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Debbie Lynch-White écrit un premier livre

Debbie Lynch-White est partie sur toute une lancée! Après un mariage, un film, un album, voilà qu’on apprend que son dernier gros projet est l’écriture d’un premier livre! La comédienne n’a pas dévoilé de quel type d’ouvrage il s’agit ni quand on aura la chance de le lire, mais elle a tout de même réussi à piquer notre curiosité.

C’est sur le blogue de Julie Bélanger que l’interprète principale de La Bolduc a confié trois choses qu’elle a apprises, un concept auquel se sont prêtées plusieurs autres personnalités, notamment Véronique Cloutier, Guylaine Tremblay et Jean-Philippe Dion, pour n’en nommer que quelques-uns.

Dans ce texte, elle écrit qu’il est important de sortir de sa zone de confort et en profite pour nous faire cette confidence sur son saut dans le monde littéraire :  

« En ce moment, professionnellement, je vis quelque chose dont je n’ai encore jamais parlé pour justement me protéger. Je suis en train d’écrire un livre et quand j’ai dit oui à ça, je ne savais pas du tout dans quoi j’allais m’embarquer, je n’ai jamais écrit de livre de ma vie! Ça fait quelques mois que je suis là-dessus et j’ai eu des hauts et des bas à me dire : Je suis qui pour dire ça, est-ce que c’est vraiment pertinent. Mais on dirait que dès le début, je savais que si je disais non à ça, j’allais le regretter. Alors je me suis lancée là-dedans. Mais après ça, ça vient avec son lot de montagnes russes. »

Si c’est pas intrigant, tout ça!

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Debbie Lynch-White relate ses derniers moments avec son père

Un moment d’émotion qui nous habitera encore longtemps. Ce dimanche à La vraie nature, l’actrice Debbie Lynch-White a passé un week-end tout en beauté et en musique avec deux de ses idoles, Michel Rivard et Janette Bertrand. C’est dans la grange, le lieu où les personnalités sont invitées à revisiter leur enfance, que celle qu’on a connue dans Unité 9 s’est ouverte en toute sincérité sur la maladie de son père, alors atteint de sclérose en plaques.

« En deux ans, il ne conduisait plus, il était en fauteuil, aux couches. Moi j’étais enfant unique, mes parents étaient divorcés et j’étais comme son seul contact avec la vie extérieure. Je partais de l’école, j’allais faire son épicerie, faire ses comptes à la banque. J’avais 15 ans, c’était bizarre, mais en même temps quand tu es dedans, c’est ça ta réalité, et tu te dis « si je n’y vais pas, mon père mangera pas ». »

Son état se serait aggravé davantage en quelques années.

« Dans ses derniers miles, moi j’étais à Saint-Hyacinthe à l’école de théâtre, c’était ma dernière session. Égoïstement, au début, je me disais « je ne peux pas y aller, je ne peux pas, j’ai assez d’images de merde ». Je ne voulais pas avoir ce souvenir-là. Mais, à un moment donné c’est vraiment spécial, il y a un espèce d’instinct qui embarque. »

Elle se rappelle avoir demandé à son colocataire de l’amener à Montréal, afin de rendre visite à son père une dernière fois. La voix nouée par l’émotion, Debbie relate de cette épreuve qui a tout changé dans sa vie.

« Je suis arrivée, je lui ai dit bye et je lui ai dit « je vais être correcte, inquiète-toi pas, tu as fait ton chemin ». Après ça je suis partie, je suis sortie de l’hôpital et je vais toujours m’en rappeler, j’avais l’impression d’être invincible. Je suis sortie en me disant « je suis prête à tout. Y’a rien qui peut être pire que ça » ».

On ne peut qu’imaginer ce que cette épreuve a signifié pour Debbie Lynch-White, mais on se sent véritablement privilégiés d’avoir pu entendre son témoignage plein de vérité. Pour voir l’intégralité de son passage à La vraie nature, c’est par ici.

Son passage à l’émission a également donné à voir un beau moment, où l’actrice découvrait pour la première fois des images du film La Bolduc, dans lequel elle tient le rôle-titre. Le film sortira en salles au début du mois d’avril, et vous pouvez être certains qu’on y sera, bien campés dans nos sièges, à admirer le talent et la verve de Debbie!

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Debbie Lynch-White à « La vraie nature »

C’est une émission étonnante qui nous attend ce dimanche à La vraie nature.

Cette semaine, c’est Debbie Lynch-White, Michel Rivard et Janette Bertrand qui seront de passage au chalet.

Presque 30 ans séparent chacun des invités, qui s’ancrent tous à leur manière dans leur génération. Celle que l’on pourra voir très bientôt dans le rôle de la Bolduc se confiera entre autres sur son coming-out, et sur les derniers moments passés avec son père, emporté par la sclérose en plaques il y a plusieurs années.

C’est un beau moment auquel on assistera pour la comédienne, qui se retrouvera en sandwiche entre son idole de jeunesse et l’une des femmes les plus inspirantes dans sa vie.

Pour une rare fois, Michel Rivard se confiera sur son enfance et Janette Bertrand partagera son point de vue sur la mort et sur les traces qu’elle désire laisser derrière elle.

Un moment tout à fait privilégié, ce dimanche 21h15 à TVA.

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Debbie Lynch-White partage des photos de son mariage

Debbie Lynch-White a partagé de superbes photographies de son grand jour sur sa page Facebook officielle.

Les photographies sont de Julie Artacho, une photographe reconnue pour son approche féministe et sa promotion de la diversité corporelle qui a travaillé avec plusieurs artistes québécois.

Debbie a écrit un message touchant pour accompagner les photos d’elle et de sa douce.

« Encore sur un nuage d’avoir dit oui à cette femme plus grande que nature que j’aime à l’infini! Je vous partage quelques clichés de cette journée! Je ne vous ai pas oublié et vous souhaite plein d’amour! Du vrai et du beau! <3 Et merci Sonia de chez Anomal Couture qui a su faire ce que j’imaginais comme robe!! »

Crédit photo: Julie Artacho via la page officielle de Debbie Lynch-White

Elles sont vraiment cutes! Et que dire de cette photo où elles s’échangent les anneaux…

Crédit photo: Julie Artacho via la page Facebook de Debbie Lynch-White

Les mariées ont profité de la présence de la photographe pour s’amuser un peu…

Crédit photo: Julie Artacho via la page Facebook de Debbie Lynch-White

Et pour prendre des photos vraiment romantiques…

Crédit photo: Julie Artacho via la page Facebook de Debbie Lynch-White

Le moins qu’on puisse dire, c’est que les photos sont magnifiques et qu’on est émus par l’amour que les mariées se portent. On leur souhaite des années de bonheur, pour le meilleur et pour le pire!

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Debbie Lynch-White plus émouvante que jamais

Debbie Lynch-White a fait une entrevue Face à soi, qui s’inscrit dans le cadre de l’émission Sois, disponible sur Véro.tv de tou.tv EXTRA. Le concept de la capsule est bien différent des interviews traditionnels puisque c’est seule qu’on voit la comédienne qui commente des photos d’elle, retraçant ainsi son parcours depuis la petite école. Si elle rigole en voyant le premier cliché, ce sont plutôt des larmes qu’on voit couler sur ses joues une fois que le dernier s’affiche à l’écran. Voici neuf citations qui en sont extraites et qui vous feront vivre toute une gamme d’émotions.

Sur son entrée à l’école en première année : « J’ai sauté la maternelle parce que j’étais comme un format viking. Mon père m’avait dit quand j’étais adolescente qu’il m’avait fait sauter ma maternelle parce que, à côté des autres enfants, j’avais l’air d’être en quatrième année pis il voulait pas que ça me nuise. »

À propos d’assumer son homosexualité au cégep : « Je le savais au fond de moi. C’était pas clair, mais ça s’est fait beaucoup, beaucoup plus tard. Ça, c’était comme l’époque où j’essayais de m’habiller un petit peu plus comme tout le monde. C’était pas assumé, j’avais pas eu de kick encore non plus sur une fille à cette époque-là, mais ça s’en venait… »

À propos de la première fois qu’elle s’est vue dans Unité 9 : « Je me trouvais méchante, là! J’avais pas idée, en le faisant, que le résultat donnerait ça, que j’allais projeter cette espèce de dark side là. J’étais quand même troublée, mais à la fois très fière. »

Ce à quoi elle pense en revoyant sa première couverture de magazine : « J’haïs cette photo-là. Cette photo-là, c’est rien de ce que je suis. Je sentais qu’il fallait que je réponde à une image, à ce qu’on voit tout le temps dans les magazines. »

Sur les photos d’elle nue pour la revue JEU : « C’était un dossier sur les corps atypiques. Je suis un corps atypique, apparemment, en 2016 au Québec, pis je trouvais ça vraiment important. »

À propos de son bonheur : « Je suis douée pour le bonheur des autres. Mon bonheur passe énormément par le bonheur des autres. J’apprends à jauger ça, d’où apprendre à dire non, mettre des limites, mais c’est de longue haleine comme travail. »

Sur sa mère et l’intimidation dont elle était victime : « Ma mère était plus tough love [que mon père], pis elle l’est encore aujourd’hui. Mettons, je me faisais écoeurer à l’école parce que j’avais les joues rouges, pis là tout le monde m’appelait la grosse tomate. Je revenais, je lui disais et t’sais je pleurais :  »Ils m’ont encore écoeurée », et tout ça… pis ma mère était plus du genre à dire :  Hey, t’aimerais-tu mieux être verte pis avoir l’air malade? C’est beau des joues rouges! En même temps, ils ont tous les deux toujours été très fiers de moi et ils m’ont toujours encouragé. Ma mère me disait tout le temps :  Choisis pas une job pour l’argent, choisis une job qui va faire que tu vas te lever de bonne humeur le matin. »

À propos de son père, aujourd’hui décédé : « Il me manque vraiment beaucoup. Ça fait sept ans qu’il est mort. Il a été diagnostiqué avec la sclérose en plaques, j’avais 14 ans. Fait que je m’en suis occupée pendant 10 ans. C’était une drôle d’adolescence, mais c’était mon adolescence à moi et je l’échangerais contre rien au monde. »

Sur comment elle voit sa vie à 50 ans, elle qui en a aujourd’hui 31 : « Quelqu’un de fripé, mais qui aura eu du fun en cr*ss… pis quelqu’un qui continue d’être fier, qui a pas perdu son coeur d’enfant, qui continue de tout faire avec coeur et de juste être bien, que ça soit pas compliqué pis que ça soit doux. »