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La recherche avance sur le virus responsable de nombreuses anomalies congénitales

Le cytomégalovirus est peu connu de la population générale et pourtant, il est très répandu parmi celle-ci. De 30 à 70 % des gens vivant dans les pays industrialisés en seraient porteurs.

Il s’agit d’un virus de la même famille que l’herpès, celui de la varicelle et du zona. Une fois qu’une personne est infectée, elle le demeure toute sa vie.

La plupart des personnes atteintes n’auront jamais de signes de leur infection, mais celle-ci est particulièrement problématique chez les femmes enceintes.

Les scientifiques estiment que jusqu’à 2,4 % des femmes enceintes vont contracter la maladie durant leur grossesse. Ceci affectera la moitié des foetus, en causant des lésions qui provoqueront une série de problèmes comme des atteintes neurologiques, de la surdité, des problèmes hépatiques ou digestifs, ou une microcéphalie.

« Plus d’enfants ont des anomalies à cause de cette maladie qu’à cause de n’importe quel autre problème congénital, par exemple la trisomie ou le syndrome d’alcoolisme foetal », a expliqué Gavin Wilkinson, selon EurekAlert!.

« Mais nous venons de trouver une nouvelle manière dont ce virus se cache de la détection immunitaire. En découvrant ce mécanisme, nous nous rapprochons de mettre sur pied un vaccin qui permettrait d’éliminer les cellules infectées », a-t-il ajouté.

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Le cytomégalovirus, une nouvelle menace pour maman et bébé

Sur le site leral.net, la gynécologue Géraldine Dahan met en garde les futures mères contre ce virus de la famille des virus Herpes qui affecte également le bébé.

Elle explique « Le processus de contamination est assez classique, il se fait notamment par la salive, quand quelqu’un tousse par exemple ».
 
Le gros problème, c’est que tout comme d’autres virus, la moitié de la population en serait porteuse. Les gens ne le savent pas, mais bien souvent, ils sont porteurs « sains » et ne développent pas les symptômes.
 
La bonne nouvelle, c’est que si vous contractez le virus avant la grossesse, votre organisme développe des anticorps qui conduisent à l’immunité.
 
Or, si le cytomégalovirus se développe pendant la grossesse, il est impératif de le détecter le plus tôt possible, puisque dans 30 à 40 % des cas, le fœtus est infecté.
 
Une prise de sang, une amniocentèse ainsi que des échographies seront nécessaires à l’identification du virus.
 
Les conséquences sur le fœtus sont importantes. S’il s’agit d’une infection durant le premier trimestre de la grossesse, la future mère risque une fausse-couche. Si l’enfant survit, il peut développer un handicap mental, des problèmes psychomoteurs et d’autres troubles.
 
Comme il n’existe aucun traitement pour soustraire l’enfant à la contamination, il est essentiel que la future mère soit prise en charge rapidement.
 
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Le cytomégalovirus, savoir ou pas?

Le cytomégalovirus, que l’on détecte durant la grossesse, engendre des infections qui passent la plupart du temps inaperçues. En général, il s’attaque en particulier aux personnes qui ont un système immunitaire faible.

Or, on lit dans Pediatrics que 85 % des parents le détectent chez leur nouveau-né. Pourtant, ce test ne fait pas partie de ceux que l’on administre de routine. C’est la première fois que l’on s’attarde aux habitudes de dépistage dans la population en général.

Chaque année, 30 000 enfants naissent avec le cytomégalovirus chaque année aux États-Unis. Sur ce nombre, un sur cinq développera un handicap. Dans la plupart des cas, il s’agit d’une perte auditive neurologique, ou encore d’un retard intellectuel.

Malgré tout, la grande majorité des bébés infectés par ce virus ne comportent pas de symptômes à la naissance. Les symptômes pouvant l’indiquer consistent en la jaunisse ou le sous-développement intra-utérin.

Ainsi, la plupart des anomalies congénitales passent inaperçues jusqu’à l’apparition de problèmes graves, donc trop tard pour un test de diagnostic. Celui-ci doit être effectué durant la deuxième ou la troisième semaine de vie.

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Un virus causerait l’hypertension ?

Le Dr Yang Xinchun et son équipe de l’hôpital de Chaoyang à Pékin ont mis en lumière un virus commun, le cytomégalovirus (CMV), qui serait à l’origine d’une certaine hypertension. 

Il s’agit d’un virus commun qui cause souvent des infections n’ayant aucun symptôme et qui est transmis par sécrétion corporelle.
 
Bien qu’il reste énormément de travail et de recherches à effectuer, cette découverte pourrait éventuellement permettre la création un vaccin contre l’hypertension artérielle.
 
« Si nous parvenons à établir avec certitude la relation [entre le virus et l’hypertension artérielle], nous pourrons avoir des vaccins et des remèdes contre l’hypertension », explique le Dr Yang Xinchun dans la revue Circulation.
 
L’hypertension touche une personne sur cinq et est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires. Il est donc important d’avoir un suivi médical rigoureux si on en souffre.
 
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Un simple test pour sauver bébé

On apprend dans le New England Journal of Medicine qu’un test de salive pourrait détecter le cytomégalovirus (CMV). On pourrait donc faire éviter le pire à plusieurs bébés naissants.

Le CMV constitue l’infection fœtale la plus répandue dans les pays industrialisés. On accorde à ce virus plus d’infections qui sont très difficiles à détecter. S’il atteint la femme enceinte, il peut entraîner plusieurs problèmes de santé au fœtus.
 
En le détectant plus tôt et plus facilement, on pourrait aussi intervenir plus rapidement, pour ainsi minimiser la perte d’audition ou les dégâts causés quant au développement du langage chez le nouveau-né atteint du cytomégalovirus.

À l’heure actuelle, la plupart des enfants qui sont touchés par ce virus ne reçoivent pas de diagnostic, car il présente peu ou pas de symptômes. De plus, les tests portant sur le CMV ne font pas partie de la routine préventive médicale.

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Une perte d’audition durant la grossesse

On a remarqué, dans le cadre d’une récente étude américaine publiée dans les Archives of Otolaryngology-Head and Neck Surgery, qu’un virus serait lié à la perte d’audition chez plusieurs enfants.

Le cytomégalovirus (CMV) serait responsable d’une perte auditive chez l’enfant à venir si la mère le contracte pendant qu’elle est enceinte.

La présente étude regroupait 354 enfants testés positifs au CMV à la naissance et âgés de 4 ans et plus. Tous ces enfants présentaient une perte auditive et 34 d’entre eux avaient contracté le virus de leur mère. Environ 9 % des enfants présentant une défaillance auditive de faible à sévère étaient nés d’une mère ayant été atteinte du CMV durant sa grossesse.

Le CMV n’est pas virus dangereux en soit. Il peut surtout être évité par le lavage fréquent des mains. Parmi les futures mamans, 1 sur 25 en sera atteinte et, dans ce cas, il peut présenter des risques pour le bébé.

Le cytomégalovirus a déjà été lié à des problèmes de développement tels que les retards intellectuels et la paralysie cérébrale. La perte d’audition en est le problème le plus courant.

Cette perte auditive n’augmente toutefois pas après la naissance. Malgré tout, les résultats actuels préconisent un traitement préventif du CMV, et ce, le plus vite possible.