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35 activités hyper le fun à faire cet automne tout près de Montréal!

On ne peut pas vous le cacher… On est benbenben tristes que l’été tire à sa fin. Par contre, il faut avouer que l’automne est reconnu pour venir avec ses beaux paysages, sa saison d’autocueillette, sa bouffe réconfortante et ses odeurs enivrantes. Ah oui, et on adoooore enfiler plusieurs couches de vêtement pour être confortables lors de nos escapades automnales.

Et parlant d’activités à faire pendant cette saison, on vous propose quelques destinations qui deviendront rapidement vos coups de coeur. En plus d’être situés à quelques minutes de Montréal seulement (dans les Basses-Laurentides), ces vergers, cidreries, vignobles, arrêts gourmands et parfumeries vous proposent une foule d’activités qui vous donneront envie d’y retourner, c’est certain!

Autocueillette

Crédit: @labontedelapomme via Instagram
  1. Cidrerie Lacroix
  2. Labonté de la pomme-verger et miellerie
  3. La Magie de la pomme
  4. La Tarterie du verger des musiques
  5. Les vergers Lafrance
  6. Le domaine du petit St-Joseph
  7. Jude pommes
  8. Verger Méli Mélo Senc
  9. Verger Richard Legault
  10. Verger Trottier
  11. Les fromages du verger
  12. À la croisée des pommes
  13. Verger Joannette bio

Vous pouvez cliquer juste ici pour découvrir l’offre grandissante d’autocueillette de raisins, de poires, de prunes, de citrouilles et de courges!

Activités gourmandes

Crédit: @myonly143 via Instagram
  1. Soirée Tapas au Vignoble Rivière du Chêne
  2. Brunch gourmand de La bullerie
  3. Pique-nique de La Cabane à pommes du verger Labonté de la pomme à Oka
  4. Nouvelle table gourmande de la Cidrerie Lacroix
  5. Prêt-à-manger au Domaine Lafrance
  6. Vendanges au Vignoble Rivière du Chêne
  7. Marché public du Vieux-Saint-Eustache
  8. Marché public de Blainville

Brasseries

Crédit: @micro_noire_et_blanche via Instagram
  1. Nouvelle microbrasserie Route 8 située à la Cabane à Sucre Constantin
  2. La terrasse du Noire et Blanche microbrasserie
  3. Boire une bière de Brasserie Wilsy sur un ranch
  4. Dégustations multiples au Sir John Brewing Co.
  5. Jouer au golf en dégustant une bière de la Microbrasserie L’Entêté au terrain de golf l’Entêté

Vélo

Crédit: @lem.marsolais via Instagram
  1. Piste cyclable La Seigneurie des Plaines
  2. VéloRoute d’argenteuil de 54 km
  3. La Vagabonde
  4. Parc national d’Oka
  5. Le Vieux-Saint-Eustache

Relaxer

Crédit: @vinny_dauphin via Instagram
  1. Le Spa Le Finlandais avec ses saunas issus de différentes traditions, ses nombreux bassons, ses bains, etc.
  2. Le SPA Oasis de l’Île, Hôtel & spa, refuge urbain, est une île de détente
  3. L’Institut le Rameau d’or offre une variété de soins esthétiques
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« L’avantage de la survie » démontré chez les médaillés olympiques

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov vient démystifier le rapport entre la longévité et la pratique de certains sports.

Ainsi, on apprend d’abord que ceux qui pratiquent une activité de faible intensité sporadiquement, comme le golf, verraient leur durée vie augmenter de façon identique à ceux qui pratiquent un sport un peu plus intense.

C’est lorsqu’on arrive au sport d’élite que les chercheurs peuvent constater un réel changement sur la durée de vie potentielle. Ainsi, les chercheurs australiens en tête de l’étude parlent d’un véritable « avantage de survie » observable chez les médaillés olympiques, notamment.

L’auteur en chef, Philip Clarke, explique : « Nous ne cherchions pas à déterminer si les médaillés olympiques vivaient plus longtemps, mais plusieurs explications sont possibles quant à ce phénomène, dont l’activité physique, des choix de vie sains, le rang social et le statut qui découlent d’une victoire sur la scène mondiale ».

On note par ailleurs que les sportifs professionnels qui évoluent dans des sports de contact comme le football, le rugby ou le hockey auraient un taux de mortalité 11 % plus élevé (en fonction de la durée de vie) que leurs compatriotes des sports d’élite ou de puissance (cyclisme, canot-kayak, etc.).

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Une étude met en doute le pouvoir de l’EPO

La saga Lance Armstrong a vraiment confirmé que le dopage est omniprésent dans le cyclisme, ce qui entache non seulement le sport, mais aussi tous ceux qui le pratiquent.

La chute aux enfers du septuple champion du monde (Tour de France) aura au moins eu pour effet de relancer le débat et de sensibiliser les jeunes à l’importance d’un corps sain, sans drogue.

Mais voilà que www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui remet en doute les propriétés de certaines drogues qui sont censées augmenter le niveau de performance des athlètes qui les consomment.

Et si Armstrong et les autres fautifs avaient consommé de l’EPO pour rien?

C’est ce que semblent croire les chercheurs à la tête de cette nouvelle étude surprenante, alors qu’ils affirment ne pas être en mesure d’observer des changements clairs dans les cellules sanguines qui prouveraient de meilleures performances à la clé.

Publiée récemment dans le British Journal of Clinical Pharmacology, l’étude remet en doute l’utilité de la drogue, mais pas ses dangers. Les risques de caillots sanguins et de crise cardiaque sont très réels, eux, rappellent les chercheurs.

L’un de ceux-là est le Dr Adam Cohen, du Centre for Human Drug Research aux Pays-Bas. Il déclare : « Les athlètes et leurs équipes médicales peuvent croire que l’EPO augmente les performances, mais il n’existe aucune preuve pour le corroborer. Aucun test n’a été effectué pour évaluer les différences de performances dans le cyclisme d’élite ».

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Nouvelles quotidiennes

À vélo, Mesdames : promouvoir le cyclisme chez les femmes

En fait, à l’occasion des Jeux olympiques de Londres, le Musée de la Femme s’est associé avec le Muse-O-Vélo, le Comité olympique international, le British Museum de Londres ainsi qu’avec l’organisme Cyclo Nord-Sud pour souligner la détermination et les accomplissements des athlètes féminines.

La présidente d’honneur est Lyne Bessette, championne de cyclisme.

« L’exposition À vélo, Mesdames est une occasion de célébrer la liberté de mouvement acquise par le vélo ainsi que celles qui ont mis la barre haute telles que Lyne Bessette, Lise Lépine, Claire Morissette… L’apport féminin à l’avènement d’une société urbaine humaine est sans conteste une des plus belles contributions des femmes dans le triangle formé de femme/vélo/ville », dit la directrice générale du Musée de la Femme du Québec, Lydie Olga Ntap.

L’exposition est conçue pour les non-initiés à ce sport ainsi que pour ses adeptes. Elle est entièrement libre et gratuite.

De plus, un jeu-questionnaire sur l’univers du cyclisme et un circuit en interaction seront proposés aux visiteurs, qui auront la chance de gagner divers prix offerts par les partenaires.

Rappelons que le Marché Bonsecours est l’hôte de plusieurs évènements de ce genre et de festivals. Par exemple, pirates, corsaires, boucaniers et forbans s’y sont donné rendez-vous pour prendre part au Grand Boucan, le premier festival de pirates du Québec, qui se terminait le 17 juin dernier.

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Cyclistes : gare à votre fertilité!

Qui a dit que le sport était si bon pour la santé? En tout cas, pas le vélo pour la santé sexuelle…
 
En effet, selon une étude de l’UCLA School of Nursing, qui a observé le développement hormonal de 107 hommes, ceux qui s’adonnent au cyclisme sont davantage victimes d’un déséquilibre hormonal qui engendrerait des difficultés à concevoir un bébé.
 
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont comparé la production hormonale de 45 athlètes récréatifs, 16 triathloniens et 46 cyclistes.
 
Des études plus approfondies devront être effectuées pour justifier si le vélo est à la base de réels problèmes hormonaux chez les hommes, affirme Lea FitzGerald, auteure de l’étude parue dans l’European Journal of Applied Physiology.
 
Il semble que le vélo n’est pas seulement « mauvais » pour l’appétit sexuel de l’homme, mais aussi pour celui de la femme. Une autre étude, cette fois-ci de l’Université Yale, a démontré que le cyclisme pouvait diminuer « le plaisir sexuel chez la femme ».
 
Les informations publiées le Journal of Sexual Medicine expliquent que les femmes qui pratiquent beaucoup de vélo, et particulièrement celles qui conduisent un engin dont le guidon est plus bas que la selle, développent une altération de la sensation génitale.
 
Les nerfs et les vaisseaux sanguins des organes génitaux seraient trop souvent compressés, suggère cette deuxième étude.