Depuis quelques mois, la Ville de Vancouver a donné plus de 50 permis pour l’ouverture de kiosques gastronomiques. Déjà, le paysage change quant à la cuisine de rue; au revoir les habituels hot-dogs, bonjour les mets recherchés et les produits locaux.
Par exemple, l’ancien chef du réputé restaurant Coast, Josh Wolfe, a ouvert le Fresh Local Wild, on l’on sert des sandwichs de thon albacore et des fish & chip de saumon frais à petits prix.
Le chef se procure ses produits chez des fournisseurs locaux. C’est dans cet esprit que la Ville souhaite offrir quelque chose de nouveau à ses touristes.
Selon la même visée, l’application Street Food Vancouver pour iPhone et iPad a été créée. En la téléchargeant, on peut parcourir Vancouver en suivant les kiosques gastronomiques. Ainsi, le Fastro Rolling Bistro nous attend au coin de Thurlow et Cordova, avec ses bisques, ses huîtres et ses frites.
Ajoutons que les chefs choisis pour apparaître dans cette application ont été sélectionnés avec goût. Leur cuisine a été évaluée, et seuls les chefs ayant obtenu les plus hauts scores en font partie.
Trip Advisor vient de faire paraître ses palmarès des meilleures destinations gastronomiques au monde, lesquelles sont décidées selon les votes de millions de voyageurs. Au total, le célèbre site de voyage nous propose 70 destinations-vacances.
Des tops 10 ont donc été établis pour l’Amérique centrale et du Sud, l’Asie, le Canada, les États-Unis, l’Europe, l’Inde et le Pacifique Sud. Des villes ont été choisies par les internautes pour la qualité de leur cuisine et de leurs vins.
Entre autres, en Europe, les trois premières positions ont été décernées aux villes de Florence (Italie), de Paris (France) et de Rome (Italie). D’autres villes italiennes font par ailleurs partie de la liste européenne : Sorrento (4e), Sienne (6e) et Bologne (7e).
Au Canada, la première position quant aux destinations gastronomiques a été décernée à Niagara-on-the-Lake, en Ontario. Montréal se classe en seconde place, suivie de Vancouver.
Mentionnons finalement que la Nouvelle-Orléans (Louisiane), Chicago (Illinois) et Charleston (Caroline du Sud) se sont classées en tête du palmarès américain.
Pour tout connaître des classements 2011 de Trip Advisor quant à la cuisine et au vin, cliquez ici.
Ceux qui aiment la bonne table seront bien servis en prévoyant des vacances à l’Île-du-Prince-Édouard. Plusieurs chefs de renom l’adoptent justement comme terre d’accueil.
Pour de plus amples renseignements sur le Sentier des saveurs et plusieurs des activités culinaires se tenant à l’île, on visite le site web de cette initiative.
Le quinoa, ce méconnu
Bien que le quinoa soit déjà bien connu des végétariens, il n’a encore que peu d’adeptes dans la population en général. Plusieurs croient à tort qu’il s’agit d’une céréale, alors qu’il s’agit pourtant d’un grain.
Il est donc évident que nous trouverons peu à peu de nouvelles sources de renseignements sur ce grain, comme le livre Quinoa Extra écrit par Patricia Green et Carolyn Hemming.
Le charbon freine la croissance
Une étude de l’École de médecine de l’Académie des sciences en République tchèque pointe une nouvelle fois le charbon comme un facteur négatif sur la santé publique.
Après avoir suivi 1 133 enfants tchèques et roumains de 1994 à 1998, on a remarqué que ceux vivant dans une maison chauffée au charbon étaient de plus petite taille que les autres. La différence de grandeur de ces derniers versus ceux vivant dans une maison chauffée à l’électricité ou au gaz naturel était notable.
En effet, les enfants qui vivaient dans une maison chauffée au charbon mesuraient près de 1,3 centimètre de moins que les autres à 36 mois.
Les auteurs de cette étude, parue dans le journal Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, soulignent donc l’évidence de la toxicité des combustibles à l’intérieur de la maison et leurs effets néfastes sur le développement.
Mentionnons au passage que l’utilisation d’un autre combustible, comme le bois, n’a pu être reliée aux mêmes impacts sur la croissance.
Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont demandé aux parents des jeunes participants de remplir un questionnaire à la naissance puis lorsque l’enfant avait atteint l’âge de trois ans. Les questions touchaient aussi l’historique de santé et d’hygiène de vie de la mère.
Jadis considérée comme une destination gastronomique à éviter, l’Angleterre, ancien royaume des plats bouillis et fades, a réussi à gagner ses lettres de noblesse après plusieurs années où la nourriture était l’un des arguments majeurs pour ne pas visiter le Royaume-Uni.
Un sondage à grande échelle a été effectué par Visit Britain auprès de 26 000 personnes provenant de 36 pays, auxquelles on a posé une multitude de questions par rapport à leur perception de l’Angleterre.
27 pays sur 36 ont réfuté majoritairement l’affirmation « La cuisine britannique n’est pas bonne ». La France, pourtant un pays dont les habitants visitent massivement l’Angleterre, a toutefois été d’accord, en assez bonne proportion, avec cette affirmation.
D’un autre côté toutefois, à l’affirmation « J’ai toujours voulu manger un petit-déjeuner anglais », la majorité a répondu par l’affirmative. Le déjeuner anglais est composé d’oeufs, saucisses, boudin, bacon, fèves au lard, champignons, tomates grillées et rôties.
Il faut avouer qu’avec l’arrivée des chefs Jamie Oliver et Gordon Ramsay, la perception des gens envers la cuisine britannique s’est grandement améliorée, même avant qu’ils l’aient expérimentée eux-mêmes.