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Cinéma

L’Audition de Takashi Miike aura son remake américain

Tant qu’à faire le mal, faites le bien, dit l’adage. Et pour une soirée cinéma sanglante et terrifiante, les cinéphiles aguerris savent que certaines œuvres japonaises sont dures à battre dans le domaine.

Un bon exemple est Audition de Takashi Miike, paru en 1999 et considéré comme un classique dans le genre, qui se basait sur le roman de Ryu Murakami du même nom.

Digital Spy rapporte que le film culte de Miike sera maintenant repris le temps d’un remake américain, un projet qui sera piloté par le réalisateur australien Richard Gray. Ce dernier, connu notamment pour Mine Games, assure que sa version sera fidèle au livre de Murakami, mais qu’elle se déroulera dans un contexte américain.

Audition propose l’histoire d’un réalisateur veuf prenant de l’âge qui se laisse convaincre de se trouver une nouvelle femme et de diriger des auditions pour un projet qui n’existe pas, afin de dénicher la perle rare de sa vie. L’une des jeunes femmes n’est toutefois pas exactement ce qu’elle semble être, et l’affaire tourne au cauchemar.

Aucune information concernant la distribution n’a encore été dévoilée ou confirmée. L’original Audition mettait en vedette Ryo Ishibashi et Eihi Shiina, et a été encensé par la critique.

Voyez la bande-annonce de l’original Audition, de Takashi Miike.

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Cinéma

L’Audition de Takashi Miike aura son remake américain

Tant qu’à faire le mal, faites le bien, dit l’adage. Et pour une soirée cinéma sanglante et terrifiante, les cinéphiles aguerris savent que certaines œuvres japonaises sont dures à battre dans le domaine.

Un bon exemple est Audition de Takashi Miike, paru en 1999 et considéré comme un classique dans le genre, qui se basait sur le roman de Ryu Murakami du même nom.

Digital Spy rapporte que le film culte de Miike sera maintenant repris le temps d’un remake américain, un projet qui sera piloté par le réalisateur australien Richard Gray. Ce dernier, connu notamment pour Mine Games, assure que sa version sera fidèle au livre de Murakami, mais qu’elle se déroulera dans un contexte américain.

Audition propose l’histoire d’un réalisateur veuf prenant de l’âge qui se laisse convaincre de se trouver une nouvelle femme et de diriger des auditions pour un projet qui n’existe pas, afin de dénicher la perle rare de sa vie. L’une des jeunes femmes n’est toutefois pas exactement ce qu’elle semble être, et l’affaire tourne au cauchemar.

Aucune information concernant la distribution n’a encore été dévoilée ou confirmée. L’original Audition mettait en vedette Ryo Ishibashi et Eihi Shiina, et a été encensé par la critique.

Voyez la bande-annonce de l’original Audition, de Takashi Miike.

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Potins

Ashton Kutcher et Mila Kunis seront-ils contrôlés par la Kabbale?

Ashton Kutcher et Mila Kunis souhaitent présenter leur fille, après sa naissance, à l’organisation spirituelle de la Kabbale, dont l’acteur est un membre éminent.

Cependant, une mère de 3 enfants, kabbaliste de longue date, croit que les deux stars devraient y réfléchir à deux fois avant d’exposer leur enfant au culte religieux.

Bryce Gruber, rédactrice du blogue tourisme The Luxury Spot, a partagé son histoire d’horreur au sein de la Kabbale avec Radar Online. Selon elle, « ils jouent avec votre esprit ».

Gruber et son mari avaient décidé de nommer leur fille Rivkah, la version hébraïque de Rebecca, mais les dirigeants du centre de la Kabbale ne tiennent pas compte du choix des parents lors de la cérémonie. « Ils choisissent à notre place », mentionne la blogueuse.

Malgré les pleurs de la mère, la directrice spirituelle du centre, Karen Berg, a nommé l’enfant Sarah. Elle a insisté sur le fait que la fillette « ne recevrait pas la lumière autrement ».

Même si Ashton Kutcher et Mila Kunis sont des célébrités, la femme est prête à gager qu’ils seront victimes du même sort. 

Madonna et Demi Moore sont parmi les autres célébrités membres du culte de la Kabbale.

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Cinéma

Jessica Alba sur les traces d’un culte religieux

CinemaBlend confirme l’embauche de Jessica Alba pour The Veil, un film d’horreur qui s’annonce pour le moins démoniaque.

Alba prêtera ses traits au personnage principal, une réalisatrice de documentaires qui se lancera sur les traces d’un sombre culte religieux baptisé Heaven’s Veil.

Les membres de ce culte ayant réalisé un suicide collectif il y a plusieurs années, il ne reste maintenant qu’une seule survivante de l’horrible drame, qui accompagnera le personnage d’Alba sans sa quête d’informations.

Thomas Janes est déjà confirmé pour le projet, mais aucun détail concernant son rôle dans le film n’a encore été dévoilé.

The Veil, une œuvre du producteur Jason Blumhouse et du réalisateur Phil Joanou, s’annonce prometteuse et promet de révéler un horrible secret dont on ignore pour l’instant la teneur.

D’autres acteurs devraient être confirmés sous peu.

Jessica Alba effectue un retour progressif après avoir s’être accordée du temps pour s’occuper de sa famille, et sera notamment en vedette dans le très attendu Sin City: A Dame To Kill For, de Robert Rodriguez.

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Nouvelles quotidiennes

À Strasbourg, un musée privé dédiabolise le culte vaudou

« Attention, vous ne verrez pas ici de poupées piquées d’aiguilles », prévient Marc Arbogast, qui amasse depuis 50 ans des objets vaudou africains.

L’ancien PDG des brasseries Fischer et Adelshoffen a acquis puis rénové un ancien château d’eau à l’abandon, dont les cuves servaient autrefois de réservoir pour alimenter les locomotives à vapeur de la gare de Strasbourg, non loin de là.

Construit en 1883 et classé monument historique, l’édifice de style néo-médiéval abrite désormais sur trois niveaux quelque 300 pièces sur les 1060 que compte l’ensemble de la collection, principalement originaire du Togo, du Bénin et du Ghana.

D’étages en étages se succèdent d’innombrables fétiches bochio (bénéfiques ou maléfiques) destinés à obtenir la réalisation d’un voeu, des représentations des dieux du panthéon vaudou, une collection d’autels portatifs des ancêtres (ou asen), ainsi qu’une riche collection de costumes Egungun dans lesquels dansent les revenants.

Né dans l’ancien royaume du Dahomey, qui se situait au sud de l’actuel Bénin, le culte vaudou s’est propagé avec la traite des esclaves jusqu’aux Caraïbes (désigné alors sous l’orthographe « vaudou ») en Louisiane (« voodoo ») et au Brésil (candomblé). À la fois religion et art de vivre fortement liées au respect des ancêtres, le vaudou est aujourd’hui pratiqué quotidiennement par des centaines de millions de personnes dans le monde.

Ossements animaux ou humains, bois, ficelles, clous ou encore tissus, le tout recouvert d’une couche de matières sacrificielles : de nombreuses pièces « dignes de l’art contemporain », et autant de « rébus qu’il faut décoder », estime le collectionneur.

« On peut faire une archéologie de l’ensemble de ces objets. Pourquoi ils ont fait ça? À quoi ça sert? Comment on s’en sert? Ce décryptage est tout simplement passionnant. Dans les autres religions, c’est assez maigre », juge Marc Arbogast, lui-même « adepte d’aucune religion ».

L’ancien PDG a associé à sa démarche deux spécialistes : Nanette Snoep, conservatrice au musée du Quai Branly, qui a sélectionné les oeuvres exposées, et Bernard Muller, chercheur en anthropologie à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), chargé de la programmation scientifique et culturelle du musée.

Actuellement ouvert uniquement sur réservation en début de semaine et au grand public toute la journée le vendredi et le samedi, le musée espère obtenir des subventions pour pouvoir proposer des parcours pédagogiques pour les enfants, mais aussi thématiques autour de la danse, de la cuisine et de la pharmacopée vaudou.

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Potins

Michelle Pfeiffer avoue s’être sortie d’une secte dangereuse

L’actrice de 55 ans, Michelle Pfeiffer, a confié ces troublantes révélations au magazine Stella. Lorsqu’elle a emménagé à Hollywood, dans le début des années 1980, elle a été entraînée par un couple « très contrôlant ».

Ces gens croyaient au respirianisme, aussi connu sous le terme de pranisme. Ce culte pratique principalement le jeûne, croyant pouvoir se nourrir de la lumière pour atteindre leur « être supérieur ».

Michelle Pfeiffer confiait au magazine que leur « diète » en était une à laquelle « personne ne peut adhérer ». En effet, ils croyaient pouvoir vivre sans eau et sans nourriture.

La star avoue qu’elle était « toujours chez eux », mais qu’elle devait payer pour le temps passé en leur compagnie. « Ils me disaient que je devais venir plus souvent encore. »

Pfeiffer a indiqué que c’est lorsqu’elle a rencontré son premier époux, Peter Horton, qu’elle a commencé à comprendre l’ampleur de l’emprise qu’ils avaient sur elle. Horton tournait à l’époque un film sur les Moonies, en référence au culte de Sun Myung Moon, créé en 1954.

Un heureux hasard, puisque pendant les recherches associées au long métrage, lorsque l’actrice a écouté le témoignage d’un ex-Moonies, elle a rapidement compris qu’elle vivait elle-même ce cauchemar.

Michelle Pfeiffer n’a pas donné de détails quant à la façon dont elle a réussi à quitter le mouvement religieux.

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Potins

Michelle Pfeiffer avoue s’être sortie d’une secte dangereuse

L’actrice de 55 ans, Michelle Pfeiffer, a confié ces troublantes révélations au magazine Stella. Lorsqu’elle a emménagé à Hollywood, dans le début des années 1980, elle a été entraînée par un couple « très contrôlant ».

Ces gens croyaient au respirianisme, aussi connu sous le terme de pranisme. Ce culte pratique principalement le jeûne, croyant pouvoir se nourrir de la lumière pour atteindre leur « être supérieur ».

Michelle Pfeiffer confiait au magazine que leur « diète » en était une à laquelle « personne ne peut adhérer ». En effet, ils croyaient pouvoir vivre sans eau et sans nourriture.

La star avoue qu’elle était « toujours chez eux », mais qu’elle devait payer pour le temps passé en leur compagnie. « Ils me disaient que je devais venir plus souvent encore. »

Pfeiffer a indiqué que c’est lorsqu’elle a rencontré son premier époux, Peter Horton, qu’elle a commencé à comprendre l’ampleur de l’emprise qu’ils avaient sur elle. Horton tournait à l’époque un film sur les Moonies, en référence au culte de Sun Myung Moon, créé en 1954.

Un heureux hasard, puisque pendant les recherches associées au long métrage, lorsque l’actrice a écouté le témoignage d’un ex-Moonies, elle a rapidement compris qu’elle vivait elle-même ce cauchemar.

Michelle Pfeiffer n’a pas donné de détails quant à la façon dont elle a réussi à quitter le mouvement religieux.

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Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs.