Étiquette : décès
Le décès de Ronnie James Dio a semé la consternation dans le milieu de la musique heavy metal, alors que les hommages continuent d’affluer. Lars Ulrich de Metallica a même écrit une lettre ouverte à celui qui fut l’une de ses idoles et certainement un artiste important dans l’émergence de ce style parmi ses adeptes.
Le dernier hommage en lice, et non le moindre, est celui annoncé par le Download Festival qui aura lieu au Donington Park dans le Derbyshire, en Angleterre. Les organisateurs ont annoncé leur intention de nommer la seconde scène du festival comme étant la scène Ronnie James Dio.
Cette année, le festival se tiendra du 11 au 13 juin et verra des artistes comme AC/DC, Aerosmith, Rage Against The Machine, Stone Temple Pilots, Megadeath et une trentaine d’autres défiler tour à tour sur l’une des deux scènes.
Gageons que plusieurs artistes de musique metal ne rateront pas l’occasion de rendre eux aussi un hommage à celui qui fut notamment chanteur dans les groupes Rainbow et Black Sabbath, en plus de son groupe à lui, Dio.
Bien que boire de l’eau est excellent pour la santé, cela pourrait aussi devenir votre pire ennemi. Une hyperhydratation peut en effet mener au décès.
Avec trop d’eau, les sels minéraux du corps se diluent. L’eau s’infiltre alors anormalement dans les cellules du système nerveux et entraîne la formation d’un œdème cérébral.
Une grande fatigue, des crampes musculaires, des nausées, une agitation, de la confusion mentale et des convulsions sont des signes avant-coureurs d’une hyperhydratation. Dès les premiers symptômes, vous devez vous rendre chez votre médecin.
Ce phénomène est courant chez les sportifs qui, selon les experts, devraient se limiter à 500 ml d’eau après un effort physique afin de restaurer un niveau d’hydratation convenable.
Il existe deux formes d’hyperhydratation ou hyponatrémie. Premièrement, celle dite isotonique cause de la confusion mentale, de la somnolence, une désorientation et des convulsions. Elle provoque également une prise de poids importante et le cœur, le foie et les reins deviennent dysfonctionnels.
La deuxième forme se nomme déplétion et se caractérise cette fois par une perte de poids, une accélération du rythme cardiaque, des nausées et des vomissements.
Le meilleur remède est de boire moins. L’eau est essentielle, mais en quantité raisonnable.
Selon une étude australienne, chaque heure passée devant le téléviseur augmente de 18 % les risques de décès à la suite d’une maladie cardiovasculaire et de 11% de toutes autres causes.
Les chercheurs se sont penchés sur les habitudes de vie de 3 846 hommes et 4 954 femmes pendant une période de six ans.
On a noté que les personnes qui passaient plus de 4 heures devant l’écran avaient un tour de taille supérieur à ceux qui passaient deux heures et moins devant leur téléviseur. Le taux de cholestérol était aussi plus élevé chez les amateurs de télévision.
Une étude canadienne dévoilée l’année dernière arrivait aux mêmes résultats. En fait, c’est la position assise qui est en cause, car toutes les personnes qui restent longtemps assises pendant plusieurs heures sans bouger sont concernées.
Pour motiver les travailleurs de bureau à bouger plus, on recommande l’achat d’un podomètre afin de faire au moins 10 000 pas par jour, notamment en montant l’escalier, en faisant des détours dans le corridor pour aller à la salle de bain. Ces simples petits changements peuvent avoir des effets très bénéfiques sur la santé.
La contraction musculaire est essentielle au bon fonctionnement de plusieurs mécanismes dans le corps. Il est donc important de bouger autant que possible.
Les décès liés à la prescription abusive d’analgésiques ont presque doublé en 13 ans. Bien que les données recueillies se concentrent surtout en Ontario, on constate que la tendance serait nationale, selon le Journal de l’association médicale canadienne.
On croit que ces médicaments sont sécuritaires, car ils sont prescrits par les médecins. Ils comportent pourtant de graves inconvénients et des risques importants. De plus, lorsque ces somnifères ou analgésiques d’ordonnance sont mélangés avec de l’alcool, les conséquences peuvent être mortelles.
C’est un problème de plus en plus répandu. En Ontario seulement, les décès liés aux abus d’analgésiques sont passés de 14 personnes par million d’habitants en 1991 à 27 personnes par million d’habitants en 2004.
On rapporte que les prescriptions de ce type de médicaments ont grimpé en flèche de 850 % entre 1991 et 2007. Bien qu’ils puissent soulager efficacement des douleurs chroniques, liées à des cancers notamment, ils sont souvent prescrits pour de simples maux de dos ou pour de l’arthrite.
Pour donner une idée de la gravité de la situation, les experts mentionnent que si la grippe A (H1N1) a fait plus de 100 victimes au Canada cette année, les analgésiques ont causé 300 décès seulement en Ontario. La situation est donc fort préoccupante.
