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Dans les coulisses

Daniel Brière ne s’attend pas à voir Matvei Michkov dans la LNH d’ici 3 ans

Les Flyers de Philadelphie ont sélectionné Matvei Michkov avec le septième choix du dernier repêchage de la LNH. Philadelphie est toujours en reconstruction et semble prêt à attendre l’arrivée de son nouvel espoir.

En tout cas, le directeur général, Daniel Brière, lui, semble bien prêt à attendre. Il a discuté de sa sélection avec Karl Bélanger à l’émission Que l’Outaouais se lève de la station 104,7 Outaouais.

« Pour le moment, dans ma tête, (Matvei Michkov) va jouer les trois prochaines années en Russie pour se développer avec son équipe à St-Petersburg. On est correct avec ça. » – Daniel Brière

Michkov est sous contrat avec le SKA St-Petersburg jusqu’à la fin de la saison 2025-26 et son équipe ne semble pas vouloir le laisser partir de sitôt. Ça faisait partie des risques à prendre en sélectionnant Michkov au repêchage, mais ça ne semble pas faire peur du tout à Brière.

Ça semble avoir fait peur aux équipes qui repêchaient devant les Flyers. C’était une bonne nouvelle pour Brière qui avoue avoir été très surpris de voir l’attaquant russe descendre si loin au repêchage.

Quand les Flyers ont dû faire leur sélection, ils se sont dit qu’ils ne pouvaient pas passer par dessus un tel espoir.

Michkov a récolté 20 points en 27 partie avec le HK Sochi en 2022-23. Il a passé la majorité de sa saison avec cette équipe, parce que St-Petersburg l’a envoyé en prêt là-bas.

Le problème avec l’espoir russe, ce n’est pas la qualité de son jeu. Si ce n’était que de ça, il aurait été sélectionné au deuxième rang par les Ducks. Non, en fait, il aurait un problème d’attitude et c’est pourquoi les Canadiens ont pris la décision de ne pas le sélectionner.

En plus de tout ça, Michkov pourrait signer un autre contrat en Russie s’il le souhaite. Et disons que les Russes peuvent parfois être très convaincants.

En espérant pour Daniel Brière et les Flyers que cette sélection soit la bonne et que Michkov ne leur fasse pas regretter cette décision.

En rafale

– Un bon moment pour David.

– Aucun joueur du CH ne fait partie de la liste.

– En espérant qu’il soit en santé pour le début de la saison.

– Signature dans la LNH.

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Habsolument Fan

John Tortorella dévoile pourquoi il n’est pas derrière le banc des Flyers ce soir

NHL Philadelphia Flyers

Les Flyers de Philadelphie sont au Centre Canadian Tire pour affronter les Sens ce soir à Ottawa.

Au moment d’écrire ces lignes, les visiteurs tirent de l’arrière par la marque de 1-0. 

Austin Watson a été l’unique marqueur avec son 9e but de la campagne. 

Avant la rencontre, John Tortorella a annoncé qu’il ne serait pas derrière le banc des siens pour le match. 

Sur Twitter, la journaliste Giana Han a publié de nouveaux détails pour expliquer la situation (en anglais)  : 

« John Tortorella ne sera pas derrière le banc ce soir pour PHI @ OTT. Brad Shaw dirigera le banc.

Tortorella a décidé de regarder depuis la tribune de presse avec Danny Brière pour 1) avoir la perspective de regarder d’en haut et 2) donner à Shaw la chance d’entraîner le banc. » 

– Giana Han 

Voyez sa publication plus bas : 

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Sport

Un retour dans la LNH pour Daniel Brière?

Est-ce que Daniel Brière serait la solution pour le poste de directeur général chez les Flyers de Philadelphie?

Son nom est ressorti d’un chapeau à la suite du congédiement de Ron Hextall… Brière a évolué près de six campagnes chez les Flyers de Philadelphie. Pendant son séjour dans la ville de l’amour fraternel, il a joué 364 rencontres où il a récolté 283 points, dont 124 buts.

Selon le panel de Sportsnet, dont Colby Armstrong, Brière est fort probablement un gars sur le radar de Paul Holmgren, mais pas pour siéger sur le trône du roi (GM). Loin de là l’idée de croire qu’il sera le futur manitou, mais Armstrong est d’accord que Brière pourrait redevenir une propriété des Flyers de Philadelphie. Le rôle de DG ne lui est pas destiné, mais comme consultant ou autre petit rôle, c’est plausible.

Paul Holmgren lui a peut-être octroyé son contrat monstrueux de huit ans et 52 millions de dollars, mais il a aussi décidé de le racheter lorsque la convention collective permettait de racheter un contrat sans aucune pénalité (retour du lock-out).  Donc lors de l’été 2013, Paul Holmgren, le directeur général à cette époque, a racheté les deux dernières années de contrat du Québécois.

Voici ce que Holmgren a indiqué lorsqu’il a racheté l’accord de Daniel Brière :

«Il s’agit d’une décision très difficile puisque Danny a été un très bon joueur pour nous au cours des six dernières années. Danny s’est amené avec nous en tant que joueur autonome en juillet 2007 et il a été formidable comme joueur, comme personne et comme modèle à tous les niveaux.» – Holmgren

Enfin bref, malgré ce rachat, les deux hommes doivent s’aimer quelque part puisque Daniel Brière est vice-président des opérations chez les Mariners du Maine (ECHL), alors que Paul Holmgren a le rôle de gouverneur.

Brière se dit super heureux dans le ECHL, mais pour un rôle de consultant ou quelque chose du genre, il pourrait certes composer avec les deux fonctions.

Mais comme directeur général, je n’y crois tout simplement pas, tout comme Elliotte Friedman (sur son dernier 31 Thoughts). On parle de Chris Drury, Chris Pronger… Bref.

En rafale

– Shea Weber a l’air très excité de son retour au jeu.

– Clairement la bonne nouvelle du jour :

– Paul Holmgren a mentionné qu’il était ouvert à compléter une transaction à court terme (avant d’embaucher un nouveau DG).

– Voici ce que l’on doit savoir dans le dossier de Karl Alzner.

– Décidément cette équipe est prête à faire des folies avec son argent.

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Potins

Daniel Brière : Les Parent est le projet le plus marquant de sa carrière

Daniel Brière n’hésite pas à dire qu’il y aura eu sa carrière avant Les Parent et qu’il y aura un après. « Je pense réellement que c’est la série qui aura marqué ma carrière par rapport à qui je suis et à l’image que les téléspectateurs se sont faite de moi. Avant, j’étais encore beaucoup associé au Déclin de l’empire américain. On m’en parlait toujours. Maintenant, je suis le père des Parent. Il y aura eu un avant et il y aura vraiment un après », confie Daniel Brière à BUM Interactif Groupe.

Après 100 épisodes et cinq ans en ondes, Daniel se surprend encore de voir à quel point les auteurs réussissent à se renouveler. « Le plus étonnant, c’est qu’ils ont réussi à garder cette fraîcheur, et que ça demeure surprenant. 100 épisodes, ça a passé vite, mais en même temps, c’est beaucoup de textes et d’histoires à écrire. Bien que la famille laisse beaucoup de possibilités, une famille, c’est une famille avec une routine, un quotidien. C’est un couple fidèle en plus. Je crois que les auteurs ont eu la bonne idée de suivre l’évolution des enfants qui ont grandi avec la série. Cela a amené de l’eau au moulin. »

À l’instar de ses collègues, Daniel Brière souligne également la bonne entente qui règne sur le plateau de l’émission et les liens qui se sont tissés à travers les années. « En cinq ans, il s’en est passé des affaires. J’ai souvent passé plus de temps avec eux qu’avec mes propres enfants. Entre les scènes, on parlait. C’était l’fun, car je n’avais pas le rôle de père, je ne suis pas le père des gars, mais je suis un collègue qui pourrait être leur père. Donc, le rapport n’était pas le même, et ils ont peut-être dit des choses qu’ils ne diraient pas à leurs parents. C’est la même chose pour moi et Anne, quand on vivait quelque chose de plus triste, les gars étaient là pour nous. »

Le comédien avoue qu’il a été inquiet au début de la série pour les jeunes comédiens qu’il trouvait trop sérieux. « Je me disais qu’ils perdaient une partie de leur enfance. Ils étaient très sérieux, très disciplinés. Ils voulaient bien faire, mais ils se sont aperçus qu’on pouvait aussi rire et avoir du plaisir, et ils ont voulu y prendre part. Je dirais qu’avec le temps, ils sont redevenus les enfants qu’ils devaient être. Mais ce sont des garçons brillants et très talentueux. J’espère que ça va continuer à bien aller pour eux. »

Mis à part Les Parent, Daniel Brière a aussi des projets de mise en scène, notamment pour le spectacle Les chemins qui marchent d’après un texte d’Alexis Martin. Cette œuvre sera présentée dès le 26 février à l’Espace Libre.

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Uncategorized

Gadoua fête ses 100 ans en grand

Tout l’été, la Boulangerie Gadoua invite les consommateurs à souligner le 100e anniversaire de l’entreprise. Différentes activités sont au programme, dont une bien spéciale demain (10 juin).
 
Ce vendredi donc, les vedettes de la série Les Parent, Anne Dorval et Daniel Brière, se joindront à Éliane Ouimet de Gadoua et à un représentant du Club des Petits Déjeuners du Québec afin de vendre des sandwichs au profit du Club. Cet événement se tiendra entre 10 h 30 et 18 h sur l’Avenue Mont-Royal, entre les rues Boyer et Mentana.
 
Tout l’été, vous pourrez aussi participer à un concours. 100 000 prix instantanés seront distribués, en plus d’une occasion spéciale pour le 3 septembre prochain, journée anniversaire officielle de la Boulangerie Gadoua.
 
C’est en 1911 que Wilfrid Gadoua a fondé l’entreprise à Napierville. Aujourd’hui encore, cette marque est au cœur de la vie quotidienne des Québécois.

Pour plus d’informations sur le 100e anniversaire de Gadoua, consultez le site internet.

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Gadoua fête ses 100 ans en grand

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Ce vendredi donc, les vedettes de la série Les Parent, Anne Dorval et Daniel Brière, se joindront à Éliane Ouimet de Gadoua et à un représentant du Club des Petits Déjeuners du Québec afin de vendre des sandwichs au profit du Club. Cet événement se tiendra entre 10 h 30 et 18 h sur l’Avenue Mont-Royal, entre les rues Boyer et Mentana.
 
Tout l’été, vous pourrez aussi participer à un concours. 100 000 prix instantanés seront distribués, en plus d’une occasion spéciale pour le 3 septembre prochain, journée anniversaire officielle de la Boulangerie Gadoua.
 
C’est en 1911 que Wilfrid Gadoua a fondé l’entreprise à Napierville. Aujourd’hui encore, cette marque est au cœur de la vie quotidienne des Québécois.

Pour plus d’informations sur le 100e anniversaire de Gadoua, consultez le site internet.

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Cinéma

Une autre récompense pour C’est pas moi, je le jure!

La deuxième édition du Festival du film francophone d’Angoulême a décerné le Valois du meilleur film à C’est pas moi, je le jure! du Québécois Philippe Falardeau.

Le jury, présidé par Sandrine Bonnaire, était composé notamment de l’acteur suisse Jean-Philippe Ecoffar, de l’actrice belge Déborah François et du chanteur québécois Robert Charlebois.

C’est pas moi, je le jure! met en vedette Antoine L’Écuyer, Suzanne Clément et Daniel Brière. Le scénario raconte l’été de Léon, 10 ans, un jeune homme perturbé et casse-cou qui tente d’oublier le départ de sa chère mère.

Le Valois de la meilleure actrice a été décerné à Jacky Tavernier pour le film L’Absence et celui du meilleur acteur est allé à Julien Courbey pour Orpailleur.

Le festival s’est déroulé du 26 au 30 août et comptait dix films en compétition qui provenaient de l’Europe, de l’Afrique et du Québec. En tout, 40 œuvres ont été présentées durant l’événement.

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Cinéma

Sorties de films : C’est pas moi, je le jure!

C’est pas moi, je le jure! raconte la vie de Léon Doré (Antoine L’Écuyer), 10 ans, lors de l’été 1968. Étant déjà un enfant perturbé, quelque peu autodestructeur, le départ de sa mère en Grèce n’arrange pas les choses.

Le jeune garçon s’adonne alors à faire les 400 coups ici et là au grand désespoir de son grand frère et de son père. Non seulement le jeune homme devient voleur, mais il continuera de s’autodétruire.

Le seul baume sur ses blessures est son amitié avec la petite voisine, Léa.

Parmi les autres sorties de films :

Choke (version anglaise)
Comédie dramatique réalisée par Clark Gregg avec Sam Rockwell, Anjelica Huston et Kelly Macdonald.

The Descendant (version anglaise)
Drame fantastique réalisé par Philippe Spurrell avec Rob Diloreto, Ilona Garcen et Tadhg MacMahon.

Disco (version française et sous-titrée en anglais)
Comédie réalisée par Fabien Onteniente avec Franck Dubosc, Emmanuelle Béart et Gérard Depardieu.

The Duchess (version anglaise)
Drame historique réalisé par Saul Dibb avec Keira Knightley, Ralph Fiennes et Charlotte Rampling.

House of the Sleeping Beauties (Das Haus der schlafenden Schönen) (version allemande et sous-titrée en anglais)
Thriller réalisé par Vadim Glowna avec Vadim Glowna, Angela Winkler et Maximilian Schell.

The Lucky Ones (version anglaise)
Comédie dramatique réalisée par Neil Burger avec Tim Robbins, Rachel McAdams et Michael Peña.

Miracle at St. Anna (version anglaise et italienne sous-titrée en anglais)
Drame de guerre réalisé par Spike Lee avec Derek Luke, Michael Ealy et Laz Alonso.

Naissance des pieuvres (version française sous-titrée en anglais)
Drame psychologique réalisé par Céline Sciamma avec Pauline Acquart, Louise Blachère et Adèle Haenel

Eagle Eye (L’oeil du mal)
Thriller réalisé par D.J. Caruso avec Shia LaBeouf, Michelle Monaghan et Rosario Dawson.

Nights in Rodanthe (Le temps d’un ouragan)
Drame sentimental réalisé par George C. Wolfe avec Diane Lane, Richard Gere et James Franco.

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Cinéma

Deux prix pour C’est pas moi, je le jure!

Le dernier film de Philippe Faradeau (Congorama), C’est pas moi, je le jure!, s’est vu décerner le prix du meilleur long métrage canadien au Festival du film de l’Atlantique qui se termine aujourd’hui (22 septembre).

Cette histoire d’un petit garçon âgé de dix ans, Léon, un autodestructeur qui fait face à la séparation de ses parents, a séduit le jury.

La prestation d’Antoine L’Écuyer, qui incarne Léon, a également impressionné les juges, puisqu’il s’est vu remettre le titre de meilleur acteur.

Le prix du meilleur court métrage canadien a été remis à Denis Villeneuve pour Next Floor. Celui de la meilleure actrice est allé à Karen LeBlanc pour Nurse.Fighter.Boy.