Étiquette : décès

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Le lait pour réduire les maladies cardiaques

Selon les chercheurs, le lait et les produits laitiers sont parmi les aliments les plus nutritifs et sains sur le marché. Ils contiennent de nombreux nutriments, dont le calcium, le potassium et des protéines.
 
L’American Journal of Epidemiology rapporte que des chercheurs des universités Harvard et Wageningen ont constaté que boire trois verres de lait diminuait les risques de maladies cardiaques de 18 %.
 
Ils en arrivent à ce constat après avoir analysé 17 études européennes, américaines et japonaises. De plus, on n’a noté aucun lien entre la consommation de produits faibles en gras et un risque accru d’accident vasculaire cérébral ou de mort précoce.
 
On mentionne même qu’un niveau de calcium plus élevé que le taux recommandé réduirait le risque de mortalité par cancer de 25 %.
 
Une autre étude, effectuée en Australie cette fois, affirme que les personnes qui ont consommé des produits laitiers riches en matières grasses ont vu leurs risques de décès d’origine cardiaque être réduits de 69 %.
 
Les chercheurs rappellent que le lait et les produits laitiers ne présentent aucun problème pour la santé, au contraire, mais que maintenir un mode de vie sain demeure tout de même la clé.
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Moins de décès dus aux anomalies cardiaques chez les nouveau-nés

Selon un article paru dans Circulation, les décès causés par les malformations cardiaques congénitales ont baissé de 24 % en une dizaine d’années.

Les avancées technologiques en seraient probablement la cause, de même que les meilleurs diagnostics et traitements qu’elles engendrent.

S’étant étalée de 1999 à 2006 aux États-Unis, cette étude réalisée en collaboration avec les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) offre beaucoup d’espoir aux nouveau-nés aux prises avec ce type de malformations.

Ces anomalies de la structure cardiaque peuvent entraîner de nombreux problèmes de santé. Parmi eux, on compte le haut rythme cardiaque, la haute pression sanguine et la congestion des artères.

D’autre part, il semble que le taux de mortalité lié à ces problèmes soit en baisse depuis déjà de nombreuses années. En effet, une étude précédente parue en 2001 avait relevé une chute de 39 % de 1979 à 1997.

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L’aspirine peut réduire les risques de cancer du côlon

Après avoir analysé quatre essais cliniques qui se sont échelonnés sur 20 ans auprès de 14 000 personnes, les scientifiques mentionnent qu’une petite dose d’aspirine, soit l’équivalent d’un comprimé ordinaire ou allégé pris quotidiennement, réduit les risques de cancer du côlon de 24 % et les risques d’en mourir de 35 %, rapporte The Lancet.
 
Auparavant, des études affirmaient que 500 mg par jour prévenaient la maladie, mais cette dose comportait trop d’effets secondaires. D’ailleurs, ces derniers (saignements et douleurs à l’estomac) demeurent tout de même inquiétants, voilà pourquoi on recommande aux personnes qui ne sont pas à risque d’avoir un cancer du côlon de s’abstenir de prendre de l’aspirine si c’est seulement à titre préventif.
 
Toutes les personnes devraient consulter leur médecin avant de prendre des comprimés d’aspirine quotidiennement, rappellent les experts.
 
Éventuellement, l’aspirine pourrait mener à de nouvelles thérapies, car on croit qu’elle freine la production d’une enzyme liée aux cancers du sein, de l’estomac de l’œsophage et du côlon.
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La thérapie hormonale augmente les risques

La thérapie hormonale proposée aux femmes en ménopause double les risques de cancer du sein et de décès des suites de cette maladie, rapporte le Journal of the American Medical Association.
 
Des chercheurs américains ont analysé les résultats cliniques de 16 608 femmes âgées de 50 à 79 ans. Certaines d’entre elles avaient été traitées avec une combinaison d’œstrogène et de progestatif pendant six ans. Aucune femme n’avait eu d’hystérectomie.
 
Les femmes ayant reçu la thérapie hormonale ont eu deux fois plus de risques (2,6 pour 1 000) d’avoir un cancer du sein que celles ayant pris un placebo (1,3 pour 1 000).
 
De plus, 24 % de celles qui avaient suivi la thérapie ont vu leur tumeur se propager à leurs nodules lymphatiques, alors qu’elles n’étaient que 16 % chez celles ayant pris le placebo.
 
Les risques de décès d’un cancer du sein étaient également plus grands avec la thérapie hormonale.
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Whoopi Goldberg se remet du décès de sa mère

À la suite du décès de sa mère le mois dernier, Whoopi Goldberg a pris le parti de demeurer occupée pour s’en sortir, nous apprend Access Hollywood.

Rappelons que l’actrice avait dû rentrer d’urgence de Londres, où elle jouait le rôle de la mère supérieure dans la comédie musicale Sister Act, qu’elle produisait également.

Elle avait donc arrêté la production et prit le premier vol pour les États-Unis. Elle était allée rejoindre sa mère qui avait eu une attaque et qui est ensuite décédée des suites de celle-ci.

Mercredi (29 septembre), Goldberg a été vue au lancement du site purewow.com, pour lequel elle fait partie des investisseurs. Ce site internet vise les femmes de 35 ans et plus.

L’actrice a confié : « Je suis là, mais c’est difficile ».

La production Sister Act sera présentée sur Broadway dès le printemps 2011. Whoopi Goldberg en est toujours une des productrices, mais ne sait pas, pour le moment, si elle reprendra son rôle sur scène.

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La veuve de Patrick Swayze tente de contacter son fantôme

La veuve de Patrick Swayze, Lisa Niemi, tente désespérément de contacter le fantôme de son mari. Elle lui envoie des messages textes sur son vieux téléphone portable dans l’espoir de recevoir une réponse.
 
Rappelons que Patrick Swayze s’est éteint le 14 septembre 2009 après un dur combat contre un cancer du pancréas.
 
À l’approche de ce triste anniversaire, Lisa Niemi avoue qu’elle continue une vieille tradition qu’elle avait avec son mari, soit de lui envoyer un message texte avant de prendre l’avion.
 
« Je viens d’envoyer ce que j’écrivais toujours : “Je t’aime”. Et puis j’ai pleuré un peu. Je n’ai pas eu de réponse en retour », disait la veuve de l’acteur à People.
 
Malgré le deuil difficile qu’elle a à faire, elle ajoute qu’elle garde un bon espoir quant à l’avenir, même sans l’amour de sa vie. « Je sais qu’il voulait que je sois bien. Je suis plus forte maintenant. Le fait d’avoir eu quelques bons jours me fait espérer d’en avoir plus », conclut Lisa Niemi.
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L’huile de poisson pourrait sauver des milliers de vies chaque année

L’European Journal of Cardiovascular Medicine dévoile une nouvelle étude britannique sur les bienfaits de l’huile de poisson.
 
Les personnes qui souffrent d’insuffisance cardiaque, lorsque le cœur ne bat pas assez, sont moins susceptibles de mourir si elles prennent de l’huile de poisson quotidiennement.
 
7 000 personnes avec insuffisance cardiaque ont participé à cette recherche. Au hasard, on a donné à certaines personnes, en plus de leur médication habituelle, une capsule de 1gramme d’huile de poisson tous les jours. Deux ans plus tard, le taux de mortalité était moins élevé chez les personnes ayant reçu l’huile de poisson. Les hospitalisations étaient également moins nombreuses.
 
On croit que l’huile de poisson aide à réguler le rythme cardiaque et qu’elle a une action anti-inflammatoire qui permettrait de détendre les vaisseaux sanguins.
 
Les chercheurs affirment que si les deux tiers des patients souffrant d’insuffisance cardiaque prenaient de l’huile de poisson, cela permettrait de sauver des milliers de vies. Par exemple, 700 000 personnes sont touchées par la pathologie en Angleterre. Avec les capsules jumelées à leur médication, on pourrait sauver 10 000 vies par année.
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Pauline Lapointe est décédée

La comédienne Pauline Lapointe est décédée des suites d’un cancer du sein, lundi dernier (30 août), à l’hôpital Notre-Dame à Montréal. Elle avait 60 ans.
 
Pauline Lapointe est notamment connue pour ses rôles au cinéma dans La Florida, Cruising Bar et C’t’à ton tour Laura Cadieux. Au petit écran, nous avons pu la voir dans Les Machos, Emma et La promesse. Dans ce dernier téléroman, elle incarnait Fabienne, personnage qu’elle avait d’ailleurs abandonné en 2006 pour des raisons de santé, tout juste avant la deuxième saison. Louison Danis (Les Bougons) l’avait alors remplacée.
 
Née à Chicoutimi en 1950, elle était également la sœur jumelle de la comédienne Louise Portal. D’ailleurs, sur son site officiel, cette dernière se remémore les moments avec sa sœur où elles se déguisaient et présentaient des spectacles sur le toit de leur garage ou à leur école.
 
Dans les dernières années, Pauline Lapointe participait beaucoup à la lutte contre le cancer du sein, notamment en jouant la pièce La mammo… quel scénario! au Théâtre Parminou.
 
La famille invite les gens à faire un don à la Fondation du cancer du sein du Québec en sa mémoire.
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Avandia n’est pas plus dangereux qu’Actos

L’Agence américaine des médicaments (FDA) déclare qu’après avoir fait des examens approfondis, le médicament antidiabétique Avandia n’est pas plus nocif pour la santé que son concurrent, Actos.
 
Dans des études précédentes, on déclarait qu’Avandia provoquait beaucoup plus d’attaques cardiaques et cérébrales ainsi que de décès qu’Actos.
 
En juillet dernier, un comité d’experts de la FDA avait alors demandé une enquête sur le sujet. Près de la moitié des membres du comité réclamaient le retrait complet du médicament sur le marché, alors que d’autres préconisaient seulement une diminution des prescriptions.
 
Voilà toutefois qu’avec la dernière étude du groupe d’assurances médicales WellPoint, qui a examiné les réclamations de 36 000 de ses clients pour les deux médicaments antidiabétiques, on ne note aucune différence notable. Il y a seulement 4 % plus d’attaques cardiaques ou cérébrales ou de décès avec Avandia, ce qui n’est pas assez significatif pour déclarer que le médicament est plus dangereux.
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Les insomniaques meurent plus jeunes

Les personnes qui souffrent d’insomnie chronique augmentent leur risque de mourir prématurément de trois fois.
 
Les chercheurs ont suivi 2 242 résidents du Wisconsin pendant 19 ans. La moyenne d’âge était de 45 ans. La moitié avait également eu un suivi en clinique du sommeil.
 
On note que 128 des participants à l’étude sont décédés au cours de l’étude. En fait, il y a trois fois plus de risques de mourir prématurément lorsque l’on a du mal à s’endormir, à se rendormir et si on se réveille fréquemment durant la nuit ou encore beaucoup trop tôt.
 
L’étude tenait compte des facteurs de risque comme l’âge, l’indice de masse corporelle, la consommation d’alcool, le tabagisme, la dépression ou certaines maladies comme le diabète, l’asthme et l’apnée du sommeil.
 
Il s’agit de résultats préliminaires qui sont encore à l’étude en ce moment par les chercheurs.
 
Rappelons que le sommeil est essentiel au maintien d’une bonne santé.