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Étude contradictoire dans le dossier du surpoids et de la longévité

Voilà une étude qui fait jaser et qui continuera de le faire au fil des prochaines semaines. Le Journal of the Medical American Association (JAMA) vient de publier des recherches qui indiquent la possibilité d’une meilleure espérance de vie chez les gens légèrement en surpoids.

Voici qui contredit à peu près tout ce qui a été publié jusqu’à maintenant en matière de poids, de santé et de longévité.

La nouvelle de cette publication est reprise par plusieurs médias, dont Radio-Canada. On explique par ailleurs que cette étude n’en est pas une mince, mais plutôt ce que l’on appelle une « méta-étude ». On entend par là que cette étude analyse les résultats de plusieurs autres études précédentes sur un même sujet, dans ce cas-ci plus de 97 recherches couvrant pas moins de trois millions de personnes.

On parle de l’indice de masse corporelle, qui pourrait favoriser une plus grande durée de vie chez ceux qui en affichent une plus grande que la moyenne (IMC de 25 à 29,9, par exemple, contre 18,5 à 24,9 pour la moyenne).

Passé ces chiffres, les risques de mortalité prématurée grimpent en flèche. On parle donc d’un « bénéfice » observable dans les cas de surpoids léger.

Les chercheurs expliquent le phénomène par plusieurs théories plausibles, à commencer par celle qui veut que ces graisses en trop puissent bien fournir des énergies supplémentaires lorsque le corps tente de combattre les virus et maladies.

On peut s’attendre à voir d’autres études et recherches réagir à celle-ci dans un avenir rapproché.

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Le Roquefort : fontaine de jouvence?

Revirement de situation dans le cas du Roquefort, ce fromage gras, lourd et bleu, souvent déconseillé dans le cadre d’un régime alimentaire sain.

C’est que selon topsante.com, des chercheurs britanniques viennent de découvrir que le fameux fromage français possède des propriétés qui empêchent le vieillissement prématuré.

Le Roquefort, une fontaine de jouvence? Le mot est fort, mais il semble que ses vertus soient vérifiables. Si cela semble étrange pour certains spécialistes, notamment pour sa grande teneur en gras, cela pourrait expliquer notamment l’espérance de vie plus longue que la moyenne chez certaines Françaises amatrices de ce produit.

La durée de vie des Françaises, en moyenne, est de 84 ans.

Les chercheurs britanniques de Cambridge cherchaient d’abord à expliquer cet écart de longévité avec plusieurs autres peuples. Le vin rouge n’étant pas la réponse absolue, ils se sont tournés vers d’autres produits et aliments consommés massivement par les Français.

Le Roquefort s’est démarqué des autres, notamment par ses vertus anti-inflammatoires. Il appert également que malgré un taux de lipides élevé, le fromage ne serait pas néfaste pour la santé cardiaque.

Le fromage bleu reprend donc ses lettres de noblesse, au point où les chercheurs, qui ont baptisé le phénomène French Paradox, suggèrent à l’industrie cosmétique d’analyser les propriétés anti-âge du fameux fromage.