Le temps des fêtes ne revêt pas la même signification pour tous, et les niveaux de joie et de célébrations sont souvent variables en fonction de certains facteurs.
Les personnes aux prises avec des difficultés financières, notamment, peuvent ressentir une pression ou une certaine tristesse. The National Library of Medicine s’intéresse également au cas des personnes qui vivent un deuil à l’approche du temps des fêtes, ou qui doivent le revivre chaque année à Noël.
« Les problèmes personnels ne disparaissent pas par magie juste parce que le calendrier passe de novembre à décembre. Les problèmes relationnels, d’emploi, financiers ou de santé peuvent prendre de l’importance durant la période des fêtes supposément “heureuse” », résume Josh Klapow, de l’Université de l’Alabama.
Quelques suggestions sont apportées pour pallier cette situation extrêmement difficile. En voici quelques-unes.
D’abord, on conseille vivement de ne pas se mettre de pression inutile, que ce soit pour recevoir ses proches ou encore pour assister à des soirées auxquelles on n’a pas vraiment envie d’aller. On suggère ensuite d’être en phase avec ses émotions, et de ne pas se « forcer » à être de bonne humeur contre son gré. Il faut également baisser son niveau d’attentes envers le temps des fêtes, ou l’émotion pourrait prendre le dessus.
En terminant, si une personne en deuil ou triste est spirituelle ou trouve sa force dans la foi, on suggère de favoriser les échanges et les contacts avec les personnes qui partagent ce genre de philosophie, au détriment de gens plus sombres et sans croyance qui pourraient contribuer aux idées noires et à la déprime.