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Les émissions de cuisine au banc des accusés

À la suite du succès fracassant des premières émissions de téléréalité, le genre s’est développé en une panoplie de sous-catégories plus pointues, qui visent différents aspects de la société et divers environnements ou milieux de travail. C’est le cas, entre autres, des cuisines et des grands chefs.

Les émissions culinaires ont d’ailleurs la grosse cote auprès des Nord-Américains, et plusieurs d’entre elles connaissant des succès fracassants sur les ondes de plusieurs stations.

Voilà que des chercheurs se sont penchés sur le phénomène et ont cherché à savoir si cette programmation gastronomique pouvait cacher un côté plus sombre. Ils placent donc maintenant les émissions de cuisine au banc des accusés avec les résultats de cette étude, selon ce que rapporte santelog.com.

Les gens seraient plus enclins à consommer des calories, des aliments sucrés ainsi que des plats plus gras après avoir visionné une émission de cuisine à la maison.

Analysant les comportements de 80 jeunes adultes (des étudiants en psychologie), les chercheurs ont observé qu’après avoir visionné dix minutes d’une telle émission et se voir ensuite offrir toute une série de plats différents, des bons et des mauvais, les participants préféraient ingérer les mauvais.

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Un nouvel allié santé : la canneberge

Un aliment peu utilisé dans les cuisines, la canneberge, aurait avantage à l’être, selon ce que propose topsanté.com.

En effet, il appert que le petit fruit apporte son lot d’avantages pour la santé. Il lutterait d’abord contre les radicaux libres, responsables du vieillissement des cellules, grâce aux fameux antioxydants qu’il contient.

De plus, il protègerait contre les risques d’ulcères d’estomac, de plaque dentaire et de parodontite. Comme la canneberge prévient les bactéries de se coller aux muqueuses, elle protègerait donc également contre les cystites et les infections urinaires.

Ceux qui sont aux prises avec une infection de ce genre sont conviés à consommer 30 centilitres de jus de canneberges par jour (ou 36 milligrammes).

On note aussi ses bienfaits dans la lutte contre le mauvais cholestérol, grâce aux polyphénols contenus dans la petite baie.

Au final, on constate que presque tous les risques de maladies dites « modernes » (diabète, cancer, maladies cardio-vasculaires et rhumatismales, etc.) se voient diminués grâce à l’utilisation quotidienne de la canneberge.

Les façons de cuisiner la canneberge sont nombreuses, ce qui en fait un ingrédient facile à intégrer dans son alimentation, en plus d’être délicieux.

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Nutrition au Québec : une étude inquiétante au sujet des familles

5,3 sur 10, voilà la note qui pourrait refléter les données recueillies et les constats établis par 107 pédiatres de l’Hôpital Sainte-Justine de Montréal.

« Il y a plus d’enfants avec surpoids (près d’un quart des 2-17 ans), manger est moins un plaisir qu’avant. On mange pour vivre, rapidement, avec des plats préparés », affirme un pédiatre à la nutritionniste Maryse Lefebvre dans un article de La Presse.

Il est ressorti de son étude que faute de temps et d’argent, la majorité des parents se tournent vers le plat congelé au lieu du bon plat mijoté rempli de légumineuses. « Les habiletés culinaires se perdent de génération en génération. Je pense que c’est un gros problème de société », a déclaré Mme Lefebvre.

L’accès facile et rapide à la malbouffe et aux machines distributrices fait en sorte que les familles québécoises mangent moins ensemble et consomment plus de collations dans une journée que de repas sains et diversifiés.

Selon la spécialiste, qui présentera au congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) les conclusions de son étude, il est important de savoir si les médecins ont à cœur l’alimentation, car ce sont eux qui servent de référence et qui influencent le plus souvent les parents.

Parmi les pédiatres interrogés, il n’y a que 43,9 % des pédiatres qui croient que les familles mettent la saine alimentation dans leurs priorités, et il n’y en a que 24 % qui estiment que les parents d’enfants de moins de 13 ans qu’ils rencontrent « ont les habiletés culinaires suffisantes pour manger sainement ».

Sur une note plus positive, 74 % des médecins de famille sont conscients qu’ils ont un rôle important à jouer pour transmettre des informations et connaissances pertinentes aux parents en matière de nutrition.

« Il peut y avoir des choses à faire, comme apprendre aux parents à manger pas cher sainement. Mais ça demande un suivi plus complet, pas 10 minutes de consultation », lance Mme Lefebvre.

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Transylvanie : au-delà de Dracula

Bien que les vampires en tous genres soient très à la mode depuis quelques années, notamment au cinéma avec la saga Twilight, la Transylvanie cache bien plus que des histoires de Dracula.

Plusieurs diront que ce sont les traditions rurales et la cuisine qui font le charme de ce lieu situé au centre-ouest de la Roumanie et délimité par les Carpates.

Peu restaurée, la Transylvanie possède un riche patrimoine culturel matériel. Il faut dire que pendant plus d’un millénaire, trois groupes ethniques bien distincts ont cohabité, permettant de créer un endroit charmant où les apports de chacun se font autant sentir dans la cuisine que dans l’architecture, les costumes, la musique ou la danse.

Les nombreux châteaux médiévaux, palais baroques, murailles et citadelles, de même que les églises en bois ou fortifiées dans les nombreuses petites villes transylvaniennes transpirent une riche histoire.

Pour les voyageurs modernes, quelques hôtels de style art nouveau ont pris part au décor folklorique roumain.

Finalement, de très bons restaurants et une table généreuse sauront témoigner de la cuisine melting-pot de l’Europe centrale, où les Hongrois, Arméniens, Allemands saxons et Roumains mettent tous la main à la pâte pour un menu des plus traditionnels.

La mine de sel transformée en centre de loisirs et de santé, qui se trouve dans le lieu-dit Durgau-Valea Sarata de Turda, et la ville saxonne de Sighi?oara, élue capitale culturelle de l’Europe en 2007, font également partie des incontournables.

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Perpétuer les traditions culinaires

Afin d’encourager les Québécois à perpétuer les traditions culinaires bien de chez nous, la compagnie Aylmer se lance à la recherche de la meilleure recette traditionnelle à base de sa soupe à travers la province.
 
Ainsi, vous avez jusqu’au 13 avril pour soumettre votre recette sur le site MaRecetteAylmer.com. Un jury d’experts choisira la recette qui est la plus authentique et savoureuse.
 
La personne gagnante remportera un week-end VIP à Montréal et verra sa photo et sa recette sur une édition limitée des boîtes de conserve Aylmer cet automne.
 
De plus, pour souligner plus de 100 ans d’histoire, les conserves de la compagnie affichent maintenant le logo Préparé au Québec.
 
Pour inspirer les consommateurs, l’entreprise a également invité le chef du Bistro Cocagne, Alexandre Loiseau, à revisiter des classiques culinaires comme le poulet braisé aux canneberges, le bœuf aux carottes et gingembre, les longes de porc du Québec dans sa sauce BBQ, le filet de saumon grillé, champignon et sauce au céleri, et finalement le consommé de bœuf aux saucisses.
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Vieux-Montréal: un circuit culinaire dans un château

Que retrouvait-on dans les assiettes des Montréalais des siècles passés? Vous aurez la réponse en participant au circuit «Suivez le chef!» du Château Ramezay. 

Pour cela, il suffira de suivre un chef cuisinier dans un circuit pédestre d’une durée de 90 minutes, explique le site officiel du château.
 
Les amateurs de bonne bouffe et d’histoire devraient avoir l’eau à la bouche. Les visiteurs pourront en effet déguster de succulents mets, notamment un « potage à la vierge » ou une omelette au rhum.
 
Le Château Ramezay, musée et site historique de Montréal, vous propose de découvrir les traditions alimentaires d’antan jusqu’au 29 avril prochain. Le circuit sera organisé seulement les dimanches à 14 h, au 280, rue Notre-Dame Est. 
 
Les réservations sont requises pour ce parcours original qui émoustillera à coup sûr vos papilles. Pour plus d’informations, visitez le site de l’établissement au www.chateauramezay.qc.ca.
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Obésité infantile: la cuisine maison comporte moins de risques

Un enfant qui mange un repas préparé par sa mère, à la maison, a moins de chance de souffrir d’obésité, expliquent des chercheurs de l’Université de Grenade. 

Les résultats de l’étude, publiée dans la dernière édition de la revue Nutrición Hospitalaria, soulignent le fait que ce repas comporte un meilleur équilibre nutritionnel. 
 
« La mère est la personne de la famille qui connaît le mieux les besoins de ses enfants et a les meilleures connaissances nutritionnelles pour la préparation des repas des enfants », expliquent les chercheurs.
 
L’équipe de recherche a suivi 718 écoliers âgés de 9 à 17 ans dans 13 écoles publiques et privées de la province de Grenade, rapporte Santelog.com.
 
Par ailleurs, l’étude souligne que les mères qui laissent leurs enfants à la cantine ne doivent pas culpabiliser.
 
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Quand les enfants cuisinent, ils ont plus d’appétit

Faire participer les enfants à l’élaboration du repas permettrait à ces petits chefs d’être moins difficiles, révèle une étude suisse de l’École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ).

Il semblerait que les parents ne devraient pas se contenter de donner la responsabilité à l’enfant de mettre la table, vider le lave-vaisselle ou de donner la permission à l’enfant d’être seulement spectateur quand il est assis au comptoir, par peur qu’il les retarde ou se blesse.
 
Pour que votre enfant apprécie ce qu’il mange, il doit participer activement à la préparation de son repas, affirment les chercheurs. Ils mentionnent toutefois que les obliger à terminer leur assiette risque de les rendre encore plus difficiles et plaintifs à table.
 
« Contraindre les enfants à finir leur assiette aurait l’effet inverse d’ouvrir l’appétit : cela leur gâcherait le plaisir de manger et aggraverait la situation », expliquent les chercheurs.
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L’apart-hôtel : un chez-soi en voyage

Il est très bien décoré et muni d’un équipement complet digne des plus beaux condos. Par contre, aucun besoin d’en faire l’entretien ménager et l’accueil se fait comme dans les plus grands hôtels.

La cuisine est moderne et tout est en place pour accueillir de deux à six personnes et vous faire économiser de l’argent, en vous suggérant de concocter des plats plutôt que de fréquenter les attrayants restaurants de la place. On y trouve habituellement un four, une plaque de cuisson, un four à micro-ondes et même un lave-vaisselle.

Tout est à la portée de la main dans ces établissements qui font fureur depuis quelques années, ce qui explique la rénovation de certains et la construction de plusieurs.

À deux pas du métro, au cœur des plus beaux attraits touristiques ou encore pour vivre comme un habitant de l’endroit, l’apart-hôtel est la nouvelle solution des voyageurs.

Voici quelques références pour réserver l’apart-hôtel de son choix.

www.adagio-city.com

www.presidentialapartments.co.uk

www.citadines.com

www.frasershospitality.com

www.citybaseapartments.com

www.cityzenbooking.com

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Les jeunes cuisinent plus que leurs aînés

Un sondage effectué auprès de 2000 adultes de 18 ans et plus aux États-Unis dévoile que les jeunes cuisinent davantage que les plus vieux.
 
En fait, le quart des 18-34 ans adorent cuisiner, alors qu’ils ne sont que 17 % chez les baby-boomers et les plus vieux.
 
Pour les jeunes, cuisiner est une marque de sophistication et de statut social, alors que les plus vieux cuisinent simplement pour des raisons de santé. D’ailleurs, la plus grande motivation de tous pour cuisiner est que les repas faits maison sont plus équilibrés.
 
Cuisiner est également un plaisir, une marque d’affection envers les proches et une occasion d’expérimenter.
 
Par contre, selon Mintel qui a réalisé le sondage, c’est en vieillissant que l’on se vante le plus de ses talents de cuisinier. 15 % des 55 ans et plus s’en vantent, alors qu’ils ne sont que 6 % à le faire chez les 18-34 ans.
 
« Les cuisiniers les plus jeunes semblaient s’intéresser davantage à l’expérimentation culinaire, alors que les Américains de 20 à 39 ans étaient plus enclins à cuisiner pour avoir l’air sophistiqué, ce qui suggère que l’apprentissage de la cuisine et le fait de cuisiner pour ses amis constituent des manières de se crédibiliser aux yeux de ses pairs », explique la porte-parole de Mintel, Fiona O’Donnell, dans un communiqué.