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Jason Segel a délaissé Twitter pour une affaire de burrito

C’est donc un burrito qui aura eu raison de l’engouement de l’acteur Jason Segel pour le réseau social Twitter, une information aussi hilarante que le principal intéressé, et rapportée par BANG Media International.

C’est que l’acteur de 34 ans s’est mis à dos une partie de ses fans, et amateurs de burritos, en déclarant en 2012 qu’il préférait les sandwichs aux burritos. Dévoilant d’abord sa préférence sur le plateau de David Letterman, l’acteur en a ensuite réitéré sur Twitter.

Cette opinion lui a valu une tempête virtuelle, qui aura finalement mené Jason Segel à cesser ses activités sur Twitter pendant deux ans.

« Tu es un idiot. Tu ne sais rien des burritos. », lançait notamment un internaute à l’acteur.

Laissant la poussière retomber, Segel a ensuite publié une photo de lui avec un burrito, titrant : « OK, amoureux des burritos. Je me suis fait un délicieux burrito géant. Lâchez-moi. Ce n’est toujours pas aussi bon qu’un sandwich. »

Le sympathique acteur, présentement en vedette aux côtés de Cameron Diaz dans Sex Tape, compte néanmoins deux millions et demi d’admirateurs sur Twitter.

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Le débat sur l’allaitement fait de l’ombre aux enjeux plus importants

La professeure Joan B. Wolf en est arrivée à la conclusion que le débat sur l’allaitement prend trop de place, rapporte le New York Times.

« En me basant sur l’analyse de centaines d’études, j’ai découvert que les avantages reliés à l’allaitement dans les pays développés sont inexistants, marginaux ou impossibles à dissocier des autres aspects de vie d’un enfant. »

De nos jours, les scientifiques, avocats et journalistes répandent cette idée que l’allaitement est conditionnel à la santé. Ainsi, la mère qui allaite est supérieure, et les autres devraient avoir honte de ne pas tout faire pour que l’allaitement fonctionne.

La réalité est toute autre, cependant. Les mères doivent trouver l’équilibre entre les besoins du bébé, des autres enfants, du conjoint, du travail, des parents qui vieillissent et des autres préoccupations.

Pendant ce temps, on oublie de se préoccuper de la flexibilité en entreprise pour la conciliation famille/travail, l’accessibilité à un service de garde de qualité et l’amélioration du système scolaire. Des enjeux qui, pour leur part, viendraient réellement en aide aux familles modernes.

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George Clooney défend Barack Obama lors d’une discussion animée

George Clooney est un vrai démocrate, et il a encore eu l’occasion de le prouver lors d’une récente soirée, rapporte Female First (UK).

L’acteur s’est retrouvé au beau milieu d’une discussion animée après que le propriétaire et magnat du jeu Steve Wynn ait insulté le président Barack Obama, le traitant au passage de « trou de cul ».

Clooney aurait alors signifié son amitié pour Obama, ce qui aurait ouvert la porte à Wynn pour une deuxième ronde. « Alors, ton ami est un trou de cul », aurait-il réitéré.

La situation aurait ensuite un peu dégénéré, au point où la sécurité personnelle de Steve Wynn aurait rapidement fait son entrée sur la scène. Pas de dommage au final cependant, George Clooney ayant décidé de quitter les lieux.

Ce dernier y est allé d’un bref communiqué relatant les événements, ce à quoi Steve Wynn aurait répondu que l’acteur est « plus agréable à fréquenter quand il est sobre ».

Parions que les deux hommes ne se retrouveront pas à la même table de jeu d’ici un bon moment.

George Clooney, que l’on a pu voir récemment dans The Monuments Men, est en tournage pour Tomorrowland de Brad Bird.

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Polémique grandissante concernant le vaccin Gardasil

C’est une véritable bombe qui s’abat en santé, alors que des scientifiques ont publié des observations peu flatteuses et inquiétantes concernant le populaire vaccin Gardasil, rapporte notamment Le Devoir.

« Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et, de plus, il est porteur de risques », déclare d’emblée la chercheuse Lucija Tomljenovic, basée en Colombie-Britannique.

Même son de cloche du côté de l’Europe et de la France, alors que 25 nouvelles plaintes seraient déposées contre le Gardasil, pourtant largement vanté et distribué chez les jeunes femmes depuis quelques années.

Le vaccin Gardasil promet de protéger du VPH et du cancer de l’utérus, mais les certitudes semblent de plus en plus fragiles en ce qui concerne le produit.

Plusieurs jeunes femmes vaccinées clament que le Gardasil est responsable de leur diagnostic de sclérose en plaques (SEP), de lupus et d’encéphalomyélite aigüe disséminée, un véritable scandale en soi si la chose se vérifie.

Quand on pense que les gouvernements et associations de santé de partout dans le monde, dont au Canada, n’ont pas hésité à faire vacciner des millions de jeunes filles et de femmes, on peut se demander quels sont les processus mis en place pour véritablement protéger la population.

Les spécialistes qui publient leurs observations et inquiétudes sur le Gardasil aimeraient maintenant faire adopter un moratoire sur le produit d’ici à ce qu’on fasse la lumière sur ses effets réels.

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Pas de marijuana thérapeutique pour les Québécois

Les patients québécois qui souhaitent se voir prescrire de la marijuana thérapeutique ou qui désirent en consommer légalement pour des raisons de santé devront vraisemblablement encore s’armer de patience.

Le Devoir rapporte et explique en effet que malgré l’implantation d’une nouvelle façon de faire en la matière sur le territoire canadien, le Québec demeure en attente et ne pourra offrir de la marijuana thérapeutique avant un certain temps.

Les médecins ne peuvent donc toujours pas offrir l’option aux patients de façon légale, malgré la mise en place d’une nouvelle règlementation fédérale.

« Ce n’est pas un traitement reconnu. On ne croit pas qu’on puisse nous accuser de restreindre l’accès. On verse une nouvelle responsabilité dans notre cours. On va respecter les lois, mais avec de la rigueur. Il y a dix ans, ça aurait été une fin de non-recevoir. Là, on ouvre un peu la porte », mentionne le président du Collège des médecins du Québec (CMQ), Dr Charles Bernard.

On sent un faible courant de sympathie pour le cannabis thérapeutique chez les spécialistes du Québec, alors que plusieurs études démontrent des bénéfices à l’utilisation de celui-ci. On souhaite cependant éviter du côté du CMQ de précipiter les choses.

Les prescriptions de marijuana médicale au Québec pourraient cependant devenir une réalité d’ici la fin de l’été, toujours selon cette même source. Les médecins peuvent toutefois prescrire légalement des comprimés de cannabinoïdes à leurs patients.

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Une clinique infirmière pour désengorger le système de santé

Un nouveau projet soumis par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) semble être une bonne idée, mais n’obtient pas tout l’enthousiasme escompté, selon le 24H Montréal.

La FIQ propose un nouveau concept de clinique composée d’infirmières certifiées, qui pourraient recevoir des patients qui désirent une consultation ou un suivi pour des problèmes de santé mineurs.

Aucun médecin sur place donc, mais la possibilité de parler avec un ou une professionnel(lle) de la santé sans pour autant attendre des heures ou engorger davantage les urgences et cabinets de médecins du Québec.

Plusieurs trouvent l’idée excellente, comme on pourrait le présumer. C’est le cas du directeur général du Regroupement provincial des comités des usagers, Pierre Blain : « C’est une excellente idée, ça va dans le sens de la simplification de l’accès aux soins pour la population, mais il faut voir comment on pourrait répartir les tâches des professionnels. On n’a pas nécessairement besoin de voir un médecin lorsqu’on a des problèmes de santé mineurs ».

Paul G. Brunet, président du Conseil pour la protection des malades, abonde dans le même sens en déclarant : « Je trouve le projet très intéressant. Si ça peut permettre d’améliorer le flux du réseau de la santé dans le contexte actuel, qu’on le fasse. Ça se fait en Ontario, pourquoi est-ce que ça ne pourra pas se faire ici ? »

Mais la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) ne voit pas la chose du même œil et croit plutôt qu’il faut maximiser les efforts de collaboration entre les professionnels de la santé, pourtant déjà pour la plupart surutilisés.

L’idée risque d’être débattue encore un bon moment, mais on peut se demander ce que la FMOQ peut reprocher à de telles idées proactives, alors que le Québec vit des heures graves en matière de santé et d’accès aux soins.

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Trois-Rivières approuve la fluoration de son eau

Trois-Rivières a tranché dans le débat concernant l’ajout de fluor dans les eaux potables du Québec, et décide de passer dans le camp du « oui », rapporte Radio-Canada.

La ville de Trois-Rivières a en effet accepté de donner son accord au projet de fluoration de l’eau potable, à la suite d’un vote qui s’est terminé de façon serrée. Neuf conseillers municipaux sur seize sondés ont voté en faveur du projet, ce qui a soulevé des réactions mixtes de la part du public présent lors de l’assemblée.

Pour les conseillers Marie-Claude Camirand et André Noël, qui ont voté contre, il semble que le feu vert accordé dans ces circonstances soit une erreur. « Je n’ai pas constaté d’acceptabilité sociale. Je ne veux pas imposer cette mesure-là à ma population », lance Marie-Claude Camirand.

André Noël, pour sa part, affirme : « Cette mesure-là doit être évaluée sur une base provinciale. Je vais voter contre, car je n’ai pas l’intention de me substituer au gouvernement ».

Certains conseillers qui ont voté en faveur du fluor dans l’eau ont aussi émis des réserves, un bon indicateur du vif débat qui règne au Québec en la matière depuis quelque temps.

La qualité du fluor utilisé dans l’eau et ses impacts sur la santé sont au cœur du débat, et la décision reviendra maintenant à chaque municipalité, comme le désirait le gouvernement provincial.

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Des médecins en guerre contre les frais médicaux accessoires

De plus en plus de cas de factures, et parfois salées, remises aux patients à la suite d’une consultation ou de traitements semblent faire leur apparition au cours des dernières semaines au Québec, semant l’indignation chez une partie de la population, mais aussi chez certains praticiens.

Radio-Canada rapporte les propos du MQRP (Médecins québécois pour le régime public) et de sa vice-présidente, Isabelle Leblanc, qui s’insurgent contre de telles méthodes de facturation.

« … tous les coûts pour les soins médicalement nécessaires devraient être couverts soit par la Régie de l’assurance maladie du Québec, soit par le régime d’assurance médicaments », explique la Dre Leblanc, avant d’ajouter que les patients ne s’obstinent généralement pas avant de payer la facture.

« Ils ont un problème de santé qui doit être réglé rapidement, et c’est très difficile pour quelqu’un qui est devant son médecin de refuser de payer. Les gens vont faire tout ce qu’il faut pour recevoir les soins », poursuit Leblanc pour expliquer cette réaction passive des patients.

Le MQRP veut et doit rencontrer le ministre de la Santé, Réjean Hébert, afin de voir les possibles mesures à prendre pour encadrer le phénomène et protéger le public et les patients.

Avec un système de santé fragile et une économie instable, le débat des frais de soins de santé au Québec ne fait probablement que commencer.

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Le débat sur la cigarette électronique reprend de plus belle

Les avis sont partagés concernant la cigarette électronique, que ce soit auprès de la population ou des corps médicaux dans le monde, mais de plus en plus de gens semblent se ranger à la cause du substitut à la cigarette « traditionnelle ».

C’est que la cigarette électronique permet au fumeur de continuer à effectuer ses réflexes et habitudes sans toutefois griller de vraies cigarettes, un moindre mal, selon plusieurs. L’un des facteurs qui dérangent plusieurs spécialistes est la présence de nicotine dans certains types de cigarette électronique, mais un grand nombre d’observateurs affirment qu’il s’agit tout de même d’une meilleure alternative que la cigarette en soi, qui contient non seulement de la nicotine, mais aussi un nombre impressionnant de matières toxiques et dommageables pour la santé.

Malgré tout, les médecins ne peuvent prescrire ou conseiller l’alternative à leurs patients, au Québec ou en Europe, et le débat est relancé sur les deux continents.

Le Dr Philippe Presles, auteur du livre La Cigarette Électronique, croit quant à lui que « ce qui est dangereux dans la cigarette, c’est la combustion du tabac. La seule chose en commun avec la cigarette électronique, c’est la nicotine. La nicotine ne rend pas malade. Elle ne donne pas de cancer ni de crise cardiaque. Bien sûr, elle entraîne une dépendance, mais elle n’est pas nocive ».

Une opinion rapportée par Radio-Canada et partagée par bien des confrères, qui attendent toujours la décision des gouvernements dans le dossier. Les autorités en matière de santé doivent d’abord classer le traitement, et déterminer si la cigarette électronique incite le tabagisme ou sa cessation, rapporte Santé Log.

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La chirurgie robotisée provoque le débat

Si vous croyez que les opérations chirurgicales effectuées par des robots sont de l’ordre d’un avenir lointain, détrompez-vous.

En fait, de plus en plus de centres hospitaliers dans le monde utilisent et perfectionnent la robotique médicale, et certaines opérations ont déjà été effectuées par des robots, sous la supervision de personnel médical qualifié.

Or, l’arrivée soudaine des technologies du futur dans le monde médical soulève des interrogations et des peurs, et provoque un débat enflammé.

D’un côté, les pro-technologies affirment que la précision calme et froide d’un robot permettrait de désengorger certaines listes d’attente et d’élever les taux de réussite de certains types de chirurgies plus poussées.

De l’autre, les anti-robots voient en cette ère de la robotique une gigantesque porte s’ouvrir sur les erreurs médicales, les morts prématurées et d’horribles accidents.

Et ce deuxième groupe a de quoi argumenter, alors qu’on recense 70 décès liés à des manœuvres robotisées en centre hospitalier sur le territoire américain depuis 2009, et que certains problèmes de conduction d’électricité ont été observés.

 Cependant, tous ces cas doivent être mis en perspective du nombre total d’opérations médicales en tous genres impliquant une technologie robotique, soit 367 000 en 2012 seulement (États-Unis), selon le Daily Mail (UK).

Quoi qu’il en soit, le débat risque de se poursuivre encore longtemps, et comme l’histoire l’a démontré, rien ne peut vraiment stopper la montée de la technologie. Ce genre d’opérations risque de devenir de plus en plus fréquent dans nos vies et dans le monde médical.

Au Québec, avec les problèmes de budget restreints, la question risque de ne pas se poser vraiment avant longtemps…