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L’acide folique n’augmenterait pas les risques de cancer

L’acide folique est blanchi des accusations qui pesaient contre lui, selon lesquelles il encouragerait le développement de plusieurs types de cancer.

Ainsi, on apprend par l’entremise de la National Library of Medicine que des chercheurs viennent de déposer les résultats de leurs analyses sur le sujet. Selon eux, l’acide folique a été pointé du doigt injustement jusqu’à présent.

Surtout contenu dans les aliments renfermant de la vitamine B ainsi que dans la farine (depuis 1998), on le retrouve aussi dans les légumes verts comme les épinards, les asperges et la laitue, notamment.

Plusieurs experts s’accordaient pour dire que cet acide possédait certains travers qui contrecarraient ses effets bénéfiques sur la santé, ce que démentent ces dernières recherches.

Pour prouver leurs théories, des chercheurs canadiens (Nouveau-Brunswick) se sont alliés à d’autres experts internationaux et ont tout simplement administré des doses quotidiennes d’acide folique à un groupe test, alors que le second groupe ne recevait qu’un placebo.

En ajoutant ces résultats à ceux obtenus dans plus de 13 autres essais cliniques, les experts néo-brunswickois et leurs collègues tranchent : pas de hausse de cancer due à l’acide folique.

L’étude s’est effectuée sur plus de cinq ans et a vu passer près de 50 000 volontaires.

« La conclusion est qu’il n’y a aucun danger à court terme (5 ans) », termine le Dr John Baron, appelé à commenter ces recherches.

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Une étude relance le débat sur la marijuana thérapeutique

Des chercheurs israéliens viennent de jeter de l’huile sur le feu du débat concernant l’usage de la marijuana chez des patients souffrant de divers troubles, dont des maladies chroniques, annonce Santé Log.

On le sait, l’usage thérapeutique de cette drogue douce n’est pas vu d’un bon œil par tous les spécialistes et commentateurs, mais elle connait néanmoins des hausses impressionnantes de popularité, en pratique.

En effet, plusieurs praticiens n’hésitent plus à prescrire du cannabis à certains de leurs patients, et ce serait une bonne chose si l’on en croit les conclusions de l’étude proposée par l’Université de Tel-Aviv.

Les chercheurs en tête de l’étude ont noté une panoplie d’effets bénéfiques dans le traitement ou l’apaisement de plusieurs troubles et maladies chroniques ou autres, parlant même parfois de « résultats remarquables ».

Ce serait particulièrement vrai dans plusieurs cas de patients aux prises avec de la douleur, des troubles du sommeil, des problèmes d’appétit ou encore des problèmes musculaires (comme des spasmes ou des douleurs dorsales).

On note par ailleurs une baisse conséquente des autres traitements chez ces mêmes patients. Cela signifie que pour plusieurs, un traitement parallèle au cannabis permet de réduire les prescriptions de certaines drogues beaucoup plus fortes.

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Polémique concernant l’acide phytique chez les femmes ménopausées

Une polémique sévit dans le dossier de l’acide phytique, un élément retrouvé dans le sel de calcium et de magnésium, notamment.

Le dossier touche surtout les femmes qui vivent, ou sont sur le point de vivre, leur période de ménopause. Ces femmes sont invitées à consommer des produits et des aliments qui renferment de l’acide phytique, qui produit des phytates, afin d’aider au renforcement des os, notamment.

Si les phytates, retrouvées entre autres dans les légumineuses, les grains et les légumes racines, possèdent de belles vertus pour les femmes qui prennent un peu d’âge, elles auraient aussi des effets pervers potentiels à long terme.

On parle de possibles problèmes digestifs dus aux phytates, qui nuiraient aussi à l’absorption de certains minéraux importants par l’organisme.

Selon La Presse, qui rapporte plusieurs commentaires de spécialistes dans le dossier, beaucoup de gens croient que l’acide phytique possède plus de bons côtés que de mauvais.

On suggère aux femmes ménopausées de consommer les aliments qui en contiennent avec modération, et on mentionne que plusieurs moyens sont mis en place pour tenter d’amoindrir les taux d’acide phytique dans les produits, par processus de raffinement.

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Polémique concernant les « bracelets magiques » de Disney

Disney fait beaucoup parler d’elle ces temps-ci, alors qu’elle annonce l’implantation prochaine d’un tout nouveau système de bracelet technologique dans ses parcs d’attractions.

On le sait, ces parcs thématiques Disney sont très populaires et gizmodo.fr rapporte que l’organisation veut se tourner vers une technologie appelée RFID pour permettre à ses visiteurs de pratiquement tout faire avec un seul outil.

Cet outil, c’est justement ce fameux « bracelet magique » qui fait couler beaucoup d’encre.

C’est qu’avec ce bracelet, les touristes et visiteurs pourront accéder à leurs chambres d’hôtel, se procurer des objets, faire des achats, payer aux kiosques de nourriture et bien plus.

Cependant, là où le bât blesse, c’est que les autorités du parc pourront également suivre pas à pas tous les clients, exactement comme un système GPS.

Plusieurs sont déjà montés aux barricades pour dénoncer ce comportement et cette intrusion évidente dans la vie privée des gens. Plus que cela, on prétend que ceci permettrait à Disney d’analyser les comportements des visiteurs ainsi que leurs dépenses, et d’ainsi ajuster les stratégies de marketing en conséquence.

Du côté de Disney, on affirme que les visiteurs ne seront aucunement forcés de porter le bracelet, le système de billets demeurant aussi en place. Un code de sécurité de quatre chiffres sera nécessaire pour « protéger » le public.

L’implantation de ce système dans tous les parcs de Disney s’évalue à près d’un milliard de dollars.

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Les oméga-6 n’augmenteraient pas les risques d’attaque cardiaque

La polémique concernant les oméga-6, qui commencent à faire parler d’eux de plus en plus, fait rage depuis un certain temps.

La communauté scientifique est profondément divisée sur le sujet, alors que plusieurs chercheurs croient aux bienfaits des oméga-6 sur le cœur. D’autres sont plutôt convaincus qu’ils peuvent augmenter le risque de problèmes cardiaques éventuels, en plus de provoquer des inflammations.

L’étude dont il est question tentait de déterminer les effets des oméga-6 en évaluant les dossiers de 22 000 Américains, des hommes, sur une période de 17 ans. Par la suite, on a comparé les dossiers des 788 sujets qui ont développé des problèmes cardiaques avec ceux qui avaient le même profil (âge, sexe, paramètres), mais qui n’en avaient pas développé, explique www.nlm.nih.gov.

Au final, on sent que le débat risque de faire rage encore longtemps, puisque les notions et conclusions varient d’une étude à l’autre. Pour celle-ci, par exemple, tout ce que les chercheurs arrivent à affirmer avec certitude, c’est que les oméga-6 ne seraient pas néfastes pour la santé.

De là à dire qu’ils protègent, il y a un pas à franchir. Cependant, tous semblent s’entendre pour dire que les oméga-6 ont le mérite de gérer la haute pression, un facteur de risque des maladies cardiovasculaires.

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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Champs magnétiques et grossesse : tout un débat

On lisait récemment les résultats d’une étude américaine selon lesquels une exposition aux champs magnétiques durant la grossesse pouvait mener à l’asthme chez le futur enfant.

Une réponse à cette supposition paraît maintenant dans le Daily Mail, provenant de trois chercheurs du Royaume-Uni. Selon eux, cette affirmation manque de crédibilité.
 
Ils confirment que le développement de l’asthme durant l’enfance peut être causé par des facteurs multifactoriels, mais la preuve qu’une exposition aux champs magnétiques est directement liée à l’asthme n’est pas suffisamment étoffée.
 
Par exemple, dans l’étude en question, on a mesuré l’exposition aux champs magnétiques lors d’une seule journée, et cette donnée a ensuite été reportée à toute la durée de la grossesse des participantes.

De plus, certains autres facteurs étant reconnus pour augmenter les risques d’asthme n’ont pas été pris en considération. Nous pensons ici à l’exposition postnatale aux allergènes ou au tabac et au taux de vitamine D de la mère, entre autres.

 

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La fessée est encore un sujet de débat en France

Le Journal de médecine publie les résultats d’un sondage effectué auprès de 460 personnes dans lequel 88 % des professionnels de la santé se disent en faveur de la fessée.
 
Plusieurs médecins affirment être encore attachés à certains principes d’éducation et refusent d’écarter totalement la correction physique chez les enfants.
 
Rappelons qu’une récente étude avait démontré que la fessée rendait les enfants plus agressifs en vieillissant.
 
En France, ce châtiment n’est pas encore interdit, mais la pédiatre, députée et auteure du livre Autorité sans fessée, Edwige Antier, avait proposé un projet de loi pour interdire tous les châtiments corporels envers les jeunes enfants. Elle souhaite faire inscrire cette interdiction dans le Code civil. Elle veut également changer la mentalité des futurs parents à ce sujet.
 
Toutefois, le récent sondage montre que la majorité des professionnels de la santé ne sont pas du tout de son avis. Le débat reste donc ouvert.
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Débat européen sur la fessée

Hier (27 avril), le Conseil de l’Europe a tenu un grand débat sur les châtiments corporels, incluant la fessée, à Strasbourg, en France.
 
Les intervenants s’opposaient à la fessée comme moyen de punir des enfants.
 
En ce moment en Europe, 20 pays interdisent les châtiments corporels et huit autres se sont engagés à le faire. La Suède a été le premier pays à interdire tous les châtiments il y a trente ans.
 
En France, la députée Edwige Antier a déposé en janvier dernier un projet de loi pour interdire tous les châtiments corporels, y compris la fessée envers les enfants.
 
En 2006, l’Assemblée générale des Nations Unies avait fixé comme objectif que 2009 soit la date pour abolir les châtiments corporels dans tous les pays.
 
Au Canada, la cour a statué qu’une fessée raisonnable pouvait être utilisée, mais qu’aucun coup ou gifle ne devait être porté à la tête et qu’aucun objet ne devait être utilisé également. De plus, la fessée ne doit pas être donnée à des enfants de moins de deux ans.
 
Récemment, une étude rapportée dans la revue Pediatrics mentionnait que les enfants qui avaient reçu la fessée devenaient plus agressifs dès l’âge de cinq ans.