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Le curcuma contre le cancer du côlon?

En ce moment, des chercheurs britanniques testent la curcumine, présente dans le curcuma, pour mesurer son efficacité à améliorer les traitements contre le cancer du côlon.
 
Des études précédentes avaient souligné que la curcumine améliorerait la réponse des cellules tumorales aux chimiothérapies.
 
Maintenant, si les essais cliniques confirment les résultats, la curcumine serait une option intéressante pour améliorer les traitements à plus faibles doses, afin de réduire les effets secondaires indésirables qui bouleversent tout l’organisme du patient.
 
Selon le Cancer Research, les chercheurs doivent demeurer prudents, car pour le moment, on examine le potentiel de différentes doses, mais il faut s’assurer que ces dernières n’auront pas d’effets négatifs sur les traitements.
 
Il est donc encore trop tôt pour affirmer concrètement que la curcumine peut aider à traiter le cancer du côlon.
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La curcumine contre la maladie de Parkinson

Des chercheurs de l’Université du Michigan ont découvert d’autres propriétés au safran, mais surtout à l’un de ses composés, la curcumine.
 
Selon le Journal of Biological Chemistry, la curcumine pourrait prévenir l’agglutination de la protéine qui est impliquée dans la maladie de Parkinson, l’alpha-synucléine.
 
La curcumine, qui est déjà reconnue comme un puissant antioxydant permettant de protéger des radicaux libres, se lie à la protéine, freinant ainsi son agrégation tout en la reconfigurant. C’est cette vitesse de reconfiguration qui permet d’arrêter l’agglutination de la protéine.
 
Cette découverte ouvre la voie à de nouvelles approches thérapeutiques contre la maladie de Parkinson.
 
D’autres études sont donc à prévoir pour trouver le moyen de reproduire l’action de la curcumine sur la protéine alpha-synucléine, mais avec un médicament.
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Vaincre l’Alzheimer par l’alimentation?

Une recherche publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease nous apprend que la combinaison de vitamine D et de curcumine, que l’on retrouve en abondance dans le curcuma, stimule le système immunitaire au point de ralentir la formation des plaques amyloïdes dans le cerveau.

« Nous espérons que la vitamine D3 et la curcumine, deux nutriments existant dans la nature, offrent de nouvelles possibilités de prévention et de traitement de la maladie d’Alzheimer », a fait savoir l’un des auteurs de cette étude, le Dr Milan Fiala de l’école David Geffen de médecine de l’Université de la Californie à Los Angeles.

Selon le chercheur, la curcumine artificielle est plus efficace que la naturelle, car elle est absorbée plus rapidement par l’organisme.

« Étant donné que la vitamine D et la curcumine fonctionnent différemment avec le système immunitaire, nous pourrions découvrir qu’une combinaison des deux, ou chacune prise séparément, peut être plus efficace selon le patient », a conclu monsieur Fiala.