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Les ondes électromagnétiques ne seraient pas aussi nocives que prévu

Alors qu’une grande proportion de la population s’inquiète de l’impact négatif des ondes électromagnétiques sur la santé à court et long terme, un groupe d’experts français semble vouloir calmer le jeu.

Top Santé rapporte en effet les conclusions de spécialistes de l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire), qui croient que rien ne sert de céder à la panique ou à la paranoïa en ce qui concerne les ondes qui nous entourent.

Ce groupe de 16 experts croit plutôt que les ondes électromagnétiques sont « bénignes », et que les données analysées « … ne mettent pas en évidence des effets sanitaires avérés ». Le rapport conclut donc qu’il n’est « … pas fondé de proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition pour la population générale ».

Bien sûr, plusieurs douteront de la véracité de ces propos et de ces conclusions, et ils n’auraient pas tort en ce qui concerne les ondes propulsées par les téléphones cellulaires et intelligents. Ces derniers seraient, comme la rumeur le veut, potentiellement nocifs pour le cerveau, notamment.

« Certaines publications évoquent […] une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables », mentionne-t-on dans le rapport.

Les conclusions proposées dans ce nouveau rapport sur les ondes électromagnétiques sont celles obtenues après quatre ans d’analyse et de collecte de données, toujours selon l’Anses.

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Patrimoine culturel mondial en danger : la liste de 2014 de World Monuments Watch

Selon le dernier rapport de World Monuments Fund, paru cette semaine, la guerre qui fait rage en Syrie met en péril l’intégralité du patrimoine culturel du pays.

En dehors des zones de conflit, la liste tire aussi la sonnette d’alarme pour des monuments européens dégradés ou mal entretenus, par exemple les églises parisiennes de St. Merri et de Notre-Dame-de-Lorette.

Voici la liste complète des sites, villes et monuments en danger selon World Monuments Watch :

Argentine
Église et Monastère de St. Catherine de Siena, Buenos Aires

Arménie
Monastère Bardzrakash St. Gregory, Dsegh

Belgique
Collégiale Sainte-Croix de Liège

Brésil
Serra da Moeda, Minas Gerais

Chili
Funiculaires de Valparaiso
Palacio La Alhambra, Santiago

Chine
Village Pokfulam, Hong Kong

Colombie
Ancien système hydraulique du fleuve San Jorge

Comores
Funi Aziri Bangwe, Ikoni, Grande Comore

Équateur
Musée Remigio Crespo Toral, Cuenca

Égypte
Bayt al-Razzaz, Cairo

Éthiopie
Yemrehanna Kristos, Amhara Region

France
Églises de St. Merri et Notre-Dame-de-Lorette, Paris

Allemagne
Lampadaires à gaz de Berlin

Guatemala
Uaxactun, Petén

Guyane
Mairie de Georgetown

Inde
Ville historique de Bidar, Karnataka
Maison de Shaikh Salim Chishti, Fatehpur
Sikri, Agra, Uttar Pradesh
Juna Mahal, Dungarpur, Rajasthan

Indonésie
Villages Ngada de Flores
Villages Peceren et Dokan, Sumatra nord
Trowulan, Java est

Iraq
Bas-reliefs de Khinnis, Kurdistan

Italie
Volières Farnese, Rome, Lazio
Centre historique de L’Aquila, Abruzzo
Muro dei Francesi, Ciampino, Lazio
Venise

Japon
Régions sismiques de Tohoku et Kanto 
Sanctuaire Sanro-Den de Sukunahikona, Ozu
Préfecture d’Ehime, Shikoku

Jordanie
Champs de dolmens de Damiya, Vallée du Jourdain

Kenya
Vieille ville de Lamu

Macédoine
Monastère de Poloshko, Kavadarci

Mali
Sites culturels du Mali

Mexique
Parc Fundidora, Monterrey
Retablos de Los Altos de Chiapas, San Cristóbal de las Casas and Teopisca

Mozambique
Ile du Mozambique, province de Nampula

Birmanie
Centre historique de Yangon

Nigéria
Forêt sacrée d’Osun-Osogbo, État d’Osun

Pakistan
Centre historique de Shikarpoor

Territoires palestiniens
Anciennes terrasses irriguées de Battir,
Gouvernorat de Bethléem, Cisjordanie

Pérou
Capilla de la Virgen Concebida de Kuchuhuasi, Cusco
Cerro Sechín, Casma, Ancash
Chan Chan, Trujillo, La Libertad
Gran Pajatén, San Martín

Portugal
Fort de Graça, Elvas
Bibliothèque Joanine de l’Université de Coimbra

Roumanie
Grande Synagogue de Iasi
Églises en bois d’Olteniaand du Nord et de Transylvanie du Sud

Singapour
Bukit Brown

Espagne
Pavillons et jardin Güell, Barcelone
Iglesia Parroquial San Pedro Apóstol,
Buenache de Alarcón, Cuenca

Syrie
Patrimoine culturel de Syrie

Tanzanie
Cathédrale du Christ et ancien marché slave, Zanzibar
Centre historique de Dar es Salaam 
House of Wonders and Palace Museum, Zanzibar

Turquie
Cathédrale de Mren, Digor, Kars

Royaume-Uni
Battersea Power Station, Londres
Deptford Dockyard and Sayes Court Garden, Londres
Grimsby Ice Factory and Kasbah, Lincolnshire
Sulgrave Manor, Sulgrave, Northamptonshire

États-Unis
Chinati Foundation, Marfa, Texas
George Nakashima House, Studio, and Workshop, Bucks County, Pennsylvanie
Henry Klumb House, San Juan, Puerto Rico
Jefferson National Expansion Memorial, St. Louis, Missouri
Taliesin, Spring Green, Wisconsin
The Cloisters and Palisades, New York et New Jersey

Venezuela
Ciudad Universitaria de Caracas

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Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

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Le mélange de vodka et de Red Bull serait plus dommageable qu’on le croit

Un professeur spécialiste australien s’inquiète de la banalisation du phénomène vodka-Red Bull, qui consiste à mélanger les deux produits lors de fêtes bien arrosées afin d’obtenir une plus grande capacité de consommation.

Selon le professeur Peter Miller, explique le Daily Mail (UK), plusieurs études récentes ont banalisé les impacts potentiels sur la santé de ce genre de comportement, et se basent surtout sur des données de faible consommation (comme consommer un seul Red Bull et quelques verres).

Or, il croit que ceci ne reflète en rien la réalité, et qu’une nouvelle génération de fêtards empile plutôt verre après verre, encouragés par leur insouciance et le dépôt de ces études.

De plus, Miller souligne aussi qu’une portion non négligeable de ces recherches ont été financées… par Red Bull!

Avec la montée en flèche de la popularité des verres comme la vodka-Red Bull, Peter Miller s’indigne de cette désinformation et du manque d’études exhaustives sur le sujet. Il rappelle en terminant que ces boissons ne sont pas faites pour être mélangées, d’autant plus qu’on en sait très peu sur les réels impacts des boissons énergisantes à la base et en soi.

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Les apports en sel seraient influencés par le cerveau, non par la quantité consommée

Une étude publiée dans l’American Journal of Hypertension, et rapportée par Medical News Today, avance que les apports et taux de sel observables chez l’humain sont gérés par le cerveau, invalidant du même coup les récentes publications de la communauté scientifique en matière de consommation de sel.

On le sait, le sel a mauvaise presse depuis un moment, et les campagnes de sensibilisation afin de convaincre la population de réduire les apports alimentaires en sel se multiplient.

Or, selon l’équipe de chercheurs de la UC-Davis, menée par le David McCarron, le cerveau de chaque individu gère les apports en sel de façon différente, ce qui empêche véritablement de tracer une moyenne d’apports recommandés.

On estime à 2200 milligrammes la différence notable, en moyenne, du taux de sel observable chez un individu, des chiffres qui seraient les mêmes depuis 50 ans.

Donc, selon McCarron, les preuves scientifiques sont encore trop minces pour garantir un réel impact négatif sur la santé découlant d’une consommation de sel jugée « trop grande ». Il croit que la façon d’aborder le problème et les efforts de sensibilisation doit être revue.

Si le chercheur et son équipe disent vrai, il s’agirait d’un spectaculaire revirement de situation!

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La France s’attaque au problème des ondes

Le débat sur les ondes et leurs impacts sur nos sociétés fait rage depuis l’explosion technologique que l’on connait, mais aussi depuis que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu les dangers potentiels de l’émission massive d’ondes diverses.

La France décide donc de se pencher activement sur le dossier, rapporte Top Santé, et dépose un rapport sur l’exposition aux ondes par ses concitoyens.

Ce dernier, rédigé par un comité d’experts, conclut que l’exposition aux ondes doit être réduite par une diminution de sa concentration, donc qu’elle doit être mieux répartie.

En clair, au lieu de compter sur quelques antennes superpuissantes, il faudrait plutôt les disséminer et compter sur plusieurs antennes et relais, ce qui en donnerait à peu près trois fois plus qu’en ce moment, sur le territoire français.

La polémique entourant les ondes et leur potentiel cancérigène est à son paroxysme avec l’arrivée des nouvelles technologies et du système WiFi, par exemple, offerts partout.

Une députée française, Catherine Grèze, termine avec cette réflexion : « … à l’heure de la course vers toujours plus de fonctions sur nos téléphones mobiles, nécessitant une couverture toujours plus forte, a-t-on vraiment besoin d’avoir accès à la télévision mobile où que l’on soit? »

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Une nouvelle étude met en garde contre la cigarette électronique

Les avis sont partagés en ce qui concerne la fameuse cigarette électronique nouvellement arrivée sur le marché.

Cette méthode fait en effet pas mal jaser, puisque plusieurs personnes disent s’en méfier. D’autres, cependant, croient que peu importe ses effets à court et à long terme, rien ne peut être pire que la vraie cigarette.

Mais voilà, selon une étude rapportée par Top Santé, la cigarette électronique pourrait elle aussi s’avérer cancérigène, et plusieurs de ses composantes laissent les spécialistes perplexes.

Selon l’étude, initialement publiée par le magazine 60 Millions de Consommateurs, certaines marques seraient peu recommandables et contiendraient plusieurs agents nocifs, à l’image de la cigarette.

L’étude avance que « dans trois cas sur dix, pour des produits avec ou sans nicotine, les teneurs en formaldéhyde (couramment appelé formol) relevées flirtent avec celles observées dans certaines cigarettes traditionnelles ». Le problème, c’est qu’on ne mentionne pas lesquelles.

Déplorant le manque de transparence des fabricants, les enquêteurs et auteurs de l’étude croient que les consommateurs doivent demeurer vigilants.

On suggère notamment le timbre de nicotine pour arrêter de fumer, de plus en plus efficace, selon une majorité d’utilisateurs.

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La dépendance à la caféine est bien réelle

La dépendance est souvent liée aux drogues plus sévères ou encore aux produits du tabac, mais on peut également parler de dépendance en ce qui concerne la caféine, s’accordent pour dire les experts.

C’est ce que rapporte Top Santé, qui fait le point dans un dossier.

Ce qui prouve la notion de dépendance, selon plusieurs, ce sont les symptômes qui apparaissent lorsqu’on tente de cesser de consommer du café. Maux de tête, problèmes cognitifs légers, état de fatigue mentale et physique, bref, une véritable liste qui s’apparente à celles associées au sevrage des autres drogues.

« Au fil du temps, un mal de tête lancinant s’installe et vous empêche de vous concentrer sur quoi que ce soit. Finalement, puisque tout votre corps proteste contre l’arrêt de la caféine, vous pourriez ressentir des douleurs musculaires, des nausées et d’autres symptômes pseudo-grippaux », décrit le journaliste Joseph Stromberg.

Heureusement, malgré cette dépendance, le café constitue à plusieurs égards un allié de la santé. Il ne s’agit donc pas de la dépendance la plus dangereuse, compte tenu de ses bienfaits, mais la modération est encore une fois bonne conseillère.

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La technologie en renfort à la lutte au tabagisme

Des spécialistes américains ont décidé de passer au 2.0 en matière de prévention du tabagisme, rapporte Santé Log.

En effet, des chercheurs et médecins du Centre contre le cancer de l’Université du Texas ont mis sur pied une nouvelle application mobile attrayante qui informe et incite les jeunes à renoncer à la cigarette.

S’adressant aux fumeurs, non-fumeurs, ainsi qu’aux jeunes en général, l’application propose plusieurs éléments interactifs et amusants, en plus d’une foule de faits concernant la cigarette.

Bien que la nouvelle génération n’aime pas se faire dire quoi faire comme toutes celles qui l’ont précédé, l’application semble attirante et pourrait toucher la cible. Et même si ce n’était pas le cas, on ne pourra pas taxer les spécialistes américains de ne pas avoir essayé!

L’application aurait été créée, à tout le moins plusieurs aspects, par des adolescents, ce qui ajoute à sa crédibilité.

On recense plus de 1 000 téléchargements jusqu’à maintenant.

Découvrez et téléchargez cette application antitabac unique (anglais).

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Un lien est tracé entre des cas de leucémie et la proximité des raffineries

Habiter près d’une usine ou d’une raffinerie comporte ses risques, on s’en doute, notamment en ce qui concerne la possible contamination de l’air et de l’eau.

Beaucoup de médecins vous le diront : la proximité de ces entreprises fait monter les cas de cancer des citoyens environnants, mais il est toujours difficile de prouver une cause à effet.

Santé Log rapporte toutefois une étude concluante sur le sujet, une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université d’Emory, située à Atlanta.

L’étude, publiée dans la revue Cancer, trace un lien entre les raffineries et plusieurs cas de leucémie, soit de cancer du sang, et cherche à sensibiliser les autorités et la population aux risques inhérents de ces zones « critiques ».

L’étude se base notamment sur des données enregistrées entre 1999 et 2008 dans l’État de la Géorgie, aux États-Unis, qui démontrent une hausse des cas de cancer chez les personnes habitant près d’une raffinerie.

Même si les chercheurs impliqués admettent que des recherches plus poussées doivent être effectuées, on presse les autorités d’agir et les citoyens de se sensibiliser.

On parle d’un risque réduit de cancer de 0,31 % par 1,6 kilomètre de distance supplémentaire entre une résidence et une raffinerie.