Une étude menée sur des femmes londoniennes et publiée dans le journal médical Lancet a révélé que le nombre de décès chez les femmes enceintes avait doublé depuis 2005.
En 2010-2011, presque 20 accouchements sur 100 000 se sont mal terminés pour la mère, tandis que six ans plus tôt, il y en avait mois de 10.
Plusieurs cliniques de maternité s’inquiètent et ne peuvent faire face à ce nombre élevé de naissances risquées.
Aucune autre étude n’est comparable, puisque le Centre for Maternal and Child Enquiries du Royaume-Uni, qui se pencherait normalement sur la question, a dû cesser d’investiguer pour économiser de l’argent.
Les chercheurs ont pointé du doigt l’augmentation des cas d’obésité ainsi que la tendance à reporter la grossesse à un âge plus avancé comme causes de complications des accouchements.
« Deux facteurs sont combinés : les services de maternité sont sous la pression d’un taux d’accouchement de plus en plus élevé et ils doivent s’occuper de plus en plus de femmes avec des accouchements complexes », explique la secrétaire générale du Royal College of Midwives, Cathy Warwick.
Rappelons que le nombre plus élevé de femmes ayant recours à la fertilisation in vitro, qui augmenterait les chances d’avoir des jumeaux ou des triplets, donne cours à plus d’accouchements complexes.
Décès du musicien Greg Ham de Men At Work
Le corps de Greg Ham a été retrouvé sans vie dans sa résidence de Melbourne, en Australie. Il était âgé de 58 ans et vivait seul, selon des voisins.
Ce sont deux amis, inquiets de ne pas avoir de nouvelles de Ham, qui ont fait la macabre découverte, rapportent les policiers de l’État de Victoria. Les officiers n’ont cependant pas révélé les circonstances de la mort de l’artiste.
« Il y a beaucoup d’aspects inexpliqués dans cette affaire, ce qui justifie notre présence ici aujourd’hui. Nous collaborons avec les détectives locaux pour déterminer ce qui est arrivé », a dit le chef détective Shane O’Connell.
Les amis et connaissances du musicien garderont de bons souvenirs de l’homme derrière le célèbre air de la pièce Down Under, l’hymne non officiel des Australiens.
« Quand ils sont revenus (de leur tournée), c’était Greg, généralement, que j’interviewais parce qu’il racontait les meilleures histoires et il était plein d’entrain, énergique, de bonne humeur et débonnaire », explique l’historien du rock australien, Glenn Baker, qui était éditeur du magazine Billboard quand la formation Men At Work faisait le tour du monde.
Décès du musicien Greg Ham de Men At Work
Le corps de Greg Ham a été retrouvé sans vie dans sa résidence de Melbourne, en Australie. Il était âgé de 58 ans et vivait seul, selon des voisins.
Ce sont deux amis, inquiets de ne pas avoir de nouvelles de Ham, qui ont fait la macabre découverte, rapportent les policiers de l’État de Victoria. Les officiers n’ont cependant pas révélé les circonstances de la mort de l’artiste.
« Il y a beaucoup d’aspects inexpliqués dans cette affaire, ce qui justifie notre présence ici aujourd’hui. Nous collaborons avec les détectives locaux pour déterminer ce qui est arrivé », a dit le chef détective Shane O’Connell.
Les amis et connaissances du musicien garderont de bons souvenirs de l’homme derrière le célèbre air de la pièce Down Under, l’hymne non officiel des Australiens.
« Quand ils sont revenus (de leur tournée), c’était Greg, généralement, que j’interviewais parce qu’il racontait les meilleures histoires et il était plein d’entrain, énergique, de bonne humeur et débonnaire », explique l’historien du rock australien, Glenn Baker, qui était éditeur du magazine Billboard quand la formation Men At Work faisait le tour du monde.
La cardiopathie ischémique touche 9,6 % des femmes qui ont accouché à terme d’un enfant de petit poids, soit moins de 5 livres 8 onces, après 37 semaines de gestation, comparativement à 5,7 % chez la mère qui donne la vie à un bébé de poids normal.
Tenant compte de divers facteurs environnementaux (tabagisme, alcool, etc.) et d’antécédents médicaux familiaux, le faible poids du bébé né à terme, qui touche d’ailleurs 10 % des naissances, demeure l’élément indépendant le plus puissant pour un risque de maladie cardiaque chez la femme.
Entre 1999 et 2006, les données de 6600 femmes ont servi aux chercheurs de l’University of Texas Medical Branch à Galveston qui ont publié leurs résultats dans la revue PLoS One en mars.
Il a été noté qu’à long terme, la maladie cardiaque ischémique conduisait généralement à des changements cardio-vasculaires qui augmentent le risque de maladies cardiaques à long terme chez une mère. De plus, le poids du bébé influencerait également le développement de diabète et de problèmes de tension artérielle.
Mentionnons que la maladie cardiaque est la principale cause de décès chez les femmes aux États-Unis (un décès sur trois).
Les spécialistes révèlent que la rareté des enfants touchés par un AVC n’aide pas à identifier totalement les effets négatifs et positifs de la thérapie thrombolytique chez les petits.
Cependant, les résultats d’une étude rétrospective de l’Université de Saint-Louis, partagés lors d’une réunion de l’American Academy of Neurology, tendent à offrir une certaine assurance que cette thérapie est sécuritaire chez les jeunes.
Comme prévu, il a été noté que le taux d’hémorragie intracérébrale était plus élevé chez les patients qui avaient reçu un traitement thrombolytique (4 %) que chez ceux qui n’avaient pas reçu le traitement (0,38 %) à la suite d’un AVC ischémique aigu.
En revanche, le taux d’hémorragie intracérébrale n’était pas plus élevé chez les enfants que chez les adultes ayant eu recours au traitement; ce qui est rassurant pour les chercheurs.
De plus, il semblerait que même si une hémorragie intracérébrale est un facteur prédictif de mortalité hospitalière, l’utilisation du traitement thrombolytique ne cause pas davantage de décès.
Pour en arriver à ces conclusions, 9367 enfants admis pour un AVC ischémique aigu ont été inclus dans la base de données, entre 1998 à 2009.
Maintenant que l’utilisation de ce traitement n’est pas plus dangereuse chez l’enfant que chez l’adulte, d’autres études devront maintenant démontrer que son utilisation chez les jeunes patients améliore également les résultats cliniques.
Une étude a révélé que le type d’aliments donné aux nourrissons semble affecter leur goût futur pour le sodium.
Les chercheurs ont testé la préférence du sel sur 61 bébés quand ils étaient âgés de deux mois. Ils ont découvert qu’à ce moment de leur vie, les petits sont indifférents ou rejettent tout simplement les liquides salés pour boire plutôt de l’eau.
Cependant, une fois âgés de six mois, les 26 enfants qui avaient été introduits à des aliments de table féculents préféraient les liquides salés à l’eau. Les 35 autres bébés qui n’avaient pas mangé de produits salés demeuraient indifférents ou préféraient rejeter les fluides salés.
Les chercheurs sont demeurés en contact avec les parents de ces enfants jusqu’à ce qu’ils atteignent l’âge préscolaire. Des 26 bébés qui préféraient les liquides salés à l’eau, 12 étaient beaucoup plus portés à ajouter du sel de table dans leur assiette et à lécher les aliments salés, quelques années plus tard.
Les scientifiques du Monell Chemical Senses Center à Philadelphie ont confirmé que les fruits n’étaient pas associés au développement du goût accru pour le sel. L’étude a plutôt été portée sur des aliments transformés qui contiennent souvent du sel ajouté, comme les céréales, le pain et les biscuits.
D’après l’étude qui a été publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, la réduction de la consommation de sodium chez les gens pourrait prévenir plus de 100 000 décès par an, et des milliards de dollars en frais médicaux pourraient être économisés aux États-Unis.