Catégories
Uncategorized

Le curcuma pour éloigner le risque d’Alzheimer?

Cette épice originaire de l’Inde est reconnue depuis longtemps pour ses nombreuses vertus pour la santé. Notamment, le curcuma est anti-inflammatoire, aide à la digestion, protège contre les maladies cardiovasculaires et représente un puissant antioxydant.

Parmi les composantes de cette épice se retrouve le turmérone. Top Santé rapporte que des études ont été menées sur des rongeurs en laboratoire pour analyser l’effet du turmérone sur le cerveau.

L’injection de cette molécule aurait stimulé la croissance des cellules nerveuses. Un autre test par immersion de cellule dans un concentré de turmérone a permis la spécialisation des cellules souches du cerveau. Un résultat supposant un rôle important dans la régénération cellulaire.

« Il est possible que les cellules du cerveau puissent se réparer plus rapidement sous l’effet du curcuma », informent les scientifiques, qui sont convaincus par les résultats.

Les Indiens sont friands du curcuma. Selon legout.com, ils en consomment quotidiennement de 1 à 2 grammes. Ils connaissent d’ailleurs très bien ses vertus.

Le curcuma peut accompagner tous les plats, de la viande au poisson, en passant par le riz et même les desserts à base de fruits.

Catégories
Uncategorized

Les épices bonnes pour la santé

 

D’abord, le site parle de la vanille, dont l’odeur coupe la faim et éloigne les insectes. De plus, les antioxydants naturels qu’il contient protègent la peau.

Ensuite, on retrouve la cannelle. Idéale pour les diabétiques de type 2, elle abaisse les taux de sucre et de cholestérol dans le sang.

Le curcuma, quant à lui, est un antiseptique naturel qui aide à prévenir plusieurs types de cancer. Aussi, il combat la douleur et aide à traiter la dépression.

Puis, les arthritiques devraient consommer davantage de gingembre, qui soulage l’inflammation causée par la maladie.

Bien que moins connu en tant qu’épice, le miel a aussi son lot de vertus. Par exemple, il accélère la rémission d’une gueule de bois et aide les anémiques à renflouer leurs réserves de fer.

Finalement, le site mentionne le cayenne, qui vient du piment de cayenne. Cette épice prévient certains cancers et protège contre les crises cardiaques.

Rappelons que les repas épicés ralentissent le vieillissement. L’ail, par exemple, aide à ralentir le déclin de la mémoire.

 

Catégories
Uncategorized

Le curcuma contre le cancer du côlon?

En ce moment, des chercheurs britanniques testent la curcumine, présente dans le curcuma, pour mesurer son efficacité à améliorer les traitements contre le cancer du côlon.
 
Des études précédentes avaient souligné que la curcumine améliorerait la réponse des cellules tumorales aux chimiothérapies.
 
Maintenant, si les essais cliniques confirment les résultats, la curcumine serait une option intéressante pour améliorer les traitements à plus faibles doses, afin de réduire les effets secondaires indésirables qui bouleversent tout l’organisme du patient.
 
Selon le Cancer Research, les chercheurs doivent demeurer prudents, car pour le moment, on examine le potentiel de différentes doses, mais il faut s’assurer que ces dernières n’auront pas d’effets négatifs sur les traitements.
 
Il est donc encore trop tôt pour affirmer concrètement que la curcumine peut aider à traiter le cancer du côlon.
Catégories
Uncategorized

Le curcuma pour réparer les dommages après un AVC

Des chercheurs américains seraient parvenus à créer une molécule dérivée du curcuma capable de réparer les dommages d’un accident vasculaire cérébral (AVC).
 
Le curcuma est reconnu depuis longtemps pour ses bienfaits pour la santé.
 
Des expériences menées sur des lapins démontrent que cette molécule, nommée CNB-001, régénère les cellules.
 
« Cette molécule est dotée d’un grand nombre des mêmes vertus que le curcuma, mais avec la capacité de franchir sans problème la barrière naturelle de protection cérébrale et pouvant ainsi être rapidement acheminée et distribuée dans le cerveau afin de modérer plusieurs mécanismes clés jouant un rôle dans la survie des neurones », explique le Dr Paul Lapchak, directeur de recherche du service de neurologie du Centre médical Cedars-Sinai à Los Angeles.
 
La CBN-001 protègerait les cellules des dommages subis et favoriserait également la croissance et la survie des neurones endommagés.
 
Cette molécule permet de réduire les problèmes musculaires et de contrôle des mouvements après un AVC si elle est administrée dans les trois heures suivant l’attaque.
Catégories
Uncategorized

Le curcuma pourrait aider à la bonne santé du foie

Des chercheurs étudient depuis un moment les propriétés du curcuma. Cette fois, une nouvelle étude, publiée dans le journal Endocrinology, dévoile que le curcuma serait très bénéfique pour le foie.
 
Des chercheurs de l’Université de Saint-Louis, aux États-Unis, ont découvert que cette épice pouvait aider à prévenir la maladie stéatohépatite non alcoolique.
 
Cette maladie du foie résultant de l’obésité et de la prise de poids touche jusqu’à 4 % des adultes américains.
 
Il faudra toutefois encore plusieurs recherches avant de parvenir à un traitement à base de curcuma.
 
La médecine asiatique utilise le curcuma depuis très longtemps pour ses bienfaits sur la santé. Il aide à traiter les problèmes gastro-intestinaux, l’arthrite et le manque d’énergie.
 
Récemment, on mentionnait également qu’il avait des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. On pense également que le curcuma serait un bon atout contre les cirrhoses, l’Alzheimer et qu’il aurait des effets contre le vieillissement et le cancer.
Catégories
Uncategorized

Le curcuma agirait comme un protecteur du foie

Selon le journal Gut de l’Association médicale britannique, le curcuma protègerait le foie.
 
Michael Trauner, professeur en médecine interne de l’Université médicale de Graz, en Autriche, a dirigé une nouvelle étude sur les bienfaits du curcuma.
 
Cette épice, grandement cultivée en Asie, est utilisée depuis de nombreuses années pour ses propriétés anti-inflammatoires dans le traitement de maladies de la voie biliaire qui mènent souvent à une cirrhose.
 
Des chercheurs autrichiens et américains viennent de découvrir que le curcuma protège aussi le foie.
 
On a utilisé des souris génétiquement modifiées pour rendre leur foie malade. On a donné du curcuma pendant quatre semaines à un premier groupe et pendant huit semaines à d’autres, alors qu’un autre groupe avait une alimentation normale.
 
On a noté que le curcuma joue un rôle dans le processus inflammatoire et permet de réduire les dommages causés au foie. L’épice agit également contre le blocage du canal biliaire. Les souris des groupes qui ont reçu du curcuma pendant quatre et huit semaines ont connu les bienfaits protecteurs de cette épice. Cela permet de croire que le curcuma pourrait fournir une thérapie intéressante pour le futur.
Catégories
Uncategorized

Le curcuma contre le cancer de l’oesophage

Des chercheurs du Centre de recherche sur le cancer de l’Université de Cork, en Irlande, mentionnent que le curcuma pourrait être utilisé pour traiter le cancer de l’œsophage.

Ils sont parvenus à traiter des cellules œsophagiennes cancéreuses avec le composé chimique que l’on retrouve dans le curcuma, soit la curcumine.

La curcumine a alors commencé à détruire les cellules cancéreuses après une exposition de 24 heures. Elle attaque les cellules par un système de signaux cellulaires alternatif.

Il a déjà été prouvé que le curcuma contenait des antioxydants qui pouvaient prévenir certains types de cancers. Toutefois, jusqu’à maintenant, la dose nécessaire pour combattre le cancer est élevée et est impossible à atteindre par voie orale. C’est une voie intéressante que les chercheurs examinent pour traiter ce type de maladie.

Le curcuma a également des propriétés efficaces contre les ulcères gastriques. Il diminue l’inflammation et les troubles digestifs, en plus des inflammations de la peau et des blessures. Le curcuma dévoile donc de plus en plus ses effets bénéfiques pour la santé humaine.

Catégories
Uncategorized

Le poivre et le curcuma pour traiter le cancer du sein

Le site TopSanté rapporte que le poivre noir et le curcuma seraient prometteurs pour traiter le cancer du sein.

Des chercheurs de l’Université du Michigan, aux États-Unis, viennent de découvrir que le poivre noir et le curcuma, étudiés depuis longtemps comme traitement potentiel au cancer, ciblent les cellules souches cancéreuses, empêchant ainsi le cancer du sein de se développer.

La curcumine que l’on retrouve dans le curcuma et la pipérine qui est présente dans le poivre noir ont été ajoutées à une culture de cellules. On a constaté que les cellules souches diminuaient, alors que les cellules normales demeuraient intactes.

Les récidives de cancer du sein sont possibles parce que la chimiothérapie ne détruit pas les cellules souches. De plus, les femmes ont le choix entre deux médicaments qui représentent un taux élevé de toxicité pour traiter leur cancer, soit le tamoxifène et le raloxifène. Comme le poivre et le curcuma sont très peu toxiques, cette alternative serait fort intéressante.

La pipérine renforce les effets de la curcumine et les deux éléments freinent le renouvellement des cellules souches cancéreuses. Comme ces deux éléments étant encore à l’étude, on mentionne qu’il ne faut pas ajouter plus de poivre et de curcuma à son alimentation.

Le poivre était déjà reconnu notamment pour ses propriétés anti-inflammatoires et pour améliorer la digestion, alors que le curcuma est reconnu pour aider les problèmes gastro-intestinaux, l’arthrite et il possède des propriétés antioxydantes.

Catégories
Uncategorized

Vaincre l’Alzheimer par l’alimentation?

Une recherche publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease nous apprend que la combinaison de vitamine D et de curcumine, que l’on retrouve en abondance dans le curcuma, stimule le système immunitaire au point de ralentir la formation des plaques amyloïdes dans le cerveau.

« Nous espérons que la vitamine D3 et la curcumine, deux nutriments existant dans la nature, offrent de nouvelles possibilités de prévention et de traitement de la maladie d’Alzheimer », a fait savoir l’un des auteurs de cette étude, le Dr Milan Fiala de l’école David Geffen de médecine de l’Université de la Californie à Los Angeles.

Selon le chercheur, la curcumine artificielle est plus efficace que la naturelle, car elle est absorbée plus rapidement par l’organisme.

« Étant donné que la vitamine D et la curcumine fonctionnent différemment avec le système immunitaire, nous pourrions découvrir qu’une combinaison des deux, ou chacune prise séparément, peut être plus efficace selon le patient », a conclu monsieur Fiala.