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La télévision augmente les risques de décès

Selon une étude australienne, chaque heure passée devant le téléviseur augmente de 18 % les risques de décès à la suite d’une maladie cardiovasculaire et de 11% de toutes autres causes.

Les chercheurs se sont penchés sur les habitudes de vie de 3 846 hommes et 4 954 femmes pendant une période de six ans.

On a noté que les personnes qui passaient plus de 4 heures devant l’écran avaient un tour de taille supérieur à ceux qui passaient deux heures et moins devant leur téléviseur. Le taux de cholestérol était aussi plus élevé chez les amateurs de télévision.

Une étude canadienne dévoilée l’année dernière arrivait aux mêmes résultats. En fait, c’est la position assise qui est en cause, car toutes les personnes qui restent longtemps assises pendant plusieurs heures sans bouger sont concernées.

Pour motiver les travailleurs de bureau à bouger plus, on recommande l’achat d’un podomètre afin de faire au moins 10 000 pas par jour, notamment en montant l’escalier, en faisant des détours dans le corridor pour aller à la salle de bain. Ces simples petits changements peuvent avoir des effets très bénéfiques sur la santé.

La contraction musculaire est essentielle au bon fonctionnement de plusieurs mécanismes dans le corps. Il est donc important de bouger autant que possible.

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Les analgésiques causent de plus en plus de décès

Les décès liés à la prescription abusive d’analgésiques ont presque doublé en 13 ans. Bien que les données recueillies se concentrent surtout en Ontario, on constate que la tendance serait nationale, selon le Journal de l’association médicale canadienne.

On croit que ces médicaments sont sécuritaires, car ils sont prescrits par les médecins. Ils comportent pourtant de graves inconvénients et des risques importants. De plus, lorsque ces somnifères ou analgésiques d’ordonnance sont mélangés avec de l’alcool, les conséquences peuvent être mortelles.

C’est un problème de plus en plus répandu. En Ontario seulement, les décès liés aux abus d’analgésiques sont passés de 14 personnes par million d’habitants en 1991 à 27 personnes par million d’habitants en 2004.

On rapporte que les prescriptions de ce type de médicaments ont grimpé en flèche de 850 % entre 1991 et 2007. Bien qu’ils puissent soulager efficacement des douleurs chroniques, liées à des cancers notamment, ils sont souvent prescrits pour de simples maux de dos ou pour de l’arthrite.

Pour donner une idée de la gravité de la situation, les experts mentionnent que si la grippe A (H1N1) a fait plus de 100 victimes au Canada cette année, les analgésiques ont causé 300 décès seulement en Ontario. La situation est donc fort préoccupante.

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Décès de Pierre Falardeau

Le père d’Elvis Gratton, Pierre Falardeau, est décédé vendredi soir à l’Hôpital Notre-Dame de Montréal.

Cinéaste, écrivain et polémiste, Falardeau laisse dans le deuil sa conjointe et ses trois enfants.

Farouche indépendantiste, les prises de position mordantes du cinéaste auront marqué sa vie. Dès 1971 pour son premier court métrage, Continuons le combat, Falardeau évoquait l’identité politique des Québécois.

C’est toutefois en 1981 avec Elvis Gratton que Falardeau connut son premier grand succès. Le personnage principal, interprété par son bon ami Julien Poulin, mettait en vedette un fédéraliste grossier et malhabile. Ce film s’est élevé au niveau de culte au Québec, faisant les frais de quelques suites et d’une série télévisée.

En plus de connaître le succès au cinéma, Pierre Falardeau a su tirer son épingle du jeu avec sa plume. Le polémiste a écrit de nombreux livres, dont son plus récent, Il n’y a rien de plus précieux que la liberté et l’indépendance, paru cette année.

Pierre Falardeau rédigeait également un blogue. C’était pour lui encore l’occasion d’y aller de quelques coups de gueule. On peut y lire en présentation : « Je suis un homme d’un autre siècle. Je chauffe au bois. Je n’ai pas d’ordinateur. J’écris à la main, avec un crayon à mine ou une plume. En art, je crois à la simplicité. Je chasse à l’arc. Je me bats pour la liberté, la liberté sous toutes ses formes, la mienne, celle de mon peuple, celles de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré. »

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L’intolérance au gluten est sous-estimée

Des chercheurs suédois mentionnent que la maladie coeliaque, liée à l’intolérance au gluten, serait sous-estimée, car dans les dernières années, les risques de décès sont légèrement à la hausse.

Le gluten est une protéine que l’on retrouve dans les produits céréaliers comme le blé, l’orge ou l’avoine. Ces derniers sont à la base de notre alimentation quotidienne puisqu’on les retrouve dans le pain, les biscuits, la farine et les gâteaux notamment.

Cette maladie auto-immune est particulièrement difficile à déceler et affecte surtout l’intestin grêle. On estime que 1 % de la population occidentale en est atteinte. 

Les personnes souffrant de cette maladie sont plus sujettes aux affections qui s’attaquent au système immunitaire, comme le diabète. Malheureusement, lorsque la maladie est diagnostiquée, cela signifie qu’on est arrivé à un stade de graves complications.

Le Journal of the American Medical Association rappelle qu’il est donc important de déceler la maladie rapidement.

Parmi les symptômes, on retrouve de l’anémie, de la diarrhée chronique, de la perte de poids, de la fatigue, de l’irritabilité, des crampes et des ballonnements. Parfois, certaines personnes rapportent des sensations de brûlure, des démangeaisons et des éruptions cutanées.

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La circonférence des cuisses et le risque cardiaque

Une étude menée par le Dr Berit Heitmann et ses collègues démontre l’association entre la circonférence des jambes et le risque de maladies cardiovasculaires.

Lors des travaux menés auprès de 1 436 hommes et 1 380 femmes pendant plus de 12 ans, 400 d’entre eux sont morts et 540 autres ont souffert de maladies coronariennes.

Pour les scientifiques danois, la cuisse fine est synonyme d’un risque trois fois plus élevé de mort prématurée et du double pour celui des maladies cardiaques.

Avec cette découverte, publiée dans le British Medical Journal, la minceur pourrait devenir un facteur de risque lié aux maladies cardiovasculaires, tout comme le surplus de poids peut l’être, croient les auteurs de cette recherche.

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Lien entre l’apnée du sommeil et la mortalité

Une étude menée par le Dr Naresh Punjabi, de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, démontre que les personnes qui souffrent d’apnée du sommeil sévère sont 46 % plus à risque de décéder que les sujets qui ne sont pas atteints de ce trouble du sommeil.

Pendant 8 ans, M. Punjabi et ses collègues ont travaillé avec plus de 6 400 adultes et concluent qu’un stade sévère d’apnée du sommeil est associé à un risque accru de mortalité de toutes sortes, peu importe l’âge, le sexe, le poids et le tabagisme chez les participants.

Pour le chercheur David Rapoport, qui a aussi travaillé à cette étude, les patients qui souffrent de ce trouble du sommeil devraient envisager de perdre du poids et aussi de dormir avec un appareil qui permet de combler les manques d’oxygène durant le sommeil.

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Oui au chocolat après un infarctus!

Une recherche publiée dans le Journal of Internal Medicine nous apprend que le chocolat, à raison de plus de deux fois par semaine, fait diminuer d’environ 33 % le risque de mortalité cardiaque à la suite d’un premier infarctus.

Pendant huit ans, le Dr Imre Janszky et son équipe, de l’Institut Karolinska en Suède, ont surveillé le risque de mortalité cardiaque auprès de 1 169 adultes âgés entre 45 à 70 ans et ayant déjà fait un infarctus.
 
Selon les chercheurs, la diminution du risque de décès chez les patients est attribuée aux flavonoïdes, des antioxydants que l’on retrouve dans les fèves de cacao, particulièrement dans le chocolat noir.
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La sieste et le taux de mortalité

Une recherche, dont les résultats sont publiés dans le Journal of the American Geriatrics Society, nous apprend que les femmes âgées de 69 ans et plus qui font une sieste au cours de la journée sont plus à risque de mourir que les autres.

Ces résultats, basés sur des travaux après de 8 000 femmes, démontrent que le taux de mortalité général a augmenté de 44 % quand les participantes dormaient plus de trois heures dans la journée.

Les chercheurs du California Pacific Medical Center Research Institute ont également découvert que le taux de décès augmentait si les sujets avaient cumulé de neuf à dix heures de sommeil pendant la nuit, comparativement à ceux qui dormaient de sept à huit heures quotidiennement.

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Les effets du Super Bowl sur le coeur

Une équipe de chercheurs de la Faculté de médecine de l’University of Southern California, à Los Angeles, affirment que l’issue d’un match de football de la NFL augmente l’incidence de crise cardiaque.

Les scientifiques se sont basés sur deux Super Bowl, 1980 et 1984, dont la rivalité semblait importante. Ensuite, ils ont mesuré le taux de mortalité deux semaines après les évènements sportifs.

Selon l’un des auteurs, le Dr Robert Kloner, les sportifs de salon qui sont à risque de maladies cardiovasculaires devraient consulter un professionnel de la santé. « Des médicaments, tels que les bêta-bloquants, l’aspirine ou des anxiolytiques, peuvent aider, de même que des exercices de respiration. Mais le mieux demeure de contrôler l’hypertension, le taux de cholestérol, le diabète et de cesser de fumer », laisse entendre le Dr Kloner.

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Une étude sur le diabète suspendue

Devant un nombre inattendu de décès parmi les patients diabétiques, une étude, financée et dirigée par le National Heart, Lung and Blood Institute des États-Unis, a dû être momentanément interrompue, le temps que l’équipe de chercheurs trouve une explication à cette cause.

Cette recherche visait à ramener le taux de sucre dans le sang à un niveau prédiabétique chez un groupe test donné. Un autre groupe test n’était soumis qu’à un contrôle normal du niveau d’insuline.

Il semble que ce traitement augmenterait les risques de souffrir de maladies cardiovasculaires chez le premier groupe. Les chercheurs ont donc choisi de ne pas mettre délibérément leur vie en danger. « Une révision exhaustive des données démontre que la stratégie de traitement médical visant à réduire intensivement le taux de sucre dans le sang sous les recommandations cliniques actuelles est dangereuse pour ces patients à haut risque touchés par le diabète de type 2 », a mentionné Elizabeth Nabel, la directrice de l’institut.

Depuis 2001, 10 251 diabétiques, dont 1 500 Canadiens, ont participé à cette recherche.