Étiquette : danger
Selon une étude québécoise (Alcool et santé), une consommation d’alcool à un âge précoce peut avoir des effets très néfastes sur le développement physique et psychologique des adolescents.
Selon les auteurs de l’étude, l’alcool à un jeune âge peut causer des dommages au cerveau et provoquer des difficultés dans la gestion des émotions et un dysfonctionnement physique.
Les adolescents sont souvent exposés à une consommation précoce d’alcool parce que leur habileté à réfléchir n’est pas entièrement développée, parce qu’ils sont attirés par des sensations fortes ou encore en raison de pressions sociales.
On recommande fortement aux adolescents de réfléchir et de retarder le plus possible l’âge de leur première consommation d’alcool. On demande également aux parents de surveiller la première consommation de leur enfant et de discuter ouvertement avec eux des dangers et des effets nocifs que peut avoir l’alcool sur leur vie.
La prévention demeure le meilleur moyen d’éviter le plus possible la surconsommation et les intoxications chez les adolescents.
Une nouvelle étude démontre qu’une césarienne qui n’est pas nécessaire représente un danger pour la santé des futures mères.
Selon le magazine The Lancet, après une analyse de plus de 100 000 naissances dans divers pays, les femmes qui ont eu une césarienne alors que cela n’était pas une nécessité étaient 2,7 fois plus susceptibles de souffrir de complications comparativement aux naissances naturelles.
Elles sont aussi plus à risque d’avoir des hémorragies graves et 10 fois plus susceptibles d’être admises aux soins intensifs.
Les auteurs de l’étude mentionnent que les césariennes ne devraient être pratiquées qu’en cas de nécessité médicale. On recommande aux femmes de discuter des risques potentiels afin de prendre une décision éclairée.
En Grande-Bretagne, une naissance sur quatre est pratiquée par césarienne. Le taux global des césariennes à travers le globe serait d’environ 27,3 %. On attribue la hausse des demandes de césariennes au fait que les femmes veuillent suivre l’exemple des vedettes comme Catherine Zeta-Jones ou Victoria Beckham qui ont accouché par césarienne à leur propre demande.
Des chercheurs polonais ont étudié l’activité cérébrale des cerveaux d’hommes et de femmes face à des dangers potentiels.
Avec l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), ils ont évalué le cerveau de 21 hommes et 19 femmes. Ils ont d’abord montré des images négatives et ensuite des images positives.
Les scientifiques ont constaté que les hommes avaient plus d’activités dans l’insula gauche du cerveau lors de la présentation d’images négatives. C’est cette zone qui régit les fonctions involontaires comme la fréquence cardiaque ou la transpiration. C’est aussi là qu’il y a une réaction de combat ou de fuite face aux situations.
Devant les images négatives, les femmes avaient plutôt de l’activité dans le thalamus gauche, celui qui régit les informations sensorielles de la douleur.
On conclut donc que face au danger, les hommes sont plus aptes à réagir et passer à l’action, donc parfois amorcer le combat.
Les résultats de cette étude ont été présentés lors de la rencontre annuelle Radiological Society of North America qui s’est tenue à Chicago tout récemment.
Avec le nombre croissant de femmes ayant recours à la chirurgie du vagin, les médecins rappellent les dangers de cette intervention.
Selon les chercheurs de l’University College de Londres, aucune étude ne s’est réellement penchée sur les effets à long terme de la labiaplastie qui consiste à réduire les lèvres. Cette intervention est irréversible et souvent pratiquée uniquement pour des raisons esthétiques.
Autrefois, c’était surtout les mannequins de renom qui avaient recours à l’intervention. Dans les dernières années, on assiste toutefois à une augmentation de ce type de chirurgie. 1 118 femmes ont eu une labiaplastie en 2008-2009 contre 669 en 2007-2008 et 404 en 2006-2007.
Selon les chercheurs, cette chirurgie pourrait endommager les organes génitaux féminins. On demande des recherches approfondies sur les effets à long terme, notamment sur la fonction sexuelle.
Plusieurs rapports ne font mention que de la satisfaction des clientes face à l’apparence, mais tous mentionnent qu’il doit y avoir plus de suivi sur les effets physiques comme la gêne ou une diminution des sensations.
Les psychologues expliquent l’augmentation d’une telle chirurgie par la pression sociale exercée sur les femmes et la publicité qui prône une apparence prépubère pour toutes les femmes.
Débat sur les nanotechnologies
Des scientifiques britanniques du Bristol Implant Research Centre viennent de relancer le débat concernant l’utilisation des nanotechnologies dans le monde de la médecine.
Depuis quelques années, on voit arriver des essais avec des nanoparticules afin notamment d’offrir de meilleurs examens par imagerie magnétique ou encore pour transporter des médicaments dans le corps.
Or, la nouvelle étude publiée dans le Nature Nanotechnology mentionne que les chercheurs ont démontré qu’une petite particule de métaux utilisée dans les opérations de la hanche et du genou altère l’ADN au-delà de la barrière cellulaire, sans la traverser, au moyen d’un signal dont on ignorait l’existence jusqu’à maintenant.
On invite donc à la prudence avec les nanotechnologies, car bien qu’elles soient prometteuses, on ignore encore les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer dans le corps humain.
Les tests et essais doivent donc être plus approfondis et analysés scrupuleusement avant de commencer à prodiguer ce genre de soins à un grand nombre de personnes, car cela pourrait avoir des effets néfastes et très dévastateurs que les médecins n’ont pas encore prévus.
Débat sur les nanotechnologies
Des scientifiques britanniques du Bristol Implant Research Centre viennent de relancer le débat concernant l’utilisation des nanotechnologies dans le monde de la médecine.
Depuis quelques années, on voit arriver des essais avec des nanoparticules afin notamment d’offrir de meilleurs examens par imagerie magnétique ou encore pour transporter des médicaments dans le corps.
Or, la nouvelle étude publiée dans le Nature Nanotechnology mentionne que les chercheurs ont démontré qu’une petite particule de métaux utilisée dans les opérations de la hanche et du genou altère l’ADN au-delà de la barrière cellulaire, sans la traverser, au moyen d’un signal dont on ignorait l’existence jusqu’à maintenant.
On invite donc à la prudence avec les nanotechnologies, car bien qu’elles soient prometteuses, on ignore encore les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer dans le corps humain.
Les tests et essais doivent donc être plus approfondis et analysés scrupuleusement avant de commencer à prodiguer ce genre de soins à un grand nombre de personnes, car cela pourrait avoir des effets néfastes et très dévastateurs que les médecins n’ont pas encore prévus.
Avoir le nez fin
Selon une étude publiée dans le journal Science, des chercheurs américains ont démontré que l’odorat humain apprend rapidement à percevoir les variations subtiles d’une odeur associée au danger.
Alors que les participants n’étaient pas en mesure de différencier deux odeurs similaires au début de la recherche, ils ont rapidement appris à en faire la distinction lorsqu’on leur administrait une décharge électrique associé à l’une d’entre elles.
Les chercheurs affirment que notre odorat développé, qui est un exemple de capacité d’adaptation, est un cadeau de nos ancêtres qui réussissaient à se protéger des prédateurs grâce à leur nez fin.