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Mauvaise presse pour Gardasil

Le Gardasil, réputé vaccin contre le VPH (Virus du Papillome Humain), une infection transmissible sexuellement qui s’avère un véritable fléau depuis quelques années, obtient une mauvaise presse ces temps-ci, à la suite de la première plainte officielle déposée par une Française.

Largement publicisé et recommandé, il peut sembler surprenant que Gardasil soit maintenant critiqué, sauf que selon Santé Log et Top Santé, les mises en garde et les possibles effets retour du vaccin sont connus des spécialistes depuis bien longtemps maintenant.

Prescrit en prévention du VPH et du cancer du col de l’utérus, le Gardasil fait maintenant l’objet d’une sérieuse plainte de la part d’une jeune femme de 18 ans, qui affirme que son récent diagnostic d’encéphalomyélite aigüe disséminée, ou de sclérose en plaques, est directement lié à l’injection du vaccin.

Son avocat en est convaincu, et le récit des faits qu’il soumet semble ne laisser planer aucun doute quant au lien observable entre le Gardasil et la détérioration de l’état de santé de la plaignante.

Me Jean-Christophe Coubris allègue de plus que sa jeune cliente s’est fait vacciner au Gardasil à la suite d’une pression sociale et à un « tapage médiatique », une formule de vente à pression contre laquelle il s’indigne vigoureusement.

Le dossier risque de faire beaucoup de bruit, et alimentera encore une fois les discussions concernant les risques inhérents à l’injection de certains vaccins.

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Les préoccupations des parents diffèrent selon la nationalité

L’étude dont il est question a été menée aux États-Unis, auprès de plus de 1000 parents avec des enfants âgés de 10 à 14 ans. Les chercheurs ont remarqué que bien que les dangers soient les mêmes, l’importance accordée à ceux-ci, lorsque la situation socioéconomique et la nationalité étaient tenues en compte, variait grandement d’un groupe ethnique à l’autre.

Ainsi, selon Medical News Today :

– Les parents de race blanche sont les moins concernés en ce qui a trait à la sécurité en ligne.

– Les parents asiatiques ou hispaniques sont ceux qui accordent le plus d’importance aux dangers reliés à la sécurité, sous toutes ses formes.

– Les parents de race noire étaient beaucoup plus préoccupés par la rencontre d’étrangers et l’exposition à la pornographie.

Sans tenir compte de la nationalité, les préoccupations parentales ont été classées dans l’ordre décroissant suivant : la rencontre d’un étranger, l’exposition à la pornographie, l’exposition à du contenu violent, intimidation (victime) et intimidateur (initiateur).

Selon les chercheurs, ces différences entre différentes nationalités posent problème, puisqu’il est difficile de mettre en place des méthodes de sensibilisation qui susciteront le même intérêt chez tous les parents.

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Le radon inquiète plusieurs régions du Québec

Radio-Canada publie cette histoire qui alimente les discussions québécoises depuis quelques jours, et qui parle de la possible présence de radons dans certains sous-sols du Québec.

Il n’en fallait pas plus pour que la chose inquiète les résidents de plusieurs régions de la province, à commencer par ceux de la Mauricie et du Centre-du-Québec.

Ces derniers sont d’ailleurs maintenant appelés à faire effectuer des tests de « dépistage du radon », afin de s’assurer qu’aucune trace de ce gaz inodore ne se retrouve dans leur sous-sol.

Le hic, c’est que le test en question est d’une durée de trois mois… Heureusement, il peut se faire par les résidents eux-mêmes, à l’aide d’un appareil vendu en magasin.

Le radon est un gaz invisible à l’œil nu qui provient des restes d’uranium retrouvé dans certains sols. Il peut mener à de sérieux problèmes de santé, par exemple le cancer du poumon.

On estime qu’une maison sur dix serait touchée par le phénomène en Mauricie.

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Comment aider son adolescent qui vit une relation abusive

Selon Jennifer Smith, auteure du livre I Trusted Him (Je lui faisais confiance) et mère d’Anna Lynn Hurd, une adolescente de 16 ans qui a été assassinée, il faut enlever nos œillères. SheKnows fait le point sur notre responsabilité en tant que parent.

Smith affirme qu’il faut s’éduquer, lire des histoires vécues, se renseigner, s’outiller. La seconde étape consiste à éduquer nos enfants et, finalement, intervenir dès qu’on sent que la sécurité de l’enfant est compromise.

Des signes à surveiller dans les relations que vivent les ados :

– Un comportement contrôlant – lui dire à qui parler, quoi porter comme vêtement.

– L’isolement – le partenaire l’empêche de voir ses amis et le fait sentir coupable s’il passe du temps avec eux.

– Trop de communication – des textos incessants, des questions sur son horaire, des mots comme « tu dois, j’ai besoin, il faut, tu n’as pas le droit ».

– Des éclats de colère injustifiés du partenaire, qui grimpent rapidement vers des signes de violence.

– Un changement d’attitude, de personnalité – si votre enfant passe d’un comportement heureux, agréable et souriant à timide et craintif, quelque chose cloche.

En tout temps, n’hésitez pas à communiquer avec votre CLSC ou la police si vous craignez pour la vie de votre enfant.

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Les immunosuppresseurs sans danger au premier trimestre de grossesse

La recherche est la première à se pencher sur le sujet. Elle a été menée de front par William Cooper au centre médical de la Venderbilt University.

Il souhaitait mesurer les risques associés à la prise d’immunosuppresseurs chez la femme enceinte souffrant des maladies auto-immunes chroniques suivantes : l’arthrite rhumatoïde et psoriasique, la spondylarthrite ankylosante, le lupus, la sclérodermie et la maladie inflammatoire de l’intestin.

La médication sert à diminuer la réponse immunitaire de la personne et l’expose ainsi plus librement aux virus et bactéries. Mais il semble que le fœtus, lui, ne soit pas concerné, du moins en début de grossesse.

Cooper explique dans la revue Arthritis and Rheumatism : « Cette étude est importante, puisqu’elle touche 4,5 millions de personnes aux États-Unis, incluant nombre de femmes en âge de procréer ». Comme le chercheur le mentionne, beaucoup de femmes tombent enceintes sans même le savoir, et poursuivent donc leur médication.

Les données ont été récoltées à partir de 3 régimes d’assurances (Medicaid, Kaiser Permanente Northern California et Southern California). Ils ont relevé les prescriptions et les dates de grossesses dans 608 cas. Sur ceux-ci, 437 fœtus avaient été mis en contact avec la médication.

Les résultats démontrent que le lien entre les immunosuppresseurs et les complications probables au fœtus n’était pas statistiquement significatif.

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L’acétaminophène et l’alcool ne font vraiment pas bon ménage

On sait depuis longtemps qu’il ne faut pas mélanger médicaments et alcool, la plupart du temps, mais cette règle s’applique également aux médicaments retrouvés en vente libre et qui semblent de prime abord inoffensifs.

Du coup, rapporte The National Library of Medicine, plusieurs personnes consomment régulièrement ou quotidiennement du Tylenol pour de multiples raisons, et boivent tout de même quelques verres d’alcool à l’occasion.

Or, selon une étude récemment publiée, la quantité d’acétaminophène ou d’alcool ingurgitée ne serait pas gage de sécurité. Selon des chercheurs américains, qui présentaient leurs conclusions lors de la rencontre annuelle de l’American Public Health Association à Boston, une posologie normale de Tylenol et une faible quantité d’alcool sont suffisantes pour causer de sérieux problèmes de santé.

Notamment aux reins, rapportent les chercheurs impliqués dans l’étude en question, alors que les risques de déficience ou d’insuffisance rénale augmenteraient de 123 % dans ces circonstances données.

Les chercheurs s’inquiètent d’autant plus que les statistiques de consommation d’acétaminophène et d’antidouleurs sont en hausse depuis quelques années. 

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La chirurgie robotisée provoque le débat

Si vous croyez que les opérations chirurgicales effectuées par des robots sont de l’ordre d’un avenir lointain, détrompez-vous.

En fait, de plus en plus de centres hospitaliers dans le monde utilisent et perfectionnent la robotique médicale, et certaines opérations ont déjà été effectuées par des robots, sous la supervision de personnel médical qualifié.

Or, l’arrivée soudaine des technologies du futur dans le monde médical soulève des interrogations et des peurs, et provoque un débat enflammé.

D’un côté, les pro-technologies affirment que la précision calme et froide d’un robot permettrait de désengorger certaines listes d’attente et d’élever les taux de réussite de certains types de chirurgies plus poussées.

De l’autre, les anti-robots voient en cette ère de la robotique une gigantesque porte s’ouvrir sur les erreurs médicales, les morts prématurées et d’horribles accidents.

Et ce deuxième groupe a de quoi argumenter, alors qu’on recense 70 décès liés à des manœuvres robotisées en centre hospitalier sur le territoire américain depuis 2009, et que certains problèmes de conduction d’électricité ont été observés.

 Cependant, tous ces cas doivent être mis en perspective du nombre total d’opérations médicales en tous genres impliquant une technologie robotique, soit 367 000 en 2012 seulement (États-Unis), selon le Daily Mail (UK).

Quoi qu’il en soit, le débat risque de se poursuivre encore longtemps, et comme l’histoire l’a démontré, rien ne peut vraiment stopper la montée de la technologie. Ce genre d’opérations risque de devenir de plus en plus fréquent dans nos vies et dans le monde médical.

Au Québec, avec les problèmes de budget restreints, la question risque de ne pas se poser vraiment avant longtemps…

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Boisson gazeuse : les adolescents sont en danger

Pour une recherche menée par la Dre Susan Babey en Californie, des données de plus de 40 000 foyers californiens ont été compilées. Les résultats comparent la consommation de boissons sucrées, plus spécifiquement les boissons gazeuses et boissons énergisantes, pour la période de 2005 à 2007, puis 2011 et 2012.

Les résultats montrent que chez les 6 à 11 ans, la consommation de boissons gazeuses est passée de 43 à 32 %. Chez les 2 à 5 ans, celle-ci est passée de 27 à 19 %. Finalement, chez les adolescents (12 à 17 ans), le taux de consommation a grimpé de 5 %.

 Les groupes ethniques sont ceux qui consomment le plus de boissons gazeuses et de boissons énergisantes. Ainsi, 74 % des Afro-Américains et 73 % des Latino-Américains boivent au moins un soda par jour. Quant aux Asiatiques, les données grimpent en flèche.

Selon Science World Report, les chercheurs espèrent sensibiliser les adolescents (et leurs parents) aux effets à long terme de ce type de boissons. On parle notamment de risque élevé de diabète et d’obésité, en plus de problèmes d’agressivité, de déficit d’attention et de troubles comportementaux.

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Médication contre les nausées sans danger apparent pendant la grossesse

L’objectif de la recherche menée au Danemark était de déterminer le degré de sécurité d’utilisation des anti nauséeux sous prescription médicale. Plus de 1,2 million de femmes enceintes ont été répertoriées entre 1997 et 2001, sur lesquelles 25 % étaient exposées à la métoclopramide (DCI).

La recherche a comparé le nombre de naissances présentant des malformations majeures chez le groupe de femmes ayant été exposées, versus celui des femmes n’ayant pris aucun médicament contre la nausée.

– Sur 28 486 femmes exposées, 721 naissances avec malformation ont été relevées, soit une moyenne de 25,3 naissances sur 1000.

– Parmi les naissances de femmes non exposées à la DCI, une moyenne de 26,6 naissances sur 1000 présentait des malformations congénitales.

D’autres facteurs comme le poids à la naissance, le nombre de mortinatalités et les fausses couches ont été évalués.

Aucun de ces facteurs n’a indiqué une prévalence plus marquée par l’exposition à la métoclopramide.

L’étude a été publiée dans la revue JAMA.
 
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Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.