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Pink et Dallas Green lancent un vidécolip pour You+Me

Ceux qui auraient manqué la création du nouveau duo You+Me, composé de Pink et de Dallas Green, pourront se reprendre avec la sortie d’un vidéoclip pour l’extrait Break The Cycle.

La sortie, par ailleurs rapportée par Digital Spy, propose une mise en scène rétro et originale. Les deux artistes se retrouvent au coeur d’images filmées avec ce qui prend les apparences d’une caméra ancienne, le tout donnant un effort intéressant.

Même chose pour l’extrait, alors que Break The Cycle est une bonne chanson pop adulte qui semble bien représenter le style de l’album à paraître pour You+Me.

Si les fans de Pink risquent d’être un peu déstabilisés, les amateurs de ballades et de réalisations dénudées seront servis.

Pink et Dallas Green se sont connus grâce au mari de la chanteuse, Carey Hart, et ont immédiatement ressenti une connexion musicale et artistique, aux dires du nouveau duo.

Le résultat de cette association sera dévoilée le 13 octobre prochain, date officielle de lancement de l’album Rose ave., qui doit comprendre au moins huit chansons originales.

D’ici là, découvrez le vidéoclip pour Break The Cycle, de You+Me.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Nouvelle piste de solution pour traiter l’insomnie

Top Santé rapporte une découverte prometteuse de la part de chercheurs en matière de traitement de l’insomnie et des troubles liés au rythme circadien, aussi appelé l’horloge biologique.

C’est justement l’horloge biologique qui serait en cause dans plusieurs cas d’insomnie chronique, et des chercheurs britanniques de l’University College London, en compagnie de collègues de l’Université Queen Mary, semblent avoir déniché une piste de solution qui pourrait contribuer à enrayer le phénomène.

Les spécialistes ont utilisé un principe de traitement par vibrations sur des mouches, afin de manipuler le rythme circadien de ces sujets hors du commun.

« L’horloge biologique est réglée, chez la mouche, non seulement par le cycle quotidien de la lumière et de la température, mais aussi par des stimuli mécaniques qui excitent des récepteurs sensoriels dans le corps », explique d’abord le Dr Joerg Albert, directeur de la recherche et auteur de l’étude.

« Nos expérimentations offrent une nouvelle piste pour régler l’horloge biologique qui peut être utile pour le traitement de certaines pathologies liées à un dérèglement du rythme circadien comme l’insomnie, la dépression ou les troubles bipolaires », résume ensuite le chercheur et collègue du Dr Albert pour cette étude, Ralf Stanewsky.

Publiées dans le magazine Science, les conclusions de l’étude parlent d’un véritable impact sur le rythme circadien de la mouche à la suite d’une stimulation par vibrations de douze heures, ce qui pourrait paver la voie à un traitement expérimental du même genre chez l’homme.

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Les problèmes liés au retour à l’heure normale

C’est déjà le retour de ce moment où chaque personne effectuera presque simultanément un même geste simple, mais fort important : changer d’heure.

C’est le dimanche 3 novembre à 3 :00 AM, donc dans la nuit de samedi à dimanche, que nous devrons revenir à l’heure dite « normale », et ainsi reculer de 60 minutes horloges et cadrans.

Mais selon Top Santé, plusieurs problèmes liés à ce changement peuvent survenir, peu importe l’âge.

Les enfants peuvent sembler de moins bonne humeur le matin, par exemple, ce simple changement d’une heure pouvant affecter leur cycle de sommeil et leur « routine » biologique.

Mais le phénomène peut également attaquer les parents et les adultes, dont certains disent ressentir une certaine fatigue, une déprime ou encore une baisse de régime au travail suivant le retour à l’heure normale.

Qu’on parle ici d’effet placebo ou de déprime hivernale, puisque ce changement d’heure annonce bel et bien l’arrivée de l’hiver, il ne faut jamais prendre nos symptômes et nos humeurs à la légère, croient les spécialistes.

On suggère plutôt de vaquer à nos occupations à notre rythme, d’éviter le stress et de ne pas hésiter à consulter, ne serait-ce qu’une fois, si les troubles de l’humeur ou les baisses d’énergie deviennent soudainement trop importantes.

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Découverte du processus d’auto-nettoyage du cerveau durant le sommeil

On apprend via plusieurs sources, dont Top Santé, que non seulement le cerveau serait capable d’effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement, mais qu’il le ferait par ailleurs à notre insu, lorsqu’on dort à poings fermés.

C’est ce qui ressort des travaux de recherche d’une équipe de spécialistes de l’Université de Rochester, qui publient maintenant leurs observations et leurs conclusions.

« Alors que notre corps est endormi, le cerveau se met à accélérer son activité. Les cellules cérébrales rétrécissent pour aider à cette opération de nettoyage des toxines résultant de l’activité des neurones pendant les périodes de veille. En fait, ce travail de nettoyage nécessite une telle dépense d’énergie de la part du cerveau qu’il ne pourrait pas se dérouler pendant que nous sommes éveillés. Nous n’aurions alors plus assez d’énergie pour articuler nos pensées correctement », explique le Dr Maiken Medergaard, qui dirige ces stupéfiants travaux d’étude.

Le Dr Medergaard croit par ailleurs que cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre certaines clés d’un traitement contre l’Alzheimer, par exemple, dont l’une des raisons pourrait justement être une « intoxication » des cellules cérébrales.

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La Lune influencerait directement le sommeil

Une pleine lune peut-elle vous garder éveillé la nuit? C’est la question que pose The National Library of Medicine, en rapportant une nouvelle étude sur les cycles de la Lune et du sommeil.

En provenance de Suisse et publiée par l’équipe de la neurologiste Sylvia Frey (Université de Basel), l’étude se base sur l’analyse de 33 sujets volontaires.

Ces derniers ont été invités à passer trois jours et demi dans un laboratoire du sommeil spécialement conçu pour tester la théorie. Ne pouvant ni voir l’heure ni la lumière extérieure, les sujets ont été observés lors de leurs phases de sommeil.

Après des analyses et des calculs précis, les chercheurs ont comparé leurs données avec celles du cycle de la Lune, afin d’en arriver à une conclusion claire en ce qui concerne l’effet de la Lune sur le sommeil.

« Beaucoup de gens se plaignent de troubles du sommeil lors d’une pleine lune. Ce sont des anecdotes, mais on l’entend de plusieurs personnes. Alors, un soir de pleine lune, on en a parlé et on a pensé que l’on pourrait retourner dans nos données et les aligner avec les dates de pleine lune », explique Sylvia Frey.

Cette dernière confirme non seulement l’effet de la Lune sur le corps et le sommeil, mais avoue sa totale surprise face aux conclusions démontrées. « Nous ne nous attentions pas à de telles différences », lance-t-elle en conclusion.

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L’influence de la lune sur le coeur serait bien réelle

La pleine lune et ses effets sur l’être humain sont bien connus, et ce, depuis la nuit des temps. Or, il ne s’agit en fait que de théories, puisqu’elles sont souvent rejetées par la communauté scientifique qui n’aime pas ce genre d’histoires.

Voilà maintenant que certains spécialistes, dont des chirurgiens, avouent être en mesure de tracer et d’admettre un lien entre le cycle de lune, particulièrement la pleine lune, et des réactions cardiaques, selon le Daily Mail (UK).

Ces révélations et observations sont compilées dans une étude, effectuée à l’hôpital du Rhode Island, qui a suivi 210 patients entre 1996 et 2011.

Tous ces patients ont subi une chirurgie sérieuse à un moment ou à un autre, et la tendance tend à démontrer que ceux qui ont eu la « chance » de se retrouver sur la table d’opération alors que la lune est à son plus faible avaient de meilleures statistiques de survie.

« On a découvert que les chances de mourir des suites d’une procédure étaient grandement réduites durant la décroissance de la lune… », explique entre autres le chirurgien cardiothoracique et chercheur en chef, Frank Sellke.

Bien que plusieurs personnes n’acceptent carrément pas l’existence du phénomène, on est en droit de se demander combien d’autres théories concernant les effets de la lune pourraient être confirmées si celle-ci s’avère exacte!

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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15 h : l’heure fatidique au travail

Si vous devenez inopérant, obsolète dans vos fonctions professionnelles lorsque sonne 15 h, vous n’êtes probablement pas seul, rapporte Top Santé

Selon une étude britannique, 14 h 55 serait le dernier moment de productivité ressenti par les 400 travailleurs interrogés par les chercheurs anglais, ce qui démontre une tendance.

Il s’agit bien sûr d’une moyenne établie par l’équipe de recherche, qui a constaté qu’il serait certainement plus utile de prendre une pause pour se dégourdir ou pour se faire un café que de tenter de pousser la machine en milieu d’après-midi.

De plus, les chercheurs découvrent certains cycles de travail qui leur permettent de conclure deux choses : « La plupart du temps, si les personnes ont un élan d’énergie et abattent beaucoup de travail en une heure, ils ont tendance à être en sous-régime les deux heures suivantes. On recommande de prendre plusieurs petites pauses de cinq minutes pendant la journée ».

Michael Davies, qui dirige l’étude, croit donc qu’il ne faut pas lutter contre ce que l’on ressent, notamment lors des baisses de régime, qu’elles soient à 15 h ou ailleurs dans la journée.

Il termine en expliquant : « Nous connaissons tous des pics et de creux de productivité, mais l’astuce est de maintenir un niveau de travail constant plutôt que d’osciller d’un extrême à l’autre ».