La Fédération internationale du diabète, qui représente 160 pays, dévoile des chiffres alarmants sur le diabète.
Présentement, 366 millions de personnes en souffrent dans le monde. Ce nombre inclut autant le diabète de type 1, qui touche particulièrement les enfants et les jeunes adultes, que le diabète de type 2, qui se développe à l’âge adulte et est souvent lié à l’obésité.
Selon l’Organisme, une personne diabétique meurt toutes les sept secondes, et le nombre de personnes touchées par la maladie ne cesse de croître en raison du vieillissement de la population, de sa croissance, mais aussi en raison du fléau de l’obésité.
Selon les données recueillies, il en coûte 465 milliards de dollars au système de santé pour soigner les personnes malades.
Dans les 30 dernières années, le nombre de diabétiques a doublé. Au Canada seulement, on compte 2 millions de malades, dont 9 sur 10 sont atteints du type 2.
On demande aux Nations Unies d’adopter des mesures plus ciblées pour freiner la progression de l’épidémie et d’investir davantage dans la recherche.</pédération internationale du diabète, qui représente 160 pays, dévoile des chiffres alarmants sur le diabète.
Présentement, 366 millions de personnes en souffrent dans le monde. Ce nombre inclut autant le diabète de type 1, qui touche particulièrement les enfants et les jeunes adultes, que le diabète de type 2, qui se développe à l’âge adulte et est souvent lié à l’obésité.
Selon l’Organisme, une personne diabétique meurt toutes les sept secondes, et le nombre de personnes touchées par la maladie ne cesse de croître en raison du vieillissement de la population, de sa croissance, mais aussi en raison du fléau de l’obésité.
Selon les données recueillies, il en coûte 465 milliards de dollars au système de santé pour soigner les personnes malades.
Dans les 30 dernières années, le nombre de diabétiques a doublé. Au Canada seulement, on compte 2 millions de malades, dont 9 sur 10 sont atteints du type 2.
On demande aux Nations Unies d’adopter des mesures plus ciblées pour freiner la progression de l’épidémie et d’investir davantage dans la recherche.
Crédit photo : dream designs / FreeDigitalPhotos.net