Étiquette : danger
Une femme de Montréal, Emma Kwasnica, a mis en place une page Facebook ayant pour thème le partage de lait maternel.
Jusqu’ici, plusieurs groupes connexes se sont formés au Canada, regroupant chacun de 100 à 280 personnes.
Or, on peut lire sur Canada.com les avertissements provenant de l’Agence fédérale, émis il y a quelques jours, sur ce sujet.
On y apprend entre autres que ce lait, dont on ne connaît pas la provenance, peut contenir plusieurs virus, dont le VIH, en plus de bactéries pouvant mener à des intoxications alimentaires.
L’initiatrice du projet a répondu à ces mises en garde en affirmant qu’une mère saura être en confiance en rencontrant la donneuse et que plusieurs d’entre elles fournissaient les résultats de leurs analyses sanguines.
La Société canadienne de pédiatrie, qui regroupe plus de 3 000 spécialistes, rappelle quant à elle que le lait maternel n’ayant pas été préalablement analysé de manière adéquate ne doit pas être partagé.
En abaissant la teneur en plomb maximale permise au pays, le gouvernement fédéral ne tolérera, à partir de 2011, que les objets de la vie courante ayant un taux de 0,009 %, le plus bas de toute la planète, apprenons-nous sur Canada.com.
Si l’Australie demande en ce moment cette même limite, le Canada sera le plus sévère, car il inclura dans ses restrictions les jouets pour enfants avec un recouvrement protecteur.
Les objets ciblés comprennent tous les articles destinés aux jeunes enfants pouvant se retrouver dans leur bouche. On compte parmi eux les jouets, bien sûr, mais aussi les biberons et les gobelets.
De plus, cette nouvelle législation comprendra les objets de la vie quotidienne allant dans la bouche, tels les ustensiles, les pailles et les verres.
Rappelons qu’un jouet contenant du plomb n’est pas dangereux en soi. Toutefois, ingérer du plomb par contact buccal peut causer des dommages au cerveau et entraîner des problèmes à la suite d’une exposition prolongée.
Une femme enceinte peut prendre des médicaments, sous ordonnance ou non, pour soulager ses brûlures d’estomac sans s’inquiéter.
Une étude danoise parue dans le New England Journal of Medecine, basée sur plus de 840 000 naissances de 1996 à 2008, soutient que les problèmes de naissance ne peuvent être que finement liés aux médicaments cités.
Sur le lot, 3,4 % des bébés dont la mère avait pris des médicaments contre les brûlures d’estomac avaient reçu un diagnostic de problèmes majeurs de naissance, contre 2,6 % pour ceux dont la mère n’en avait pas pris.
Les analyses ont été faites en deux parties. Pour l’une, il s’agissait des femmes qui avaient ingéré de tels médicaments 4 semaines avant la conception jusqu’à la 12e semaine de gestation. Pour l’autre, les femmes en avaient pris de la semaine 0 jusqu’à la semaine 12 de gestation. Cela correspond au premier trimestre de grossesse.
Il n’y a donc aucun lien assez fort qui peut être soutenu, et ce, même en ayant retiré tous les autres facteurs de risque pouvant influer sur les résultats.
Nous pouvons lire dans Le Parisien les réflexions de Jean-Michel Lecerf, de l’Institut Pasteur à Paris, sur son récent rapport portant sur les régimes amaigrissants. Ces derniers peuvent être dangereux pour les enfants et entraîner des problèmes de santé.
Selon le chef du Service de nutrition de l’Institut, il est de plus en plus fréquent que des enfants âgés de 2 à 8 ans soient mis au régime, mais cela comporte des dangers pour leur santé. Parmi ceux-ci, on compte les troubles de croissance.
Les parents seraient poussés vers cette méthode en réaction à une dramatisation de l’obésité chez les plus jeunes. Ils devraient toutefois faire preuve de plus de vigilance, malgré les recommandations de certains médecins.
Il semble en effet que des médecins accordent une importance démesurée au surpoids de certains enfants, leur faisant suivre un régime amaigrissant à un trop jeune âge.
Le rapport de Jean-Michel Lecerf, porte sur plusieurs régimes pouvant créer des carences chez la femme. Ils sont de plus considérés comme inefficaces.
Selon un article du Conseil national de recherches Canada (CNRC) paru dans Dossiers Environnement, les personnes qui sont exposées trop longtemps aux radiations des antennes cellulaires risquent des problèmes de santé.
Basées sur la littérature scientifique des 50 dernières années, les nouvelles observations soutiennent une véritable thèse niant dorénavant l’aspect psychosomatique des symptômes en question.
Des articles du lot font état des similitudes entre les effets biologiques reliés à l’exposition à des radiations de faible intensité et celle subie à une proximité de 50 à 150 mètres d’une antenne.
Par exemple, on a pu remarquer une baisse du calcium dans les cellules cancéreuses humaines.
De plus, une étude allemande ayant suivi 1 000 personnes entre 1994 et 2004 a relevé une hausse significative du cancer chez les personnes habitant à moins de 500 mètres d’une antenne cellulaire.
Les deux auteurs de l’article, Henry Lai de l’Université de Washington et la journaliste scientifique Blake Levitt, affirment qu’il s’agit maintenant d’établir des normes d’exposition.
Rappel de poussettes Graco
Les modèles Quattro Tour et MetroLite font l’objet du rappel. Le premier a été fabriqué avant novembre 2006, le deuxième avant juillet 2007.
Cette décision a été prise après que quatre jeunes enfants soient décédés. Lesdites poussettes exposent les bébés à un très haut risque d’étranglement. Il semble que ceux âgés de moins d’un an soient particulièrement touchés par ce danger.
Ces mesures ne touchent pour l’instant que les États-Unis. En effet, les poussettes visées par le rappel répondent aux normes des autres pays où elles sont vendues.
Il en est de même pour les modèles Quattro Tour Deluxe et Aerosport. Malgré tout, Graco a émis un avis aux parents, leur rappelant quelques règles de base pour la sécurité de leur progéniture.
Il s’agit en premier lieu de toujours bien attacher l’enfant avec le harnais prévu à cet effet. D’autre part, on rappelle de suivre adéquatement le mode d’emploi. L’entreprise propose finalement un ensemble de sécurité, lequel est offert sur son site web.
Au cours de l’enquête, on a découvert que les produits Brazilian Blowout contenaient 12 % de formaldéhyde, un produit chimique reconnu pour ses propriétés irritantes et cancérigènes. Habituellement, dans les produits cosmétiques, on tolère des doses jusqu’à 0,2 % seulement comme agent de conservation, est-il précisé dans le communiqué.