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La cyberintimidation créé de la peur dans les écoles

La cyberintimidation est devenue une plaie ouverte qui cause des traumatismes émotionnels et psychologiques similaires à l’intimidation physique.

Une récente étude, mentionne Science World Report, démontre que si l’intimidation classique est celle que craignent le plus les étudiants, l’intimidation en ligne a créé une nouvelle source de crainte dévastatrice.

Pour l’équipe de la Sam Houston State University, il est clair qu’il ne faut pas sous-estimer les conséquences de cette nouvelle forme de victimisation des jeunes. Les minorités visibles craignent encore plus que les autres d’être la cible de cette méthode d’intimidation.

Parmi les 3500 étudiants de 12 à 18 ans interrogés, 7 %  (près de 250) vivaient de l’intimidation en ligne. Celle-ci était déterminée par des propos insultants ou blessants, de fausses informations sur eux, des courriels, des messages instantanés, des textos ou lors de jeux en ligne.

L’intimidation traditionnelle, cependant, était encore 4 fois plus présente avec un taux de 29 % (plus de 1000).

À la différence de l’intimidation physique, cependant, l’intimidation en ligne peut survenir 24 h/24.

L’étude a été publiée dans la revue Security Journal.

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Patrick Bruel au secours de la cyberintimidation

Voici.fr rappelle que sur son dernier album, Lequel de nous, les fans n’étaient pas nécessairement d’accord avec le duo de Patrick Bruel et La Fouine. Cependant, le harcèlement en ligne constituait la pierre angulaire de leur collaboration.

Cette fois, le chanteur notoire prend part à une campagne et interprète un enseignant qui vient en aide à quatre jeunes, Lauren, Manon, Paul et Dimitri, dans un clip interactif. Pour l’occasion, Bruel s’est associé à e-ENFANCE.

Au cœur de la chanson, les jeunes peuvent se reconnaître à travers les histoires des quatre adolescents. Il est même possible de connaître leur histoire en cliquant au moment opportun. Des liens d’intérêt pour s’informer, dénoncer ou s’exprimer sont également dévoilés à la fin de la vidéo.

La vidéo peut être visionnée ici.

Patrick Bruel a terminé sa tournée à Paris le 30 mars, mais prévoit l’ajout de dates à Londres, aux États-Unis et au Canada.

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Patrick Bruel au secours de la cyberintimidation

Voici.fr rappelle que sur son dernier album, Lequel de nous, les fans n’étaient pas nécessairement d’accord avec le duo de Patrick Bruel et La Fouine. Cependant, le harcèlement en ligne constituait la pierre angulaire de leur collaboration.

Cette fois, le chanteur notoire prend part à une campagne et interprète un enseignant qui vient en aide à quatre jeunes, Lauren, Manon, Paul et Dimitri, dans un clip interactif. Pour l’occasion, Bruel s’est associé à e-ENFANCE.

Au cœur de la chanson, les jeunes peuvent se reconnaître à travers les histoires des quatre adolescents. Il est même possible de connaître leur histoire en cliquant au moment opportun. Des liens d’intérêt pour s’informer, dénoncer ou s’exprimer sont également dévoilés à la fin de la vidéo.

La vidéo peut être visionnée ici.

Patrick Bruel termine sa tournée à Paris le 30 mars prochain, mais prévoit l’ajout de dates à Londres, aux États-Unis et au Canada.

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Le cellulaire : outil d’intimidation 24 heures sur 24

Auparavant, l’intimidation se limitait souvent aux murs de l’école. De nos jours, non seulement il y a les médias sociaux, mais surtout, les cellulaires que nous mettons nous-mêmes entre les mains de nos enfants.

She Knows rappelle qu’il ne faut pas sous-estimer les risques associés aux messages texte. Des menaces sous le couvert de l’anonymat ou à travers un écran peuvent sembler inoffensives. Mais il existe de nombreux cas où les menaces sont mises à exécution.

« Nous avons cette fausse perception que si nous installons un contrôle parental sur l’ordinateur, nous protégeons nos enfants de la cyberintimidation », indique Neil Book, PDG de SMobile Systems, un fournisseur de solutions sécuritaires pour les cellulaires.

La réalité, c’est qu’ils n’arrivent plus à échapper à l’intimidation, précisément à cause du cellulaire, et le danger est bien réel. Votre rôle de parent est d’intervenir, que ce soit de façon préventive ou si vous suspectez de l’intimidation.

Des logiciels existent pour obtenir le contenu détaillé des textos, appels et sites internet consultés par votre enfant. Android, par exemple, offre le eBlaster. Renseignez-vous auprès de votre fournisseur. Vous aurez ainsi tous les rapports d’activités reliés à l’appareil.

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Comment protéger votre fille de la cyberintimidation

Le Dr Tim Jordan, pédiatre expert en comportement et développement des filles de 2 à 20 ans, apporte ses conseils aux parents d’aujourd’hui, par le biais du site SheKnows.

Voici quelques lignes directrices pour minimiser les conséquences qui découlent de l’intimidation en ligne :

Premièrement, avoir accès à un cellulaire ou un iPod est un privilège… pas un droit acquis! Il s’accompagne de règles précises. Cela commence avec la démonstration de maturité dans les propos échangés et les gens avec qui elle prend contact.

Soyez clair quant à la surveillance que vous effectuerez périodiquement. Ses textos et les sites visités seront vérifiés de façon aléatoire. Expliquez-lui que c’est exactement comme vérifier qu’un parent est présent lors d’une fête, ou intervenir dans sa chambre lorsqu’elle a de la visite.

Appliquez vos conséquences sur le champ. Elle est avisée, elle sait à quoi s’en tenir. Dès qu’il y a non-respect des règles ou directives, son privilège est retiré. Anciennement, on les privait de sortie. Aujourd’hui, on les prive de technologie.

Si elle subit de la pression d’autres personnes en ligne, vous pourriez aussi lui retirer toute technologie pour éviter que la situation s’envenime, le temps que cela se règle « en personne », et non en ligne.

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Ce qui motive la cyberintimidation

Qu’on se le dise, les mots tuent. Au sens propre. L’anonymat d’internet fait sortir le côté le plus noir de la nature humaine. La cyberintimidation prend plusieurs formes. Avec les médias sociaux, blogues et forums, les agressions se multiplient. Mais il y a également les cellulaires, et les textos peuvent rapidement empoisonner la vie de votre enfant.

Ainsi, mieux vaut garder un œil non seulement sur le Facebook de votre enfant, mais aussi sur ses textos et sur les différents forums qu’il consulte. Aujourd’hui, l’intimidation est constituée sur une toile de fond virtuelle, mais les dommages, eux, sont réels.

C’est encore 80 % des cas de cyberintimidation qui ne sont pas rapportés, parce que les enfants et même les adolescents ont encore plus peur de dénoncer que de subir. Et surtout, cessez de chercher celui qui a l’air du « mauvais garçon ». Les pires sont désormais les enfants qui ont la cote de popularité la plus élevée, garçon ou fille.

Abaisser les autres pour prendre du galon, voilà la nouvelle norme. Plus on est cruel avec les autres, plus on devient populaire. Faites aussi attention à ceux qui par le passé ont eux-mêmes été victimes d’intimidation. Ils deviennent parfois les pires bourreaux, puisqu’ils sont passés par là.

Il s’agit d’un « combat social », comme l’expliquent les sociologues Robert Faris et Diane Felmlee, dans une récente étude menée pour CNN.

Et surtout, les autres jeunes hésitent à soutenir ceux sur qui on crache, de peur d’être le prochain sur la liste.

Notre rôle premier? Empêcher notre propre enfant de devenir l’un de ces bourreaux.

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La cyber intimidation moins répandue qu’on ne le croit

 

Selon les experts, elle devrait même être au centre des programmes de prévention.

« Les allégations des médias et des chercheurs selon lesquelles la cyber intimidation a augmenté dramatiquement et est maintenant le grand problème des écoles sont largement exagérées. […] Il y a très peu de preuves scientifiques qui démontrent que la cyber intimidation a augmenté durant les cinq ou six dernières années et cette forme d’intimidation est en fait le moins fréquent des phénomènes », explique le psychologue norvégien Dan Olweus.

Durant l’étude, 18 % des étudiants américains interrogés ont affirmé avoir été intimidés verbalement, tandis que seulement 5 % ont affirmé avoir été cyber intimidés.

Toutefois, Olweus soutient que la cyber intimidation ne doit pas pour autant être négligée.

L’étude a également démontré que la majorité des cyber intimidateurs avait été verbalement intimidé dans le passé.

Rappelons qu’avant l’âge de 12 ans, les enfants qui sont victimes d’intimidation sont quatre fois plus susceptibles que les autres de s’automutiler.

S’infliger des blessures et des dommages physiques peut se traduire par des entailles aux bras, se mordre, se brûler, se frapper certaines parties du corps, s’arracher les cheveux, rouvrir d’anciennes cicatrices et ingérer des produits toxiques.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net