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Le décès de son enfant peut être fatal pour la mère

Peu importe l’âge de l’enfant au moment de sa mort, ce pourcentage resterait le même pour les mères. En fait, ce chiffre ne serait pas non plus altéré par le revenu familial, l’éducation de la mère, la taille de la famille ou la cause de la mort de l’enfant.

Des études faites il y a quelque temps au Danemark avaient démontré que les parents, tant les pères que les mères, avaient plus de risques, suivant la mortalité de leur enfant, d’être hospitalisés pour la première fois pour un désordre psychiatrique que les autres parents.

Toutefois, les femmes étaient encore une fois plus susceptibles de se retrouver dans une telle situation que les hommes.

Rappelons que selon une étude publiée dans la revue The Lancet, les deux tiers des 8,8 millions de décès d’enfants de moins de cinq ans sont causés par une maladie infectieuse comme la pneumonie, la diarrhée ou le paludisme.

Cependant, près de la moitié de ces décès se produisent dans les pays en développement.

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Les personnes cardiaques souffrent aussi de stress post-traumatique

Le syndrome du stress post-traumatique (SSPT) est habituellement déclenché après une exposition à un événement traumatisant.
 
« Alors que la plupart d’entre nous pensent au SSPT comme un trouble réservé aux vétérans ou aux survivants de sévices sexuels ou de séisme, il est extrêmement fréquent chez les patients ayant vécu un événement coronaire sévère. Non seulement de tels événements mettent la vie en danger, mais leur impact psychologique peut être dévastateur et durable », explique l’auteur principal de l’étude, le Dr Donald Edmondson, professeur adjoint de médecine comportementale à la Columbia University.
 
Selon le PLoS ONE, les symptômes courants avec un stress post-traumatique vont des cauchemars, de l’évitement des souvenirs de l’événement à une fréquence cardiaque et une pression artérielle plus élevées.
 
Le SSPT double les risques de récidive d’un deuxième événement cardiaque dans les trois ans, chez les personnes qui en ont vécu un premier.
 
Ainsi, le SSPT doit donc être pris en considération lors du suivi médical.
 
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La solitude augmente les risques de décès chez les aînés

Deux études parues dans les Archives of  Internal Medicine, mentionnent que les personnes âgées qui vivent seules ont plus de 40 % de risques de mourir que les autres.

Lors des évaluations de santé des patients de plus de 60 ans, on recommande donc aux médecins de tenir compte de la solitude des personnes afin de mieux détecter le déclin fonctionnel et la perte d’autonomie.

Pendant plus de six ans on a suivi 1604 personnes de plus de 60 ans. 59 % étaient des femmes, 18 % vivaient seules et 43 % disaient se sentir seules.

Dans la première étude, on a d’abord noté une augmentation considérable des risques de mobilité réduite, de déclin fonctionnel et de décès chez les personnes coincées dans la solitude.

Des facteurs qui sont en plus aggravés selon l’intégration sociale, le mode de vie et la santé physique et mentale.

Chez les aînés, donc, la solitude peut être un facteur prédicateur de déclin et de décès.

La deuxième étude, quant à elle, n’a fait que confirmer les premiers résultats.

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Prévenir les accidents autour de la piscine

D’abord, plusieurs accidents et décès sont survenus après que des enfants aient été blessés par le drain de piscines privées ou publiques.

Les enfants peuvent être coincés dans le drain par un membre de leur corps, mais aussi par leur maillot de bain. Cela peut alors entraîner des blessures ou encore la noyade du bambin.

Depuis quelque temps, déjà, un règlement du Pool & Spa Safety Act oblige que le drain des piscines soit couvert par un système anti-coincement.

De plus amples précautions peuvent toutefois être prises.

Si vous possédez une piscine, inspectez souvent votre drain. Aussi, si vous fréquentez une piscine publique ou celle d’un voisin, insistez sur le fait qu’elle se doit d’être règlementaire auprès de son propriétaire. Rappelez-leur même que de garder les drains couverts est la loi.

Cependant, si vous vous trouvez dans une piscine et que ne savez pas si elle a été inspectée, soyez prudents et tenez vos enfants à l’écart des drains, des tuyaux ou autres ouvertures.

Toutefois, ne vous concentrez pas seulement sur les drains de la piscine, mais aussi sur le soleil qu’il fera. Si votre enfant sort de l’eau avec un vêtement mouillé, changez-le. Les vêtements mouillés protègent bien moins du soleil que les vêtements secs.

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Un test sanguin pour prédire les décès post-op

Les chercheurs de l’Université McMaster ont créé un test sanguin qui permettrait d’identifier un risque élevé de mort subite qui pourrait survenir durant le mois suivant une chirurgie cardiaque.

Appelé troponine T, le test évalue un marqueur protéique de lésion du coeur chez les patients que les médecins pourraient devoir mettre sous surveillance intensive.

« Les interventions chirurgicales, quels que soient leurs bénéfices indiscutables, entraînent de nombreuses complications graves et plus d’un million de décès chaque année dans le monde dans les 30 jours qui suivent la chirurgie », peut-on lire dans les résultats de cette étude.

Dix millions d’adultes pourraient profiter de ce test chaque année dans le monde. De quoi rassurer les experts.

Rappelons que deux techniques permettraient aux médecins de détecter des lésions cérébrales lorsqu’ils effectuent des chirurgies cardiaques auprès d’enfants, également.

Il s’agit de l’autorégulation de surveillance, une technique non invasive qui peut déterminer le moment où le flux sanguin vers le cerveau peut être faible, et d’un test sanguin, comme pour les adultes.

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Les ronfleurs ont cinq fois plus de risque de mourir d’un cancer

Les personnes qui ronflent auraient cinq fois plus de risques de mourir d’un cancer, selon une étude parue dans l’American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine.
 
1522 personnes ont été suivies pendant 22 ans par des chercheurs. En plus de noter leurs troubles respiratoires durant leur sommeil, comme les ronflements ou l’apnée, on a tenu compte de certains facteurs comme l’indice de masse corporelle, le tabagisme, l’état de santé général, etc.
 
On constate que les personnes qui ont des troubles respiratoires graves durant leur sommeil ont jusqu’à cinq fois plus de risques de mourir d’un cancer que les personnes qui ont des troubles moins importants ou qui n’en ont tout simplement pas.
 
On croit que c’est en raison du fait qu’avec ces troubles, il y a peu d’oxygène dans le sang, ce qui favorise la croissance des tumeurs.
 
Toutefois, si l’on parvient à atténuer les ronflements, les risques de mourir d’un cancer sont également réduits.

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Les troubles respiratoires du sommeil liés au cancer

Les personnes qui souffrent de troubles respiratoires du sommeil, comme les ronflements ou l’apnée, sont plus à risque de mourir d’un cancer.
 
Selon les données présentées lors de la conférence de l’American Thoracic Society, les troubles respiratoires du sommeil étaient déjà liés à des risques cardiovasculaires et des troubles psychopathologiques, mais c’est la première fois qu’on fait un lien avec les risques accrus de décès par cancer.
 
« De récentes études in vitro et sur l’animal ont montré que des épisodes répétés d’hypoxie ou approvisionnement insuffisant en oxygène sont associés à un développement accéléré du cancer. Nos résultats suggèrent que ces troubles respiratoires du sommeil sont également associés à un risque accru de décès par cancer chez l’homme », explique le Pr F. Javier Nieto, président du Département des Sciences de la santé à l’Université du Wisconsin.
 
L’étude a été faite sur 22 ans. Même en tenant compte de différents facteurs de risques, de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle et du tabagisme, le risque de décès par cancer demeure bel et bien présent.

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De moins en moins de décès maternels

Il s’agit d’une diminution considérable depuis 1990. Cependant, le fait qu’il y a toujours une femme qui meurt des complications liées à sa grossesse toutes les deux minutes fait frissonner, d’autant plus que la plupart de ces mortalités pourraient être évitées, mentionne un rapport intitulé Tendances en matière de mortalité maternelle 1990-2010 qui a été réalisé pour l’Organisation mondiale de la santé, l’UNICEF, le Fonds pour la population et la Banque mondiale.

En effet, selon les dernières statistiques, parmi les 287 000 femmes qui ont perdu la vie durant leur grossesse, au moment d’accoucher ou dans les 42 jours suivant l’accouchement, 99 % d’entre elles vivaient dans un pays en développement.

Les femmes en Afrique subsaharienne se retrouvent en tête du classement avec 56 % des décès. L’Asie du Sud suit avec 29 %, alors l’Inde (19 %) et le Nigeria (14 %) représentent à eux seuls un tiers de la mortalité maternelle, relate Radio-Canada.

Bien que la pauvreté entre en ligne de compte, mentionnons qu’une récente analyse scientifique du Chili a conclu que les femmes qui ont une certaine éducation réduisent leurs risques de mourir pendant la grossesse ou à l’accouchement.

Ces dernières seraient plus portées à se renseigner, à pratiquer de saines habitudes de vie, à accéder à des ressources de santé et à faire affaire avec des médecins ou des sages-femmes reconnus, dévoile la recherche publiée dans la revue PLoS ONE.

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Le café pourrait prolonger la vie

Le New England Journal of Medicine rapporte que les personnes de plus de 50 ans qui consomment trois tasses de café quotidiennement auraient moins de risques de décès.
 
Une étude effectuée auprès de 400 000 personnes de 50 à 71 ans, à partir de 1995 et jusqu’en décembre 2008, démontre que l’espérance de vie serait améliorée avec une consommation quotidienne de café, qu’il soit normal ou décaféiné.
 
On note moins de risques de décès liés aux maladies cardiovasculaires et respiratoires, aux attaques cérébrales, aux blessures, aux accidents, au diabète et aux infections.
 
Par contre, bien que l’on ne note aucune incidence chez les femmes, pour les hommes qui sont de gros consommateurs de café, on dénote une très légère hausse du risque de cancer.
 
Il demeure cependant que le lien possible entre le café et la prolongation de la vie demeure encore très abstrait.
 
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Un simple test de dessin pour mesurer les risques de décès après un AVC

Des chercheurs suédois ont démontré la pertinence d’un simple dessin pour prédire les risques de décès après un accident vasculaire cérébral (AVC).
 
Ce test, nommé Trail Making Test, consiste simplement à tracer une ligne entre des numéros croissants le plus rapidement possible, indique le British Medical Journal Open.
 
Pendant 14 ans, on a suivi 919 hommes âgés. 155 ont eu un AVC, et 84 en sont décédés, dont 22 dans le mois suivant l’AVC.
 
On note que les victimes avaient effectivement obtenu de moins bons résultats au Trail Making Test que leurs congénères qui s’en sont mieux remis.
Ce simple test pourrait donc devenir très utile pour les médecins et le personnel soignant. Il permettrait de mesurer les dommages possibles aux vaisseaux sanguins et donc évaluer la possibilité de décès lié à l’incident.