Peu importe l’âge de l’enfant au moment de sa mort, ce pourcentage resterait le même pour les mères. En fait, ce chiffre ne serait pas non plus altéré par le revenu familial, l’éducation de la mère, la taille de la famille ou la cause de la mort de l’enfant.
Des études faites il y a quelque temps au Danemark avaient démontré que les parents, tant les pères que les mères, avaient plus de risques, suivant la mortalité de leur enfant, d’être hospitalisés pour la première fois pour un désordre psychiatrique que les autres parents.
Toutefois, les femmes étaient encore une fois plus susceptibles de se retrouver dans une telle situation que les hommes.
Rappelons que selon une étude publiée dans la revue The Lancet, les deux tiers des 8,8 millions de décès d’enfants de moins de cinq ans sont causés par une maladie infectieuse comme la pneumonie, la diarrhée ou le paludisme.
Cependant, près de la moitié de ces décès se produisent dans les pays en développement.