idée vous fait envie, pensez d’abord à Cuba et à la République dominicaine. Ces deux endroits proposent des parcours à couper le souffle (comme le Varadero Golf Club) et, comme on le sait, plusieurs forfaits très abordables sont offerts aux Québécois qui veulent y séjourner.

Le Mexique est également une destination de choix quand on pense au golf hivernal. Une panoplie de somptueux terrains sont proposés (Manzanillo, Puebla, Querétaro, Puerto Vallarta et Monterrey), sur des toiles de fond paradisiaques uniques aux paysages mexicains.

Pour terminer, LeVoyageur.net suggère les Bahamas comme destination-golf par excellence. Les terrains sont si magnifiques, au cœur des îles, que la PGA y tient même l’une de ces plus belles épreuves de l’année.

Ne reste plus qu’à convaincre l’être aimé de vous laisser jouer au golf en hiver…

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Déjà un million de touristes à Cuba en 2011

L’attrait des plages cubaines sur la clientèle touristique continue de faire son effet, alors que le pays a déjà enregistré son millionième visiteur en 2011.

Cuba est de plus en plus une destination soleil choisie par les touristes durant les saisons froides nordiques. D’ici la fin de l’année, le Bureau de tourisme de Cuba croit qu’environ 2,7 millions de visiteurs auront posé pied au pays, la plupart d’entre eux pour profiter des plages de réputation internationale.

Si ce chiffre de touristes est atteint, il s’agira d’une augmentation de plus de 10 % par rapport à l’année dernière.

Parmi les pays qui fournissent le plus de visiteurs à Cuba, on note le Canada, la Russie, l’Argentine, le Royaume-Uni, le Chili, la Pologne, le Venezuela et la Belgique.

Toujours selon le Bureau de tourisme de Cuba, la reprise des croisières ainsi que l’amélioration de l’infrastructure hôtelière à Cayo Santa Marie et à Varadero ont contribué à cette augmentation touristique.

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Cuba – Les festivals cubains

Depuis une dizaine d’années, les carnavals renaissent peu à peu de leurs cendres et retrouvent leur fièvre originelle. Au cours de ces jours et de ces nuits survoltés, c’est une explosion de couleurs, de musiques et de gaieté qui envahit les rues.

À Santiago de Cuba, le musée du Carnaval, situé dans la rue Heredia bordée de très belles maisons coloniales, présente des salles entièrement consacrées à l’histoire de la manifestation organisée dans la ville, avec ses caractéristiques spécifiques du fait notamment de ses origines qui mêlent des influences espagnole, africaine et franco-haïtienne. Un métissage de cultures qui a engendré une grande diversité de danses, de rythmes et de costumes colorés. C’est certainement le carnaval le plus spectaculaire de Cuba.

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Cuba – Le meilleur de Cuba

Les cigarières roulent avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona. Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman.

Le rhum brut est fabriqué à Cuba depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains.

Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.

Connu et bu dans le monde entier, le Cuba libre ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Cuba – La Havane

À la place d’Armes, prenez quelques minutes pour bouquiner auprès des dizaines de kiosques en plein air. Tout près, rendez-vous au Castillo de la Real Fuerza, la plus vieille forteresse de Cuba qui accueille maintenant un musée. À quelques pas de là, voyez la Catedral de San Cristóbal. C’est un bel endroit pour faire une pause repas tout en admirant l’architecture coloniale espagnole. Empruntez ensuite la magnifique rue Obispo ou les rues transversales. Au gré de votre inspiration, faites un arrêt dans les nombreux cafés, boutiques ou musées.

Plus à l’Ouest, vous retrouverez le Capitolo, cet édifice grandiose abrite l’Académie des Sciences de La Havane. À l’intérieur, on peut y admirer une énorme statue de bronze, La República, il s’agit de la troisième plus grosse statue intérieure au monde. Plusieurs grands hôtels sont situés tout autour.

Juste derrière le Capitolo, ne manquez pas de visiter la Real Fábrica de Tabacos Partagás. 700 ouvriers produisent 5 000 cigares par jour dans cette fabrique de tabac. Votre randonnée sera complète en visitant à quelques mètres de là le quartier chinois de La Havane. De petites terrasses vous attendent pour déguster un repas asiatique typique.

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Dossier moyen (600 mots)

Caraïbes : Toute la magie des carnavals

Guadeloupe
Le carnaval de la Guadeloupe a débuté le 9 janvier 2011. C’est parti pour deux mois de liesse jusqu’à la grande parade du Mardi gras, et le mercredi des cendres, on brûlera Sa Majesté Vaval, le 9 mars 2011. Tous les groupes de déboulés (défilés) et les mas, ces groupes carnavalesques traditionnels, sont prêts, tandis que les neg gwo siwo (à l’origine tous les gens qui ne peuvent se payer un costume) s’enduisent le corps de sirop de sucre de canne et s’amusent à effrayer les enfants. Tous les week-ends, les défilés mettent le feu dans les têtes et dans les corps.
 
Martinique 
Le carnaval martiniquais est, comme son cousin guadeloupéen, placé sous la royauté de Sa Majesté Vaval, un mannequin géant fait de paille, de papier et de tissu, promené sur un char fleuri dans les rues de la ville. Le temps fort du carnaval de la Martinique se situe entre le Samedi gras et le mercredi des cendres, du 5 au 9 mars 2011. Pendant ces jours de liesse, ce ne sont que rires, musiques, défilés, couleurs… Les reines nouvellement élues défilent dans Fort-de-France. Le lundi, les cortèges de toutes les villes du sud de l’île se rassemblent pour la Grande Parade du Sud. Le mardi, les diables rouges défilent dans toutes les communes importantes. Le mercredi des cendres, Sa Majesté Vaval est morte, brûlée, et tout le monde est habillé en noir et blanc. Dès le lendemain, la Martinique se plonge dans l’abstinence des 40 jours de Carême.
 
Saint-Martin
Chaque année, Saint-Martin est le cadre d’une des plus grandes fêtes des Antilles. Côté français, le carnaval se déroulera du 25 avril au 2 mai 2011. Au programme : concours de danses, de costumes et de beauté, plumes, paillettes et rythmes endiablés… La parade des danseurs fait le tour de Marigot, suivant les camions « sono » jusqu’à la tombée de la nuit, et au Carnaval Village, la fête bat son plein. Un fantastique monde de sensations!
 
Cuba
Cuba se découvre au rythme des fêtes populaires, telles que les Parrandas de Remedios (Villa Clara) ou celles de Bejucal (La Havane), et des carnavals (à La Havane et à Santiago de Cuba en juillet). Depuis une dizaine d’années, les carnavals renaissent peu à peu de leurs cendres et retrouvent leur fièvre originelle. Au cours de ces jours et de ces nuits survoltés, c’est une explosion de couleurs, de musiques et de gaieté qui envahit les rues. À Santiago de Cuba, le musée du Carnaval, situé dans la rue Heredia bordée de très belles maisons coloniales, présente des salles entièrement consacrées à l’histoire de la manifestation organisée dans la ville, avec ses caractéristiques spécifiques du fait notamment de ses origines qui mêlent des influences espagnole, africaine et franco-haïtienne. Un métissage de cultures qui a engendré une grande diversité de danses, de rythmes et de costumes colorés. C’est certainement le carnaval le plus spectaculaire de Cuba.
 
République dominicaine
En République dominicaine, d’innombrables festivités ponctuent l’année, à commencer par les carnavals, hauts en couleur, qui se tiennent en février, en mars et en août. Les plus impressionnants ont lieu à Saint-Domingue, à La Vega, à Monte Cristi, à Santa Barbara de Samana, à San Pedro de Macoris et à Santiago. Le carnaval de La Vega est le plus réputé de la République dominicaine. Des diables aux masques de papier mâché défilent dans leurs longs manteaux décorés de petits miroirs et de clochettes, brandissant des fourches et des vessies pleines d’eau en menaçant les spectateurs. La fête s’achève le soir dans une débauche de nourriture et de boisson au son du merengue.
 
Trinidad et Tobago
Le carnaval de Trinidad et Tobago est considéré par beaucoup comme le plus important des Caraïbes. Il s’agit d’un vrai carnaval populaire où toute la population revêt de magnifiques costumes et danse dans les rues au son du calypso. Le point culminant du carnaval est le défilé des groupes musicaux, un grand concours de steelband qui se tiendra cette année du 7 au 9 mars 2011.
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Cuba veut revoir les bateaux de croisières dans ses ports

En 2006, Fidel Castro, alors au pouvoir, avait déclaré que l’arrêt des bateaux de croisières dans les ports de Cuba n’était qu’une occasion pour ceux-ci de déverser leurs déchets sur son territoire et cela avait refroidi l’envie des opérateurs de s’y rendre.

En 2005, 100 000 croisiéristes avaient chacun injecté de 50 $ à 200 $ dans l’économie cubaine, alors que l’an dernier, seulement 10 000 d’entre eux ont débarqué sur l’île.

Maintenant à la tête du pays, Raoul Castro tente de rapatrier vers Cuba ces immenses paquebots remplis de touristes fortunés.

Les autorités cubaines sont en cours de négociations avec plusieurs compagnies de croisières européennes afin d’attirer plus de bateaux et déjà, plusieurs ententes auraient été signées.

Un des facteurs qui ont ralenti la présence de bateaux de croisière depuis 2006 serait aussi le rachat, à cette époque, de la société espagnole Pullmantur Cruises par Royal Caribbean Cruises, une entreprise de Miami.

Comme l’embargo américain existe toujours, celle-ci ne peut plus s’y rendre depuis qu’elle est de propriété américaine.

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Cuba veut revoir les bateaux de croisières dans ses ports

En 2006, Fidel Castro, alors au pouvoir, avait déclaré que l’arrêt des bateaux de croisières dans les ports de Cuba n’était qu’une occasion pour ceux-ci de déverser leurs déchets sur son territoire et cela avait refroidi l’envie des opérateurs de s’y rendre.

En 2005, 100 000 croisiéristes avaient chacun injecté de 50 $ à 200 $ dans l’économie cubaine, alors que l’an dernier, seulement 10 000 d’entre eux ont débarqué sur l’île.

Maintenant à la tête du pays, Raoul Castro tente de rapatrier vers Cuba ces immenses paquebots remplis de touristes fortunés.

Les autorités cubaines sont en cours de négociations avec plusieurs compagnies de croisières européennes afin d’attirer plus de bateaux et déjà, plusieurs ententes auraient été signées.

Un des facteurs qui ont ralenti la présence de bateaux de croisière depuis 2006 serait aussi le rachat, à cette époque, de la société espagnole Pullmantur Cruises par Royal Caribbean Cruises, une entreprise de Miami.

Comme l’embargo américain existe toujours, celle-ci ne peut plus s’y rendre depuis qu’elle est de propriété américaine.

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Les Américains côtoieront les Canadiens à Cuba cet hiver

Partout où l’on voyage, il n’est pas rare de croiser des touristes américains. Toutefois, un petit pays réussissait à résister encore et toujours depuis près de 50 ans au tourisme provenant des États-Unis : Cuba.

Depuis le célèbre embargo décrété par l’Oncle Sam au début des années 1960, les ressortissants américains n’avaient pas le droit de se rendre à Cuba.

Dernièrement, après de multiples rencontres entre les autorités des deux pays en matière de tourisme et avec la venue de Raoul Castro à la tête du pays, en remplacement de son frère Fidel affecté par le cancer et trop faible pour gouverner, les Américains pourront de nouveau inscrire à leur horaire un séjour sur les magnifiques plages cubaines.

Il y a néanmoins un bémol : les Américains pouvant se rendre à Cuba doivent être de nationalité cubaine. Pour contourner cet embargo, plusieurs autres Américains de souche transitent désormais par le Mexique ou un autre pays pour se rendre sur la petite île.