La superbe comédienne que l’on a pu voir samedi dernier à La Fureur 2020, Debbie Lynch-White, a décidé de commencer l’année en force en se faisant couper les cheveux et on peut dire que le résultat est très réussi!
Voir cette publication sur InstagramCommencer 2020 avec une petite coupe!! ✂️
Cela change de sa chevelure plus longue avec laquelle on est habituée de la voir! Qu’en pensez-vous?
Voir cette publication sur InstagramJoyeuses fêtes! Santé, bonheur et surtout ben du fun pis de la bienveillance! 🎅🎄❤️
Voir cette publication sur InstagramEn coulisses
Psst : Debbie n’a pas uniquement commencé l’année en force ; elle l’a aussi terminée de la sorte! En effet, elle a raconté hier matin sur les ondes de 105,7 Rythme FM avoir eu un signe de son père décédé alors qu’elle était au Mexique le 31 au soir. Voici une partie de son témoignage : « […] Moi je ne crois pas en grand chose d’intangible sauf au fait que je crois que mon papa il veille sur moi d’en haut. Janvier c’est une période de l’année où j’y pense toujours beaucoup parce que sa fête c’était en janvier et parce que le 1er février 2010, ma décennie a commencé avec une claque dans la face: son départ. Dans quelques jours, mon papa fêterait son 62e anniversaire et je pense que pendant ses années-là, il n’a jamais arrêté de m’envoyer des high-five d’en haut. En tout cas ça me fait du bien et ça me donne la force à chaque fois de m’imaginer que ça vient de lui […] À chaque fois, je me dis qu’il me fait un petit clin d’oeil, une petite tape dans le dos. Une de ses tounes préférées c’était Stairway to heaven. C’est devenu notre toune quand j’étais jeune, et tout le long de sa maladie […] Et quand j’ai gagné mon premier trophée Iris, en juin au Gala Québec Cinéma, aux petites heures du matin après le gala ma blonde et moi on est rentrées dans l’auto, je pars le moteur, j’ouvre la radio et Stairway est en train de jouer. Je me suis dit qu’il était là et qu’il était fier. Le 31 décembre dernier j’ai fêté le Nouvel an au Mexique avec ma blonde et des amis. Il est arrivé quelque chose qui m’a gonflé le coeur, le 31 je me faisais des petits bilans et j’ai réalisé que ça faisait déjà 10 ans que mon père n’était plus là. Et à 23h, une heure avant la nouvelle décennie, on errait un peu en se cherchant une place le fun pour se chiner nos verres à minuit. On passe devant un bar et le band joue Stairway to heaven, la toune qui fait le moins party du Jour de l’an au monde. Ça m’a fait une petite chaleur ben douce en dedans. Et je me suis dit qu’il était toujours là et qu’il me levait son verre à cette décennie qui a somme toute été formidable et qu’il me faisait un maudit gros high-five pour la prochaine ».
Psst : Elle a aussi été une réelle battante au cours des dix dernières années. Avez-vous vu sa rétrospective? Voici ce qu’elle avait à dire : « En 2010 je finissais l’école de théâtre en me demandant à quoi allait bien ressembler ma vie. Je ne savais pas ce que cette décennie me réservait. Elle a commencé en février 2010 avec une claque dans la face, le départ de mon héros, mon papa. J’ai vite compris que je devrais me retrousser les manches et la prendre à bras-le-corps cette décennie qui s’est finalement avérée être au-dessus de toutes mes attentes! J’y ai fait des rencontres marquantes, soudé des vieilles amitiés, j’en ai créer des toutes neuves, j’en ai aussi perdu, j’ai bâti une carrière à laquelle je rêvais depuis mon enfance, j’ai participé à des projets artistiques ultra variés qui m’ont permis d’apprendre, de côtoyer des personnes incroyables et de me définir comme artiste, j’ai fait un coming out qui a rapproché les gens qui m’aimaient pour vrai et éloigné les autres, j’ai pris du poids, perdu du poids, repris du poids, reperdu du poids, je me suis trouvée laide, je me suis trouvée fucking sex, j’ai rencontré et marié la femme de ma vie @gallant_ma12 ,acheté une maison, écrit un livre, voyagé seule, voyagé en gang, j’ai commencé une maîtrise, j’ai eu la chienne, je me suis sentie sur mon X, j’ai pogné une débarque en-bas de mon X, j’ai appris à dire non, j’ai aimé, j’ai chialé, j’ai sacré, j’ai braillé, j’ai hurlé de rire, j’ai pissé se rire, j’ai eu du fun, j’ai appris à mieux me connaître, bref une décennie mémorable qui me donne juste hâte à la prochaine!! Je vous en souhaite une intense et plein de santé, d’amour et de plaisir »!
Voir cette publication sur Instagram CatégoriesNouveau projet pour Debbie Lynch-White
La
vedette de 33 ans vient d’annoncer qu’elle renouera avec le théâtre d’été en rejoignant la pièce Silence on
tourne qui sera présentée à la salle
André-Mathieude Laval lors de la
belle saison.La
pièce de écrite par Patrick
Haudecoeur et Gérald
Sibleyras raconte l’histoire d’une équipe de cinéma
qui investi un théâtre pour le tournage d’un film. Les acteurs doivent tourner
la scène d’un mari trompé qui interrompt une représentation pour tuer l’amant de
sa femme.En
plus de Debbie Lynch-White, la comédie estivale mettra en vedette Olivier
Aubin, Chantal Baril, Stéphane Breton, Suzanne Champagne, Marie-Pier Labrecque,
Roger La Rueet Marc
St-Martin.La
pièce Silence on
tourne pourra être vue à compter du 3
juilletprochain.Photo
C’est en poussant la porte des studios de Rythme FM, un masque anticernes sous les yeux, que Debbie Lynch-White donnait tout son sens à l’expression Jamais trop tôt. Après une nuit rocambolesque, la comédienne s’est rendue de justesse à la station de radio pour présenter sa chronique matinale à l’émission du même nom. Hier soir, une panne de voiture au milieu de l’autoroute a mis abruptement fin à son sympathique séjour new-yorkais. Debbie, sa femme Marina Gallant et Claire, la grand-mère de celle-ci, étaient sur le chemin de retour de la Grande Pomme lorsque leur véhicule leur a fait faux bond près de Saratoga. Le trio a suivi la remorqueuse jusqu’à la petite ville de Queensbury où il a été constaté que les deux compagnies de location automobiles locales étaient fermées pour le Jour de Christophe Colomb, journée fériée aux États-Unis.
L’option de passer la nuit à Queensbury aurait été envisageable, sauf que Debbie était attendue derrière le micro à 7h15 et que Claire devait prendre un vol vers Sept-Îles à 6h30! C’est Marina qui a trouvé une solution. « Il y a un bus qui passe ici à 11h » peut-on l’entendre annoncer dans les stories Instagram de la comédienne, tout en étant un peu découragée par leur seule issue. S’en sont suivies quatre longues heures d’attente dans les restaurants de Queensbury et de Glenfalls et un long voyage en autobus. Elles sont enfin arrivées en sol canadien vers trois heures du matin, juste à temps pour accompagner Claire à l’aéroport et faire une micro sieste avant d’aller travailler. Invaincue par le manque de sommeil et le stress de cette course contre la montre, Debbie est restée tout sourire en documentant ses péripéties sur Instagram, puis sur les ondes de Rythme FM. On salue son sang froid et son sens de l’humour. Il faut dire que toute cette saga lui aura fourni un sujet hilarant pour sa chronique!
La nouvelle émission Faites-moi rire! débutera ce vendredi sur les ondes d’ICI Télé de Radio-Canada. Animée par une Pénélope McQuade très en forme, la saison sera lancée avec deux invités chouchou du public québécois, soit Jean-François Breau et Debbie Lynch-White.
On a eu la chance de visionner la première de l’émission, et dès le début, on sent que l’ambiance est aux rires et aux manigances, alors qu’une enfilade d’extraits avec les deux invités pliés en deux dans différentes séances de rigolade sont montrés. « On pige dans tout ce qui fait rire nos invités pour leur tailler une émission sur mesure. […] On va creuser votre sens de l’humour pour découvrir des pépites de rire! », dit Pénélope pour expliquer le concept de l’émission. C’est avec l’aide de ses collaborateurs que l’animatrice arrivera à soutirer plus qu’un sourire chez ses invités, comme ce sont eux qui ont la tâche de décortiquer l’ADN humoristique des invités.
Pour cette première, Pénélope pouvait compter sur Ève Côté, LeLouis Courchesne et Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques. Dans des segments vidéos, les trois font l’historique de ce qui fait rire à tout coup Jean-François et Debbie, tout en y imbriquant de bonnes blagues punchées, ou pas! Cependant, même si certains moments tombent à plat, le malaise qui en ressort devient drôle par lui-même, et après tout, l’émission est censée tester ce qui fait rire.
Mais c’est vraiment après avoir identifié l’ADN humoriste que le show commence. Pénélope propose alors des jeux ou bien des sketchs pensés par les collaborateurs, ou bien elle discute simplement avec ses invités de ce qui les fait glousser. Pour Debbie Lynch-White, ce sont les bébés qui croquent dans les citrons, alors que pour Jean-François Breau ce sont les gens qui prennent des méchantes débarques! Les jeux qui nous ont fait particulièrement rire sont les illusions auditives et la parodie d’Unité 9 mois. On ne vous en dit pas plus!
À travers l’émission, on voit aussi plusieurs archives d’humoristes dans leurs numéros les plus célèbres, en plus de vidéos populaires de YouTube. On en apprend aussi sur les invités, car le rire est rassembleur et on a vite l’impression d’assister à une soirée entre amis tant les personnalités viennent rapidement à leur aise. C’est rafraîchissant et franchement hilarant!
Ça promet pour les prochaines semaines!
Faites-moi rire! commence ce vendredi 13 septembre dès 20h.
Chaque famille, et même chaque personne, possèdent ses propres convictions et traditions lorsque se pointe la période des Fêtes, entre la Thanksgiving américaine, le Noël traditionnel et la fin d’année, notamment.
Il est alors intéressant de découvrir les recettes et trucs de ceux qui nous entourent.
Les fans de Debbie Lynch-White peuvent quant à eux découvrir l’une des traditions de la comédienne, alors que la star de La Bolduc leur présente son « gâteau au Jack Daniel’s des fêtes ».
« La production annuelle du traditionnel gâteau au Jack Daniel’s des fêtes est officiellement commencée!!! #tradition », écrit DLW en légende d’une photo de la préparation de l’intrigant mets, qu’elle propose par l’entremise de son compte Instagram.
Évidemment, les réactions n’ont pas tardé, et les requêtes pour obtenir la recette de la part des abonnés de la star sont nombreuses!
CatégoriesDebbie Lynch-White reçoit deux prix
Il y a un mois, la comédienne, chanteuse et auteure Debbie Lynch-White allait faire un petit tour à Angoulême afin de présenter La Bolduc au Festival du film francophone d’Angoulême. Cette fois-ci, c’est plutôt vers Tréport, Mers-les-Bains et Eu que s’est envolée l’artiste qui vient de lancer son premier livre Faut que je te parle afin d’assister au premier Festival du Film des Villes Soeurs.
Sa deuxième petite escapade en France aura été très payante, puisque la belle s’est vue recevoir pas un, mais DEUX prix pour son interprétation dans le long métrage La Bolduc de François Bouvier!
Debbie a annoncé la bonne nouvelle sur Instagram avec un air des plus joyeux : « OMG!!!! Prix du meilleur espoir féminin et prix d’Interprétation féminine au Festival de cinéma des Villes-Soeurs en France pour La Bolduc!!!!!! JE CAPOTE!!! Merci et quel beau festival!! ????? ».
Voir cette publication sur InstagramToutes nos félicitations à Debbie pour ces magnifiques prix la mettant en lumière!
Pssst! Le 28 octobre prochain, on saura si les nominations de la belle blonde au 40e Gala Adisq se mèneront aux trophées, puisque Debbie est nommée pour Interprète féminine de l’année et pour Album de l’année (réinterprétation) avec La Bolduc!
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La série Insatiable n’est pas déjà sortie qu’elle a déjà causé son lot de controverse depuis le dévoilement de sa bande-annonce, la semaine dernière. Cette nouveauté Netflix, que beaucoup ont critiquée pour la teneur humiliante de sa prémisse envers les personnes grosses, un terme revendiqué par de plus en plus de personnes, devrait normalement paraître le 10 août. Mais de nombreuses voix se sont élevées pour en empêcher la sortie, dont Guylaine Guay la semaine dernière, et désormais Debbie Lynch-White.
L’actrice qui a incarné La Bolduc au cinéma a invité le public, dans une publication supprimée depuis, à signer une pétition afin de dénoncer la grossophobie de cette émission mettant en vedette Debby Ryan.
« Prends donc un petit deux secondes pour signer et essayer de faire en sorte qu’on arrête de faire des séries qui encouragent le fait qu’être mince est la seule quête d’une jeune fille et sa seule issue pour être acceptée et heureuse », a rapporté le Journal de Montréal.
Debbie a souvent parlé de son expérience avec l’intimidation, et l’importance de voir des corps différents représentés de manière positive à l’écran. Espérons que le message soit clair!
Lancée il y a quatre jours, la pétition compte déjà plus de 113 000 signatures. De nombreuses personnes y dénoncent le caractère usé de cette narrative, qui place une fois de plus la diversité corporelle comme un obstacle à la crédibilité, au succès et au bonheur.
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C’est à compter la semaine prochaine que les Québécois pourront renouer avec l’une des grandes chanteuses de leur culture, La Bolduc.
Pour celle qui interprète cette grande dame de la chanson d’ici, Mary Travers, connue sous le nom de La Bolduc, était déterminée et avant-gardiste.
Debbie Lynch-White s’est confiée à La Presse. Que retient-elle surtout de cette Gaspésienne : « Son côté battante, répond-elle. Son courage, son côté bon vivant, sa générosité. C’est une fille de party et une mère qui veut être présente auprès de ses enfants, mais qui, par nécessité, va essayer de faire de l’argent. Elle est fière, travaillante. »
Entrer dans la peau d’un personnage historique de cette ampleur peut marquer un acteur. Debbie Lynch-White ne craint pas cela : « La Bolduc va faire un petit bout de chemin avec moi et c’est tant mieux, car on la ramène dans notre mémoire. »
Selon l’actrice, elle s’est un peu retrouvée dans cette mère de quatre enfants : « Elle en a kické, des portes. Je ne me sens pas très loin d’elle. Dès le début, La Bolduc m’est apparue familière et m’a fait penser aux femmes de ma famille. »
p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 11.0px 0.0px; line-height: 13.0px; font: 11.0px Verdana; color: #000000; -webkit-text-stroke: #000000}
span.s1 {font-kerning: none}
span.s2 {text-decoration: underline ; font-kerning: none; color: #0000ee; -webkit-text-stroke: 0px #0000ee}Le film La Bolduc prendra l’affiche partout au Québec à compter du 6 avril.
Photo : Les Films Séville
Debbie Lynch-White est sans contredit l’une des comédiennes les plus appréciées du Québec, mais ça n’a pas toujours été le cas!
Lorsque le public l’a découverte sous les traits de l’IPL Nancy Prévost dans Unité 9, de nombreuses personnes ont eu du mal à faire la différence entre son personnage et ce qu’elle était vraiment.
Lors de son passage à Tout le monde en parle, celle qui nous éblouira très bientôt au cinéma dans le rôle titre du film La Bolduc a réitéré qu’elle avait reçu de nombreuses menaces de mort suivant sa grande apparition dans la série en 2012. Mais l’actrice s’est depuis longtemps habituée à relativiser ce que les gens avaient à dire à son sujet.
« Née dans un format de Viking », Debbie a vécu de l’intimidation étant plus jeune, mais a rapidement appris à laisser aller les remarques désobligeantes à son égard.
« Tout le monde, je pense, passe par là. Tu t’appelles Isabelle, ils vont t’appeler Isabelle-la-poubelle. Les enfants, les ados peuvent être très méchants, on l’a tous été. Quand j’étais jeune, je suis revenue souvent en pleurant parce que je me faisais appeler la grosse tomate, parce que j’ai les joues rouges et je suis grosse. Ma mère était un peu tough love et elle me disait tout le temps « ben aimerais-tu mieux être verte pis avoir l’air malade? » Et là je me disais « OK, c’est cool une tomate finalement » »
CatégoriesDes éloges pour Debbie Lynch-White
Comme si on avait besoin d’une autre raison d’être énervé pour la sortie de ce film! Lors de son passage au Show de Rousseau, le comédien Émile Proulx-Cloutier a encensé la performance de Debbie Lynch-White dans La Bolduc, le long-métrage basé sur la vie de la mythique chansonnière québécoise Mary Travers.
Dans le film, Émile joue Édouard Bolduc, le conjoint du personnage campé par Debbie, un rôle qu’il a adoré jouer, mais qui lui a aussi permis d’apprécier de très près le dévouement de sa collègue :
« Ça a été une expérience vraiment forte pour moi de faire ça, surtout en fait parce que j’ai pu voir Debbie Lynch-White de proche faire ça. C’est grandiose ce qu’elle a accompli et elle l’a fait avec une espèce de détente et un aplomb… On pense la connaître, les gens aiment Debbie Lynch-White, on sait qu’elle est attachante, que c’est une bonne actrice, mais elle a sauté à pieds joints dans ce personnage-là. Je pense que ça faisait très longtemps qu’elle savait, avant même qu’on lui offre le rôle, quand elle a su qu’elle avait l’audition pour ça, elle s’est dit « je le veux, c’est à moi » ».
On pourra apprécier à notre tour son fabuleux travail dès le 6 avril sur grand écran.
Pour revoir l’entrevue d’Émile Proulx-Cloutier au Show de Rousseau, c’est juste ici!
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