Prenez garde à la fenêtre
On réalise trop peu qu’une fenêtre peut être dangereuse pour un enfant. Une récente étude américaine en fait par ailleurs état. Ses résultats viennent de paraître dans Pediatrics.
Entre autres, on y apprend que près de 5 200 enfants ont été traités dans un service des urgences en raison de blessures liées à une fenêtre. Ce nombre correspond à des données américaines de 1990 à 2008. Cela correspond à un taux annuel de 14 enfants blessés en raison d’une chute depuis une fenêtre.
Il semble aussi que les bébés et les tout-petits (zéro à quatre ans) sont plus vulnérables. Ils représentent la majeure partie des blessures, soit 65 %, et les plus graves. C’est dans ce groupe que l’on retrouve les plus hauts taux d’hospitalisations et de décès.
La région la plus souvent touchée, lors d’une chute depuis une fenêtre, est la tête et le visage, soit dans presque la moitié des cas (49 %). Mentionnons finalement que 190 enfants se blessent de cette façon après avoir grimpé sur un meuble à proximité d’une fenêtre.
On rappelle donc aux parents de demeurer vigilants et surtout de se rappeler qu’une moustiquaire ne constitue pas une protection.
Les prématurés sont plus en danger
On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.
Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.
Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.
Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.
On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.
Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.
Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.
Les prématurés sont plus en danger
On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.
Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.
Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.
Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.
On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.
Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.
Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.
Un écolier qui transporte son repas dans un sac de papier brun s’exposerait à certains risques. Une récente étude de L’University of Texas fait état d’un danger pour la santé quant à 90 % des aliments périssables contenus dans ce type de sac.
Danger : siège d’auto
Selon une récente étude de l’Université de l’Alabama, les enfants atteints du TDAH seraient moins prudents que les autres lorsqu’ils doivent traverser la rue. Ils seraient même plus enclins à se mettre dans des situations à risque, selon Pediatrics.
On a relevé cette différence en comparant le comportement d’un groupe de 78 enfants âgés de 7 à 10 ans. La moitié d’entre eux présentaient des symptômes reconnus (au moins 12) du trouble déficitaire de l’attention et la majorité (71 %) était formée de garçons.
Les participants ayant un TDAH qui prenaient des médicaments devaient cesser de le faire 24 heures avant le début de l’étude. On a par la suite évalué ce que faisait chaque enfant avant de traverser la rue, à quel moment il le faisait et combien de temps cela lui prenait.
Les enfants présentant un TDAH se différenciaient des autres dans la mesure où ils ne réussissaient pas à percevoir l’information de manière adéquate pour traverser la rue de façon sécuritaire. Les chercheurs concluent donc que la sécurité piétonnière demeure un défi pour ces enfants.
On apprend sur Magicmaman qu’un nombre grandissant de futures mères choisissent de donner naissance à leur enfant à la maison. Seulement aux États-Unis, ce nombre d’accouchements a augmenté de 20 % entre 2004 et 2008, mais la tendance s’étend bien au-delà et gagne en popularité.
Une sage-femme de Las Vegas, qui ne manque pas de travail, confie : « Ce type d’accouchement concerne de plus en plus les personnes bien éduquées et bien informées ».
En fait, les raisons de cette démarche sont diverses : fuir l’environnement médical, éviter une césarienne à la suite d’une première expérience ou, dans les cas des Américaines, éviter des frais médicaux par manque de moyens financiers.
C’est le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui a effectué la recherche aux États-Unis. Les représentants du Collège américain des gynécologues-obstétriciens, quant à eux, déplorent la popularité grandissante de cette méthode d’accouchement. Selon eux, le danger est réel s’il y a complication ou urgence et les sages-femmes manquent de formation.
Pratiquement seul dans son camp, le Dr Joel Evans, gynécologue-obstétricien et directeur du Centre pour la santé des femmes à Stamford au Connecticut, soutient l’accouchement à domicile. Il explique : « Les femmes cherchent maintenant une alternative qui leur permet d’être traitées individuellement et non pas de suivre des protocoles qui augmentent le stress et l’anxiété lors de l’accouchement ».