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Le poker en ligne crée les plus graves dépendances

De tous les jeux de hasard en ligne, le poker est celui qui présenterait les plus grands dangers de dépendance, selon ce que rapporte Top Santé.

Si on connaissait les dangers relatifs au poker en ligne, une nouvelle étude dévoile maintenant quelques statistiques pour illustrer les risques de dépendance découlant de ce loisir, qui peut parfois prendre des allures de cauchemar.

L’étude française, proposée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), explique qu’un joueur de poker en ligne sur cinq parie de façon quotidienne, contre un sur dix pour les autres amateurs de jeux de hasard.

La moyenne de dépense annuelle est également la plus élevée chez les joueurs de poker en ligne, et se situe à près de 1200 dollars (CAN).

Mais la statistique la plus éloquente est celle qui dévoile la moyenne d’âge des amateurs de ces sites de poker. La moitié des joueurs auraient moins de 33 ans, et les trois quarts moins de 41 ans.

L’étude rappelle donc l’importance d’être vigilant, de jouer avec modération et de se souvenir que ce genre de jeu relève du hasard. Les allégations de tricheries et de collusion du côté de certains sites américains rendent donc la chose encore plus dangereuse, et les consommateurs de poker en ligne doivent être conscients du grand nombre de risques inhérents à cette activité.

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Les suppléments d’antioxydants pourraient favoriser le développement du cancer du poumon

Une étude proposée par une équipe de chercheurs suédois a de quoi inquiéter les amateurs et consommateurs d’antioxydants et de suppléments de vitamines antioxydantes, rapporte Top Santé.

Selon les chercheurs du Centre du cancer à l’Institut de médecine de Göteborg, menés par le Dr Martin Bergö, les suppléments d’antioxydants pourraient contribuer à un facteur de risque aggravé de cancer du poumon, notamment en accélérant certains processus qui mènent à la maladie.

Pour l’instant limitées aux suppléments, ces observations contredisent plusieurs idéologies véhiculées par de nombreux spécialistes de la santé au cours des dernières années. Pourtant, les chercheurs suédois semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

« Nous avons constaté que ces antioxydants ont triplé le nombre de tumeurs et aussi fortement accéléré leur agressivité. Quand nous avons éliminé cette protéine chez les souris et dans les lignées cellulaires de cancer du poumon humain, les antioxydants n’ont plus eu d’effet », explique le Dr Bergö.

Ce dernier recommande donc, et particulièrement aux fumeurs, d’éviter la prise de ce type de suppléments et de s’en tenir à une alimentation saine et équilibrée.

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Commotions cérébrales : un risque accru de décès prématuré

Une nouvelle étude vient jeter de l’huile sur le feu dans le dossier des commotions cérébrales, rapporte Santé Log, et ajoute au sentiment d’urgence dans cette affaire.

En provenance de l’Université d’Oxford et de l’Institut de Karolinska, les données et conclusions proposées révèlent et confirment que les personnes souffrant ou ayant souffert de commotions cérébrales au cours de leur vie sont à risque de voir baisser leur espérance de vie ou d’un décès prématuré, si vous préférez.

On parle d’un risque accru de décès prématuré parfois jusqu’à trois fois plus élevé que chez les autres personnes, selon les cas et leurs gravités, mais on précise que de « légères » commotions peuvent également avoir un impact sur la santé et la longévité, à long terme.

Pire encore, les commotions cérébrales augmenteraient jusqu’à deux fois les risques de suicides chez les sportifs qui en souffrent…

Ces conclusions en rajoutent donc, à l’heure où le débat entourant la violence dans le sport est à son comble, notamment en ce qui concerne le football et le hockey, et tendent à confirmer qu’il est urgent d’agir.

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Froid intense : les engelures nous guettent

En cette période qui chevauche celle des réjouissances et celle du retour progressif au travail, les déplacements peuvent s’avérer nombreux, ainsi que les moments passés à l’extérieur.

Dans un très mauvais timing de dame nature, c’est précisément depuis quelques jours que le Québec (et une partie du Canada) connaît sa pire vague de froid intense de l’année, ouvrant toute grande la porte aux engelures, selon Santé Canada.

Cette dernière en profite donc pour lancer un avertissement aux citoyens, rapporte Radio-Canada, qui devraient faire preuve de vigilance et ne pas prendre les températures extrêmes trop à la légère.

« La peau et les organes exposés comme les oreilles et le bout du nez peuvent assez facilement développer des engelures qui sont vraiment des lésions. Souvent, on va perdre de la sensibilité et on va peut-être même oublier qu’on avait eu des symptômes, surtout si on a pris un petit coup de trop. Donc, ce qui pourrait arriver, c’est que cette lésion-là progresse et mette vraiment en danger les tissus », rajoute le Dr Alain Vadeboncoeur, bien connu des Québécois, pour le compte de Radio-Canada.

On suggère donc de ne pas lésiner sur les protections et les « couches de vêtements » hivernales, à tout le moins jusqu’à ce que cette intense vague de froid soit passée.

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Attention, recrudescence d’ecstasy chez les adolescents

« Ce n’est que la pointe de l’iceberg », affirme Steve Pasierb, président-directeur général de Drugfree.org. « On ne parle ici que des cas qui se sont retrouvés en salle d’urgence, et ça devrait sonner l’alarme. »

Comme l’indique webmd.com, plus de 10 000 jeunes en 6 ans ont été hospitalisés. D’ailleurs, la U.S. Substance Abuse and Mental Health Services Administration (SAMHSA) rapporte que dans la majorité des cas, la combinaison avec de l’alcool a été relevée.

L’ecstasy augmente la sensation d’euphorie et redonne de l’énergie, et ce, en raison d’une altération du fonctionnement chimique du cerveau. Mais en parallèle, les effets secondaires regroupent la déshydratation, l’augmentation marquée de la température corporelle et de la pression sanguine, et un rythme cardiaque rapide. Des symptômes qui peuvent mener à un arrêt cardiaque ou un dysfonctionnement rénal.

Si vous entendez parler de Molly, méfiez-vous d’autant plus. Il s’agit d’une nouvelle forme d’ecstasy, en poudre, qui peut facilement être recoupée avec d’autres ingrédients hallucinogènes, potentiellement mortels.

Les autorités sont plus alertes depuis le retour de décès en lien avec la surdose d’ecstasy, et demandent aux parents d’en faire de même.

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Pas de risque à consommer de l’aspartame en bas du seuil recommandé

L’EFSA (Agence Européenne de Sécurité Alimentaire) persiste et signe dans son évaluation des risques liés à la consommation d’aspartame, rapportent Top Santé et Santé Log, un ingrédient surtout utilisé pour remplacer le sucre dans divers produits.

Ainsi, l’EFSA maintient sa position concernant l’aspartame, et confirme dans un rapport que si la consommation du produit demeure en deçà du seuil recommandé, les risques pour la santé sont faibles ou inexistants.

« Pour la population générale, la dose journalière acceptable (DJA) actuelle de 40 mg par kilogramme de poids corporel constitue une protection adéquate », expliquent les spécialistes de l’Agence Européenne de Sécurité Alimentaire.

Ce seuil pourrait équivaloir, en moyenne, à une telle quantité de produits contenants de l’aspartame consommés sur une base quotidienne que la conclusion proposée par l’EFSA est évidente : l’aspartame n’est pas dangereux.

Si plusieurs personnes restent sceptiques face à ces nouvelles conclusions, d’autres seront ravies d’apprendre qu’elles peuvent continuer d’ajouter du faux sucre dans leur boisson chaude ou de consommer des boissons gazeuses légères.

Cependant, comme avec tout, la modération est fortement recommandée, et on rappelle que le meilleur conseil en santé et nutrition en ce qui concerne les boissons est de boire beaucoup d’eau, et ce, quotidiennement.

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L’effet des boissons énergisantes sur le coeur observé et démontré

Une équipe allemande de spécialistes a voulu passer de la théorie à la pratique en observant de façon concrète l’impact et les effets des boissons énergisantes sur le cœur et sa santé, rapporte The National Library of Medicine.

Ainsi, les chercheurs allemands ont demandé à 18 volontaires dans la mi-vingtaine et considérés comme en excellente santé de se prêter à un test par résonnance magnétique visant à observer les réactions cardiovasculaires avant et après la consommation d’une telle boisson.

Après un premier test initial, les chercheurs ont ensuite refait passer le test par résonnance magnétique, non sans avoir offert une boisson énergisante à forte teneur en caféine et en taurine à leurs patients.

Les résultats sont aussi clairs qu’inquiétants, alors que tous les sujets ont démontré de sérieuses contractions au ventricule gauche, une heure suivant la prise du produit.

Rappelant que les boissons énergisantes, pourtant en vente libre à tous âges, renferment jusqu’à trois fois la dose de caféine contenue dans une boisson gazeuse ou un café, le directeur de cette recherche aimerait sensibiliser la population à ces conclusions éloquentes.

On souhaite également pousser les recherches plus loin, afin de tenter de déterminer les effets de ces boissons sur le corps et la santé à long terme.

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Un dirigeant de Cola-Cola croit qu’il est temps de changer les choses

Incroyable revirement de situation, ou subite crise de conscience, alors qu’un des grands dirigeants de l’une des compagnies productrices de boissons gazeuses les plus connues au monde sort de l’ombre et donne son opinion concernant les habitudes alimentaires de ses clients, et sur les changements qu’il souhaite voir se produire dans le futur.

Cet homme, c’est James Quincey, rapporte le Daily Mail (UK), président de Coca-Cola pour le territoire européen.

Quincey affirme en entrevue que « les choses doivent changer », concédant que les grands formats de boissons gazeuses devraient être relégués aux oubliettes, et que les gens doivent se conscientiser davantage aux portions astronomiques de sucre que contient ce genre de produit, dont le sien.

« Les gens ne réalisent pas toujours combien de sucre renferme une boisson gazeuse. Les grands formats doivent être réduits », lance James Quincey, avant d’ajouter dans un soudain regain de lucidité professionnelle que son produit n’est pas plus calorique qu’un « croissant ou un capucino ».

Ces déclarations de la part d’un dirigeant de Cola-Cola semblent aller de pair avec certains des efforts récents de l’entreprise pour lutter contre l’obésité, un geste perçu par plusieurs comme fort hypocrite.

Un « petit contenant » de boisson gazeuse comme le Coke vendu au cinéma contiendrait 23 cuillères à thé de sucre, alors qu’un « grand contenant » en comprenant 44.

De quoi donner des armes à Michael Bloomberg!

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Les sushis pourraient augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires

Alors que les sushis ont pris d’assaut la planète entière et sont devenus en l’espace de quelques années une véritable tendance alimentaire, une nouvelle étude vient refroidir les ardeurs des fanatiques du mets japonais.

Selon MedicalNewsToday, qui rapporte l’étude américaine initialement publiée dans le Journal of Risk Research, des tests de mercure effectués sur quantité d’échantillons de sushis démontrent des taux beaucoup trop élevés de l’élément, mettant ainsi possiblement en danger la santé et la vie de nombreux Nord-Américains.

Les taux de mercure excèderaient tous les plafonds proposés par diverses organisations de la santé, par exemple la CDC et l’OMS, pavant ainsi la voie à de sérieux problèmes de santé cardiaque.

Ces résultats s’appliqueraient davantage aux sushis préparés avec du thon, qui contiendraient plus de mercure que les autres, comme ceux à base de saumon ou de crabe.

On suggère donc de minimiser sa consommation de sushis faits de thon, car non seulement sa surconsommation ferait grimper les risques de problèmes cardiovasculaires, mais mettrait également en danger plusieurs espèces en raison de la trop grande demande des consommateurs.

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Un rapport laisse présager des lacunes dans le système de rappel des aliments

Un rapport somme toute inquiétant, bien qu’il ne faille pas s’alarmer outre mesure, concerne le système de rappel des aliments au Canada, rapporte Radio-Canada.

Déposé par le vérificateur général du Canada, M. Michael Ferguson, le rapport stipule que plusieurs façons de faire « créent de la confusion » au sein des membres du personnel appelé à effectuer ces rappels, et que le phénomène mène à des retards et à des risques inutiles.

Bien que les méthodes utilisées jusqu’ici aient permis de limiter massivement les problèmes de santé qui auraient pu découler de la consommation de certains aliments, Ferguson croit que les choses peuvent s’améliorer.

« L’Agence canadienne d’inspection des aliments gère bien la plupart des aspects des rappels. Toutefois, tant sur le plan du suivi post-rappel auprès de l’industrie qu’à celui des grands rappels d’urgence, les faiblesses que nous avons relevées soulignent des lacunes importantes dans le système de rappel des aliments. Quoique les cas de maladies aient été contenus dans les rappels que nous avons examinés, je ne suis pas certain que le système donnera toujours des résultats comparables », écrit le vérificateur général, avec une pointe d’inquiétude.

C’est donc surtout lors du processus post-retrait que les choses se compliqueraient, les autorités ayant du mal à confirmer la destruction des aliments fautifs, ainsi que les méthodes utilisées pour éviter la répétition des problèmes dans l’avenir.

Ne reste plus qu’à voir ce que ces observations et recommandations permettront de faire dans l’amélioration du système de rappel des aliments au Canada.