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Garder son téléphone près du lit serait une bien mauvaise idée

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude intéressante sur les impacts et effets sur la santé du simple fait de garder son téléphone cellulaire près de son lit durant la nuit.

Quelques études précédentes avaient déconseillé une telle habitude, expliquant notamment que la luminosité de l’écran pouvait nuire au sommeil et faciliter les problèmes d’insomnie.

Cette nouvelle étude, qui prend la forme d’un sondage, révèle que huit personnes sur dix gardent leur téléphone allumé durant les périodes de sommeil, et que la moitié d’entre nous utilise cet appareil comme réveille-matin.

Un comportement qui nuit gravement au sommeil et à la qualité de ce dernier, s’accordent pour dire plusieurs spécialistes qui commentent l’étude.

D’abord parce que l’émission d’ondes et d’énergie perturbatrice par nos appareils mobiles nous garde en état d’hyper-vigilance, et s’avère susceptible de nuire à la qualité du sommeil.

Des nuits moins réparatrices donc, et souvent moins longues, qui peuvent même mener à de l’insomnie et à d’autres troubles connexes. Des maux de tête, des nausées et des étourdissements peuvent aussi être observables chez ceux qui conservent leur téléphone à portée de main, même la nuit.

L’étude sondage a été réalisée par la firme Ofcom, en Angleterre.

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Des enfants souffrant d’obésité morbide retirés des familles par les services sociaux

C’est une question à laquelle les parents de 74 enfants du Royaume-Uni n’ont pas eu le loisir de répondre. Dans le but de mettre un terme au phénomène d’obésité morbide chez les enfants, qui devient une réelle épidémie, les services sociaux ont pris le relai.

Cette procédure a lieu depuis les 5 dernières années. Les données démontrent que le poids de 183 enfants de moins de 11 ans en Angleterre, en Écosse et au Pays de Galles dépassait les 100 kg.

En plus, 8 d’entre eux pesaient au-delà de 127 kg, et le plus obèse affichait 147 kg sur la balance, selon un rapport publié, rapporte mid-day.com.

Selon les informations transmises par le Centre d’information sur la protection sociale, il y a eu une augmentation de 12 % du nombre d’enfants britanniques obèses de moins de 16 ans ayant été admis à l’urgence à cause de leur surpoids.

Parmi les enfants hospitalisés, entre 26 et 46 ont été pris en charge immédiatement par les services sociaux.

Un représentant du service d’éducation a déclaré : « Il ne s’agit pas de quelques livres en trop. Il faut protéger ces enfants qui sont face à de réels problèmes de santé pouvant mettre leur vie en danger ».

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Que faire lorsque le père de votre enfant représente un danger?

Il se peut que vous soyez encore en couple avec ce dernier ou séparée. Dans l’une ou l’autre des situations, il faut déterminer ce qui est dangereux, rapporte She Knows. Ils ont rencontré le thérapeute Dr David Simonsen.

Un mauvais parent est quelqu’un qui, d’une façon ou d’une autre, met la sécurité de l’enfant en péril.

Danger physique – Une action rapide doit être prise si le père de l’enfant le néglige physiquement ou, au contraire, s’il y a abus physique pour la discipline.

Danger émotionnel et mental – Si l’enfant est manipulé émotionnellement, il est aussi important d’intervenir. L’abus émotionnel peut causer des dommages importants à long terme. Si le père traite l’enfant de noms (imbécile, attardé, etc.) ou s’il le menace ou lui fait du chantage, il faut faire cesser ces agissements.

Danger sexuel – On ne parle pas d’agression sexuelle, mais plutôt de la perception de l’enfant face à la sexualité. Si le père a de nombreuses conquêtes et que l’enfant est témoin de rapports inappropriés, ou qu’il sert de confident sur les troubles amoureux du père, cela représente un danger.

Dans tous les cas, si vous vous sentez incapable de régler la situation seule, demandez de l’aide à quelqu’un qui connaît bien le père ou encore à un avocat, en dernier recours.

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Les boissons énergisantes augmentent les risques de troubles mentaux

Comme si les boissons énergisantes n’avaient pas déjà assez mauvaise presse et d’ennemis dans la communauté médicale comme cela, voilà qu’une nouvelle étude en rajoute.

Le Daily Mail (UK) rapporte en effet que des chercheurs estiment maintenant que ces boissons pourraient également être dangereuses pour la santé mentale, et mener à diverses dépendances.

Cette théorie s’ajoute bien entendu aux effets nocifs potentiels des boissons énergisantes sur la santé cardio-vasculaire, déjà bien connus des spécialistes.

L’étude ici rapportée parle d’un danger accru de dépendances diverses chez les adolescents, encouragés par la consommation de boissons énergisantes. Des troubles dépressifs seraient aussi liés à une consommation accrue de ces boissons, dans plusieurs cas.

Les chercheurs canadiens en tête de l’étude s’inquiètent également de la tendance qui voit les jeunes mélanger boissons énergisantes et alcool, un cocktail explosif et dangereux.

« Les campagnes de marketing semblent entièrement dédiées à inciter les jeunes et les jeunes adultes. », s’insurge l’auteur de l’étude, le Dr Sunday Azagba.

Les résultats de cette étude sont publiés dans le journal Preventive Medicine

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Un virus vieux de 30 000 ans effectue son grand retour

C’est en Sibérie que des spécialistes ont fait une importante et étrange découverte, selon ce que rapporte Santé Log et Top Santé, soit celle d’un virus vieux de plusieurs dizaines de milliers d’années.

Il s’agit du Pithovirus, découvert dans le froid et le sol gelé sibérien, qui serait resté bien tranquille et à l’abri des regards et des dangers durant 30 000 ans, jusqu’à ce que des scientifiques français le retrouvent.

L’équipe de chercheurs et de scientifiques du CNRS de Marseille ne cache d’ailleurs pas son enthousiasme, mais aussi son inquiétude face à cette découverte aux allures historiques.

« La démonstration que des virus enfouis dans le sol il y a plus de 30 000 ans peuvent survivre et être encore infectieux suggère que la fonte du pergélisol due au réchauffement climatique et l’exploitation minière et industrielle des régions arctiques pourraient comporter des risques pour la santé publique », explique le spécialiste Jean-Michel Claverie, du CNRS.

En clair, les spécialistes s’inquiètent de voir quelques horreurs antiques revenir nous hanter à mesure que la température globale de la planète augmentera, ce qui n’indique rien de bon.

Les chercheurs du CNRS vont maintenant concentrer leurs travaux afin d’identifier de possibles menaces éventuelles, notamment celle de la variole, disparue depuis 1977.

Les conclusions et les détails de cette découverte par l’équipe marseillaise du CNRS ont été publiés dans les Actes de l’Académie nationale des sciences américaine (PNAS).

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Un test qui détermine l’espérance de vie

Si on vous donnait la chance de connaître vos chances de survivre aux cinq prochaines années, voudriez-vous vraiment le savoir?

C’est un peu la question morale qui se pose lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par Santé Log, informant qu’un test de « dépistage de l’espérance de vie » pourrait bientôt être développé et mis en marché.

Selon cette source, des chercheurs européens et américains seraient parvenus à créer un test préliminaire capable d’identifier l’espérance de vie au cours des cinq années suivantes, à l’aide de multiples facteurs.

Avec ce test s’effectuant grâce à un prélèvement sanguin et à une analyse des biomarqueurs d’un individu donné, les spécialistes croient être en mesure d’identifier les chances de celui-ci de survivre aux cinq prochaines années.

Les chercheurs semblent satisfaits et un peu surpris du haut taux de succès de ce premier test, qui pourrait mener à de nouvelles façons de faire en médecine et en prévention de certaines maladies et des décès prématurés.

Les conclusions et résultats en lien avec ce test ont été publiés dans le magazine PLoS Medicine.

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Modification des campagnes publicitaires pour décourager les jeunes de texter en conduisant

L’ancien secrétaire de la U.S. Transportation, Ray LaHood, croit que cette mauvaise habitude de texter au volant est devenue un « réel fléau ».

Les professeurs en marketing Loannis Kareklas et Darrel Muehling ont d’ailleurs récemment analysé les habitudes de conduites de près de 367 conducteurs, de façon aléatoire.

Les gens se justifient, disant qu’ils ne « regardent que 2 ou 3 mots », puis reportent leur attention à la route. Ce n’est pas suffisant. Ce sont plus du quart des accidents automobiles qui sont causés par la distraction des messages texte au volant.

Les chercheurs ont donc demandé aux participants ce qui représentait le plus la mort pour eux, en présentant différentes images.

Par la suite, une nouvelle campagne de publicité rassemblant des éléments reliés émotionnellement aux gens, comme la tête de mort et des phrases-chocs donnant le nombre de décès, a réellement créé une diminution marquée de l’utilisation du cellulaire en conduisant.

« Les jeunes qui ont été exposés à cette nouvelle publicité ont reporté une diminution significative de cette pratique », affirment Kareklas et Muehling.

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Les caissiers et serveurs à risque à cause du bisphénol A?

Le métier de caissier, commis ou serveur est-il plus dangereux qu’on pourrait le croire? C’est ce que laisse entendre une nouvelle étude en provenance de l’Université de Cincinnati, maintenant rapportée par The National Library of Medicine. Elle conclut que les factures et reçus manipulés des milliers de fois par ces employés pourraient être toxiques.

Une toxicité explicable par la présence de bisphénol A (aussi largement connu sous le nom de BPA) dans les reçus de papier tendus aux clients à la suite d’une transaction.

Utilisé pour éviter que les couleurs et détails du reçu s’effacent, le bisphénol A n’aurait besoin que de deux heures pour causer un effet sur un caissier, selon les chercheurs américains.

C’est donc dire qu’après deux heures de travail intense, un commis verra ses taux de BPA augmenter radicalement. Cette conséquence peut s’avérer bénigne, mais les chercheurs s’inquiètent de voir de jeunes femmes enceintes ou fertiles passer 40 heures par semaine à manipuler ces reçus et factures.

La même crainte, cette fois en lien avec des contenants et bouteilles, a été établie au cours des dernières années concernant le BPA et les jeunes enfants.

D’autres études sur le sujet doivent être réalisées pour mesurer les effets réels à long terme du BPA retrouvé sur les reçus et factures des magasins.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Création d’un nouveau test de détection du cancer sans danger pour la santé

The National Library of Medicine rapporte la création d’une nouvelle méthode pour tester les gens en prévention du cancer, et qui ne comporte pas de risque inhérent pour la santé.

Ironiquement, les tests scanneurs utilisés en oncologie pour dépister les cas de cancer utilisent des radiations qui peuvent contribuer au développement de problèmes de santé chez les patients testés, voire du cancer lui-même. On parle d’un risque accru chez les enfants et les « jeunes adultes », soit jusqu’à 40 ans.

Mais selon le Dr Heike Daldrup-Link, de l’école de médecine de Stanford, la solution pourrait maintenant être à nos portes.

« Nous pouvons résoudre le problème et le dilemme liés à la nécessité d’un scanneur pour tout le corps et son risque potentiel de provoquer un cancer plus tard au cours de la vie d’un patient », explique le Dr Daldrup-Link.

Cette solution se traduit par l’utilisation d’un test par résonnance magnétique doublé d’un agent contrastant, un genre de supplément, qui permet de mieux voir ce qui se passe dans le corps d’un patient. Un premier essai sur 22 patients a démontré une efficacité similaire à celle du scanneur par radiations.

Même s’il s’agit d’une belle percée, d’autres études et tests sont à faire avant que cette nouvelle méthode soit approuvée et utilisée sur une large échelle.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le journal The Lancet Oncology en février.  

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La dangerosité des emballages d’aliments encore démontrée

Une nouvelle étude confirme la dangerosité de la plupart des contenants et processus d’emballage de plusieurs aliments retrouvés dans nos supermarchés, selon ce que rapporte Medical News Today.

Cette nouvelle recherche menée par des scientifiques spécialistes en environnement sonne l’alarme et a de quoi inquiéter les consommateurs.

On y révèle que malgré la régulation de plusieurs produits chimiques, la population entre en contact avec de dangereux produits chaque jour par l’entremise des produits alimentaires transformés ou emballés en usine.

Les plastiques, cartons et autres emballages présentent souvent des traces importantes de formaldéhyde, de bisphénol A, de tributytine, de triclosane et de phtalates, croient les scientifiques impliqués dans l’étude.

« Ces faits sont peut-être d’une grande importance pour les scientifiques qui s’intéressent aux origines de développement des maladies, et des expositions environnementales chez les enfants. Alors que la science de ces substances est débattue et que les faiseurs de règles peinent à satisfaire les actionnaires, les consommateurs sont exposés à ces produits chimiques sur une base quotidienne, la plupart du temps à leur insu », expliquent avec fougue les spécialistes de l’étude.

De quoi créer une véritable réflexion sur nos habitudes de consommation et nous inciter à repenser notre façon de manger.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.