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Ludovick Bourgeois et sa conjointe souhaitent avoir un deuxième enfant dans un futur proche

C’est dans le cadre d’une entrevue accordée au journaliste Daniel Daignault pour le magazine 7Jours que le chanteur Ludovick Bourgeois s’est ouvert sur la paternité. Rappelons qu’il est papa pour la toute première fois depuis quelques mois déjà. De plus, dans l’entrevue, Ludovick mentionne que lui et sa conjointe Olivia Rochon, souhaitent avoir un deuxième enfant.

« […] une chance que ma blonde est là, parce que lorsque vient le temps de partir et de paqueter les sacs, je suis toujours en train de me demander ce qu’il faut apporter. (rires) Je me trouve patient et, honnêtement, je ne pensais jamais aimer autant. Ça me surprend parce que je ne suis pas quelqu’un qui aime facilement et ça me faisait peur. Mais là, quelques jours après sa naissance, je me suis réveillé un matin en braillant, je n’étais pas capable de me retenir. Pour aucune raison, ou plutôt, simplement parce que je l’aimais trop! », racontait-il.

« Ma fille a maintenant quatre mois et on est chanceux, ça va vraiment bien, c’est un bon bébé. Il y a tellement de choses qui changent, tous les jours elle fait de nouvelles choses, c’est fou! Ça tombe quand même bien en ce moment parce que c’est plus tranquille, alors je passe beaucoup de temps avec elle. Tous les matins, je vais la chercher et elle me sourit, c’est incroyable!  », a-t-il ajouté.

Le chanteur mentionne également qu’il est épaté par les talents naturels de mamans de sa conjointe.

« Premièrement, on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie, comme si elle avait été super qualifiée! Je sais qu’elle a lu beaucoup de livres pour bien se préparer, mais c’est fou de voir toutes les notions qu’elle possède et je lui fais pleinement confiance », racontait-il au journaliste du magazine.

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Puis, Daniel Daignault a demandé à Ludovick si lui et sa conjointe entretenaient l’idée d’avoir un deuxième enfant.

« Oh oui! On vient de grandes familles, on a des frères et des sœurs, et c’est important pour nous que les enfants n’aient pas une grande différence d’âge entre eux. On veut planifier ça, mais pas tout de suite, on va se donner le temps de respirer un peu! On va peut-être commencer à y penser à la fin de l’année, on va voir », a-t-il répondu.

En plus de parler de paternité dans l’entrevue, Ludovick Bourgeois a également mentionné qu’un nouvel album était en préparation et qu’un premier single devrait être lancé en avril prochain.

« J’ai hâte de voir les réactions des gens. Toutes les chansons sont finies, il ne reste plus qu’à faire du travail en studio pour les compléter et l’album va sortir en octobre. Je suis vraiment content du résultat  ».

Si plusieurs artistes ont profité du temps de repos forcé que la pandémie a apporté pour être créatifs, ce n’était pas nécessairement le cas pour le chanteur.

« […] les meilleures tounes que j’ai écrites avec les gens avec qui je travaille ont été faites au cours des dernières semaines. Je me suis entouré de nouvelles personnes, entre autres le DJ Domeno, qui fait de la réalisation, et je travaille aussi avec Benjamin Nadeau, un jeune prodige, ainsi qu’avec un autre réalisateur, Patrick Bouchard. La pandémie m’a vraiment déprimé et j’ai trouvé que ç’a été très difficile pour le milieu du spectacle. J’ai quand même été choyé, j’ai continué à travailler, mais c’était comme s’il y avait un nuage noir au-dessus de la culture et ça ne m’inspirait pas. On dirait qu’on voit enfin la lumière au bout du tunnel et ça m’a fait du bien sur le plan créatif. Ça m’a enlevé un gros poids de sur les épaules. Je n’étais pas hyper satisfait de ce que j’avais fait pour mon album, mais ça a débloqué récemment et je suis vraiment content », relatait-il.

En bref, nous sommes heureux de savoir que Ludovick Bourgeois et sa conjointe vivent le parfait bonheur et nous avons très hâte d’entendre le nouveau matériel du chanteur!

Pour lire l’entrevue du 7Jours au complet, c’est par ici.

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Ludivine Reding aimerait devenir sexologue

C’est  dans le cadre d’une entrevue accordée au magazine La Semaine que l’actrice Ludivine Reding s’est livrée, en toute transparence, au journaliste Daniel Daignault. En effet, la jeune comédienne de 25 ans a bien des projets qu’elle aimerait accomplir et c’est grandement impressionnant.

Premièrement, nous ne savions pas que la comédienne suivait actuellement des cours dans le domaine de l’immobilier. Nous ne savions pas non plus qu’elle rêvait de devenir sexologue. De plus, elle s’est ouverte sur un projet qu’elle chérit plus particulièrement : celui de lancer une entreprise avec son copain.

« J’aimerais lancer une entreprise avec mon copain, et j’ai une idée de projet de film que je voudrais concrétiser. Ce sont de nouvelles choses pour moi, et c’est un long processus que de faire le saut. Une fois que je vais l’avoir fait, je serai contente, mais c’est un peu épeurant. J’étudie aussi en immobilier. Je suis super lente parce que je le fais par moi-même et, comme je travaille beaucoup, le temps que j’ai pour étudier est restreint. Mais j’aimerais terminer d’ici la fin de l’année parce que l’immobilier, ça m’intéresse, et je sais que je peux faire quelque chose là-dedans. Je souhaite voir mes projets se concrétiser et décrocher un rôle qui m’interpellerait, dans lequel je pourrais vraiment m’investir. Je ne passe pas beaucoup d’auditions et j’ai hâte d’en faire pour obtenir un rôle », lançait-elle au journaliste.

Elle s’est également ouverte sur le fait que même si on ne la voit pas beaucoup à l’écran en ce moment, ça ne veut pas dire qu’elle travaille moins. Ludivine fait énormément de doublage par les temps qui courent. Elle en fait presque tous les jours.

« Je fais un peu de tout, c’est super varié. Je prête aussi ma voix à des livres audios; j’en fais un en ce moment pour les adolescents. J’ai commencé à faire ça l’an dernier et j’adore », raconte-t-elle.

« J’ai beaucoup travaillé durant les cinq dernières années, et là, c’est comme une pause. C’est peut-être aussi à cause de mon âge (elle a eu 25 ans en février): je suis entre-deux et on ne pense peut-être pas à moi. Avant, je faisais beaucoup les filles de 17 ans à 25 ans, j’ai l’air peut-être trop jeune, je suis dans une phase intermédiaire. Mais je travaille quand même et j’ai du plaisir. J’ai hâte de voir ce qui m’attend. Tant qu’on reste positive, les choses arrivent. C’est cool parce qu’à 25 ans, j’ai vécu des choses, mais il m’en reste tellement à vivre! En ce moment, je suis plus assise dans la vie, je sais plus où je m’en vais, je suis à une bonne place amicalement, amoureusement et avec ma famille », ajoute-t-elle.

Par la suite, le journaliste l’a questionné sur sa passion pour l’immobilier.

« J’ai commencé en novembre 2020, c’est un peu long. Mais j’ai fini trois cours dont l’un est le plus gros, celui de droit immobilier. C’est comme l’équivalent de deux cours parce qu’il est très dense », précise-t-elle. « Au départ, c’est pour mes propres connaissances en immobilier que j’ai suivi ces cours. J’aime beaucoup ce domaine, j’ai acheté quelques immeubles et, puisque j’avais du temps, j’ai voulu en connaître plus sur le sujet. Je suis bien contente d’avoir suivi ces cours, on ne sait jamais ce que l’avenir me réserve pour ma carrière   ».

Un peu plus loin dans l’entrevue, Ludivine Reding a avoué caresser le désir de devenir sexologue.

« Je sais que les études sont super longues pour me rendre où je voudrais aller, mais c’est un autre truc qui me tenterait », lançait-elle au journaliste du magazine La Semaine.

Nous lui souhaitons bonne chance!

Pour lire l’entrevue au complet, c’est par ici.

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Peter MacLeod donne des nouvelles de sa tournée et de son état de santé

C’est en entrevue avec le journaliste Daniel Daignault pour le magazine 7Jours que l’humoriste et animateur, Peter MacLeod s’est ouvert sur le fait que sa tournée Zen en kilt est sur pause. Dans l’entrevue, l’humoriste se confie sur la pression qu’il ressent dans le métier, mais aussi sur l’importance d’avoir du plaisir dans son travail.

« Quand tu commences à te demander pourquoi tu ne files pas, tu réalises que c’est dû à l’accumulation de tout ce que tu as vécu avant. C’était rendu que je n’avais pas le bonheur facile. Je pense qu’au cours des dernières années, j’avais réussi à atteindre un certain équilibre, mais que j’étais quand même stressé et je ressentais beaucoup de culpabilité. Quand j’allais au chalet, je me disais que j’aurais dû rester à la maison pour écrire; j’étais tiraillé. Avec le recul, c’est facile de voir les choses, mais quand on n’a pas de perspective, on ne voit rien », admet-il quand Daniel Daignault lui a demandé s’il se sentait mal d’avoir mis sa tournée sur pause.

« C’était rendu que je n’avais pas le bonheur facile »

« Je me suis tassé de la radio. À partir de ce moment-là, j’ai parlé avec mes équipes de ce que j’avais envie de faire, et il a été question d’une tournée avec un nouveau spectacle. J’étais d’accord, mais je ne voulais pas qu’il y ait beaucoup de dates: je voulais cibler des endroits où j’irais jouer. Mon chum Louis-Philippe (Rivard) et moi, on a écrit le show. Je pense qu’il y a trois heures et demie de matériel! C’est important que je le dise, parce que j’aime encore beaucoup écrire. Quand LouisPhilippe, Marc Gélinas et moi, on se fait des journées d’écriture, c’est un gros party. Et monter sur une scène et faire rire le monde, j’aime toujours ça. Mon problème, c’est la tournée. J’ai réalisé que c’était ça qui me causait un grand stress », s’est-il confié.

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« Pour le moment, je l’ai mis sur pause. Il est là, il est dans l’univers. J’ai dû faire quelques compromis avec moi-même, parce que je veux essayer de me motiver. Alors, je vais faire ici et là quelques spectacles corporatifs, des shows privés, tout simplement pour voir comment je me sens sur scène. Si jamais je n’aime pas ça, ben… c’est pas mal là que je vais prendre ma décision », relatait-il.

« J’étais pogné avec une certaine culpabilité… On a toujours peur de décevoir les gens autour de nous, ceux qui nous ont suivis durant toutes ces années-là; et on a peur de se décevoir aussi. J’étais tout le temps en train de me mettre de la pression. J’ai parlé avec Pat (Patrick Huard), à son émission, du fait qu’il faut toujours super performer. Performer, je n’ai pas peur de ça, dans un contexte où j’ai du fun. Quand tu fais de l’humour ou que tu tournes une série, il faut que ça reste du divertissement; et il ne faut pas que tu te prennes au sérieux non plus. Tout dépend du contexte dans lequel tu travailles et des gens qui t’entourent. Par exemple, on a fait quatre saisons de la série Week-end de bois à mon chalet. On avait quasiment choisi chacune des personnes qui travaillaient là-dessus, pour que chaque jour soit le fun. On ne voulait pas s’entourer de gens désagréables. On voulait avoir du plaisir à faire nos affaires ».

Crédit:Entourage

« Les prochains mois vont être déterminants. Si jamais on décide qu’on fait cette tournée-là pour un certain nombre de dates, c’est sûr que ça n’ira pas avant l’automne. Si on va de l’avant, on fera de 40 à 50 shows par année. Si j’ai du plaisir à aller faire chacun de ces spectacles-là, ça va paraître sur scène. Durant les deux premières années de ma tournée précédente, ça allait bien; mais pendant la troisième année, c’était tout le temps difficile, et personne ne pouvait le savoir. Moi, je savais, durant la journée, que ça devenait de plus en plus pesant. Aujourd’hui, j’essaie d’accepter un peu l’inconnu. C’est difficile, parce que l’être humain a besoin de contrôler des choses, et avec la pandémie, on en contrôle encore moins. C’est gros, ce que j’ai fait pour ma carrière ou mon gagne-pain: je me suis lancé dans l’inconnu. J’ai vraiment tout arrêté et je m’ouvre à l’inconnu, mais je suis convaincu que les cadeaux sont cachés derrière tout ça. Je suis prêt à provoquer des choses, je lance des choses dans l’univers, mais je ne me crée pas d’attentes », concluait-il.

Nous suivrons l’évolution de cette tournée de près.

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Voyez la puissante bande-annonce du true crime Présumé innocent : L’affaire Michelle Perron

Amateurs et amatrices de séries de types true crime, bouclez votre ceinture, parce que le tout nouveau documentaire québécois Présumé innocent : L’affaire Michelle Perron, animé par Marie-Claude Savard et Sébastien Trudel débarque sur Crave le 8 octobre prochain et la bande-annonce est d’une intensité hors pair.

La série documentaire sera axée sur le meurtre de l’épouse du très populaire réalisateur de Radio-Canada, Gilles Perron.

Rappelons que dans les années 1980, cette histoire avait fait couler beaucoup d’encre et le célèbre réalisateur avait même été déclaré coupable du meurtre de sa femme, puis, quelque temps plus tard, il avait été acquitté. Un dénouement qui avait grandement surpris la province.

C’est le 15 décembre 1987 que « Michelle Perron est sauvagement poignardée à l’intérieur de sa voiture, stationnée sur les lieux de son travail à la Polyclinique de Laval. Tout indique que la victime connaissait son agresseur. Son mari, le réalisateur Gilles Perron (Chez Denise, Les démons du midi, Star d’un soir), était sur les lieux du crime. Les soupçons se dirigent rapidement vers cet homme charismatique, lourdement endetté, et menant une double vie ».

Marie-Claude Savard et Sébastien Trudel rouvriront les livres de cette tragique histoire encore aujourd’hui, non résolus pour tenter de trouver d’autres pistes.

« Sans jamais oublier la victime de cette affaire, Marie-Claude, Sébastien et le réalisateur Sébastien Trahan ont mené ce projet avec beaucoup de respect. Tous les ingrédients pour une série à succès sont là : des témoignages chocs, des rebondissements, de nouveaux éléments de preuves. Cette série documentaire s’inscrit parfaitement dans l’offre audacieuse de Crave », lance Mélanie Bhérer, directrice générale, Variété, style de vie et documentaire, par voie de communiqué.

« Marie-Claude Savard et Sébastien Trudel multiplient les rencontres avec l’espoir que les langues se délient. Ils découvrent de nouveaux éléments de preuves alors que des témoins de l’époque racontent comment ils ont vécu cette affaire. Monique Sirois – maitresse de Gilles Perron –, Yves Boisvert, Dr Gilles Chamberland, Daniel Rock, Jean Dury, Claude Poirier, Normand Brathwaite, Daniel Daignault, Michel Trudeau et des policiers de Laval impliqués sont parmi les intervenants ».

Les quatre épisodes d’une heure de Présumé innocent : L’affaire Michelle Perron, seront disponibles sur Crave dès le 8 octobre prochain. C’est assurément à ne pas manquer!

Crave | Présumé innocent : l’affaire Michelle Perron (bande-annonce) from Bell Média RP on Vimeo.