Catégories
Uncategorized

Un grand nombre de Québécois ignorent leur état de santé

Les moments difficiles que vit le système de santé au Québec n’a pas que des impacts sur les patients à l’intérieur des murs des urgences et des centres hospitaliers du Québec, selon ce que rapporte Le Devoir.

L’impact des problèmes en santé frappe aussi un grand nombre de Québécois qui ignorent leur état de santé, croient des spécialistes.

C’est une étude-sondage menée auprès de 20 000 Québécois qui permet de tracer un tel constat, alors que plusieurs statistiques ont de quoi inquiéter largement.

Voici quelques exemples. De toutes les personnes sondées, 8 % présentaient des symptômes d’insuffisance rénale sans le savoir. 73 % seulement des personnes diabétiques connaissaient leur état, alors que seulement la moitié des sujets aux prises avec des niveaux de cholestérol trop élevés étaient au courant.

En clair, des centaines de personnes au Québec souffrent d’un trouble de santé important sans le savoir, conclut le Dr François Madore, qui commente l’étude. « Il y a des lacunes, visiblement on ne traite pas ces problèmes adéquatement et il faut comprendre pourquoi. »

L’étude confirme une nouvelle fois l’urgence d’agir en matière de santé au Québec, alors que le système semble ne plus proposer de solutions efficaces à son engorgement.

Les données de l’étude-sondage ont été publiées dans le Clinical Journal of the American Society of Nephrology et recueillies dans le cadre du projet CARTaGENE.

Catégories
Uncategorized

Une variante génétique vulnérable aux viandes transformées

De nombreuses études ont confirmé certains dangers pour la santé liés à la consommation de viandes transformées. On sait maintenant qu’il est important de limiter l’achat et la consommation de ces produits usinés, même s’ils se retrouvent souvent partout et dans un grand nombre d’options au supermarché.

Cependant, certaines personnes mangent littéralement ce qu’elles veulent au cours de leur vie et ne semblent pas trop en souffrir.

Une nouvelle étude jette un peu de lumière sur ce phénomène, rapporte MedicalNewsToday, alors que des chercheurs de la Cancer Research Center’s Public Health Sciences Division viennent de lier une variante génétique à une vulnérabilité accrue aux viandes transformées.

Cette vulnérabilité fait augmenter les risques de cancer colorectal chez les consommateurs de viandes transformées, s’accordent pour dire les spécialistes.

La variante rs4143094 serait observable chez au moins une personne sur trois, selon la Dre Jane Figueiredo, qui présente l’étude.

« Nos résultats, si reproduits dans d’autres études, pourraient procurer une meilleure compréhension de la biologie du carcinogène colorectal. La possibilité que des variantes génétiques puissent modifier le risque individuel d’une maladie basé sur le régime alimentaire n’a pas encore été étudiée de façon concrète, mais représente une information importante dans le développement de certaines maladies », explique Dre Figueiredo.

Une étude intéressante qui pave la voie à de nouvelles découvertes, en somme. Les résultats ont été publiés dans la revue PLOS Genetics.

Catégories
Uncategorized

La Californie veut des avertissements sur les boissons gazeuses

Les Californiens se dirigent vers une nouvelle façon de faire en matière de vente et d’étiquetage des boissons gazeuses, un peu à l’image de ce qui a été fait pour les paquets de cigarettes il y a quelques années.

MedicalNewsToday rapporte qu’une nouvelle étape a été franchie vers une réforme en la matière, alors que l’État de la Californie a approuvé une nouvelle législation concernant la vente de boissons gazeuses.

La législation rédigée et introduite par les sénateurs Bill Monning et Tem Darrell Steinberg propose des étiquettes spéciales afin de s’assurer que les citoyens de la Californie sont bien au fait des dangers liés à la consommation de boissons gazeuses, notamment l’obésité et le diabète.

« Les consommateurs ont le droit de savoir et de connaître les effets retour sur la santé d’une consommation fréquente de boissons gazeuses. La législation SB 1000 fait exactement ce que l’industrie estime devoir faire depuis longtemps, c’est-à-dire éduquer le public », lance non sans fierté M. Monning.

La Californie devient donc un État pionnier en la matière, et les étiquettes d’avertissement pourraient se retrouver sur les produits visés dans un avenir rapproché.

Catégories
Uncategorized

Polémique grandissante concernant le vaccin Gardasil

C’est une véritable bombe qui s’abat en santé, alors que des scientifiques ont publié des observations peu flatteuses et inquiétantes concernant le populaire vaccin Gardasil, rapporte notamment Le Devoir.

« Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et, de plus, il est porteur de risques », déclare d’emblée la chercheuse Lucija Tomljenovic, basée en Colombie-Britannique.

Même son de cloche du côté de l’Europe et de la France, alors que 25 nouvelles plaintes seraient déposées contre le Gardasil, pourtant largement vanté et distribué chez les jeunes femmes depuis quelques années.

Le vaccin Gardasil promet de protéger du VPH et du cancer de l’utérus, mais les certitudes semblent de plus en plus fragiles en ce qui concerne le produit.

Plusieurs jeunes femmes vaccinées clament que le Gardasil est responsable de leur diagnostic de sclérose en plaques (SEP), de lupus et d’encéphalomyélite aigüe disséminée, un véritable scandale en soi si la chose se vérifie.

Quand on pense que les gouvernements et associations de santé de partout dans le monde, dont au Canada, n’ont pas hésité à faire vacciner des millions de jeunes filles et de femmes, on peut se demander quels sont les processus mis en place pour véritablement protéger la population.

Les spécialistes qui publient leurs observations et inquiétudes sur le Gardasil aimeraient maintenant faire adopter un moratoire sur le produit d’ici à ce qu’on fasse la lumière sur ses effets réels.

Catégories
Uncategorized

Être trop mince comporte aussi des risques pour la santé

Une nouvelle étude estime qu’une personne sous le poids santé recommandé court aussi plusieurs risques pour sa santé et pourrait même voir son espérance de vie diminuer, rapporte le ScienceWorldReport.

C’est un physicien du St. Michael’s Hospital de Toronto, le Dr Joel Ray, qui s’est penché sur la question et a analysé les données de 51 études précédentes qui étudiaient les impacts sur la santé d’un poids considéré trop faible.

Les risques de décès prématurés seraient aussi grands, sinon plus, chez les personnes trop minces que chez les personnes obèses, observe le Dr Ray. Ce dernier croit par ailleurs qu’il pourrait être utile de revoir nos façons de penser en termes de quantification et d’analyse du poids des patients.

« Nous avons l’obligation de nous assurer d’éviter de créer une épidémie d’adultes trop minces, et qui seraient en temps normal de poids correct. Nous sommes alors obligés d’utiliser le bon outil de mesure. Si notre objectif est plutôt la lutte à l’excès de gras, nous pourrions changer pour une mesure de la circonférence de la taille », explique le Dr Ray, en lien avec le l’IMC (Indice de Masse Corporelle), qu’il croit désuet et non représentatif.

L’étude complète a été publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health.

Catégories
Uncategorized

Les boissons gazeuses diètes dangereuses pour la santé cardiaque des femmes?

La surconsommation de boissons gazeuses diètes serait possiblement dommageable pour la santé des femmes, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude américaine en provenance de l’Iowa estime que les femmes qui consomment de grandes quantités de ces boissons sont plus à risque que les autres de subir un infarctus ou de développer des troubles cardiovasculaires.

Cette nouvelle recherche, qui se base sur les données de plus de 60 000 dossiers de patientes en post-ménopause, contribue donc à détruire le mythe que les boissons gazeuses diètes sont « sans danger » pour la santé.

« Ce n’est pas la première étude à démontrer un lien entre la consommation de soda diète et le risque d’attaque et de maladies cardiaques. Ce ne devrait plus être une surprise désormais », déclare la professeure Susie Swithers, qui analyse les résultats sans prendre part à l’étude.

Les conclusions complètes de l’étude seront présentées lors du prochain congrès de l’American College of Cardiology, du côté de Washington.

Catégories
Uncategorized

Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

Catégories
Uncategorized

Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

Catégories
Uncategorized

Un an pour perdre le surplus de poids de votre grossesse

Des chercheurs de l’hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada, ont observé la courbe de perte de poids de 300 femmes, suivant leur accouchement. Ils ont réalisé que la perte de poids débute habituellement 3 mois après la grossesse et peut s’échelonner, normalement, jusqu’à 12 mois.

Ce fut le cas, rapporte bbc.news, pour 75 % des femmes observées. Le quart des femmes qui n’ont pas réussi à perdre l’excès de poids à l’intérieur d’un an se sont avérées plus à risque de développer des problèmes de santé. Certaines d’entre elles avaient même repris des livres.

Selon l’équipe menée par Dr Ravi Retnakaran, ce 25 % de femmes présentait une pression plus élevée, des risques de développer du diabète de type 2, ainsi que des problèmes cardiovasculaires. De plus, elles augmentaient les chances d’être en surpoids 15 ans plus tard.

Retnakaran affirme qu’il est normal pour une femme de prendre un surplus de 20 % de son poids d’origine pendant la grossesse. Pour perdre ces livres en trop, il est essentiel de faire des activités physiques dès que possible.

Catégories
Uncategorized

L’accouchement dans un bain serait dangereux et déconseillé

Bien que cette méthode de naissance gagne en popularité, les prétendus bienfaits, selon l’American Academy of Pediatrics et l’American College of Obstetricians and Gynecologists, ne valent pas les dangers associés.

En fait, les spécialistes s’accordent pour dire que « la pratique de l’immersion lors de la seconde étape de l’accouchement devrait être considérée comme une procédure expérimentale ».

Il n’y aurait pas non plus de longue liste de bienfaits. Du moins, selon Cathy Emeis, une infirmière et sage-femme, aucun qui vaille la peine de risquer l’infection, la baisse de température du corps ou les difficultés respiratoires de l’enfant.

Selon Science World Report, les futures mères utilisent beaucoup ce type d’accouchement pour diminuer les douleurs et éviter l’épidurale ou toute médication qui pourrait nuire au bébé.

Un nouveau guide américain mentionne que les femmes qui souhaitent donner naissance par immersion devraient être informées des risques, signer un consentement et s’assurer d’être dans un environnement clinique spécialisée.

Les détails de l’étude ont été publiés dans la revue Pediatrics.