Catégories
Uncategorized

Le poids avant le taux de cholestérol

Selon un sondage mené par Léger Marketing pour le compte de la Fédération des femmes médecins du Canada (FFMC), 5 % des femmes de plus de 40 ans interrogées ont affirmé qu’elles se préoccupaient de leur taux de cholestérol. Ironiquement, 46 % d’entre elles avouent plutôt se soucier des kilos en trop.

Une femme sur dix connaissait son taux de mauvais cholestérol, tandis que 64 % se souvenaient encore de leur poids lorsqu’elles fréquentaient l’école secondaire.

« L’enquête révèle que les Canadiennes reconnaissent l’importance de maintenir un faible taux de cholestérol, mais que nombre d’entre elles négligent de le faire mesurer régulièrement. Pour prévenir les maladies du coeur, il faut d’abord bien connaître ses facteurs de risque, y compris son taux de cholestérol », a souligné la Dre Sofia Shames, résidente en cardiologie et membre de la FFMC.

Cette tendance à sous-estimer le lien entre le taux de cholestérol et les maladies cardiovasculaires inquiète beaucoup la Dre Shames, qui conclut : « L’enquête montre bien que les Canadiennes doivent commencer à se sentir personnellement interpellées par la maladie cardiaque. »

Catégories
Uncategorized

Aucun lien entre la césarienne et la mortalité

Contrairement à ce que les récentes recherches laissent entrevoir, le risque de mort à la naissance lors du deuxième accouchement n’augmente pas lorsque le premier bébé est né par césarienne, selon un chercheur canadien.

« Nos résultats ne démontrent pas un lien entre la césarienne et les morts à la naissance. Bien que plusieurs études affirment le contraire, nous ne pensons pas que ce type d’accouchement provoque la mort du nourrisson », a observé le Dr Stephen L. Wood, qui se veut tout de même prudent en recommandant que d’autres études soient mises en branle afin de déterminer plus précisément les causes de mortalité à la naissance.

Alors que ce taux ne cesse d’augmenter en Amérique du Nord, plusieurs membres de la communauté scientifique croient que c’est l’accouchement par césarienne qui est en cause.

Catégories
Uncategorized

Le taux de mortalité associé à l’insuffisance cardiaque

Selon une recherche publiée dans l’American Heart Journal, les patients chez qui on diagnostique une insuffisance cardiaque congestive ne peuvent s’attendre à vivre bien longtemps.

Le Dr Dennis Ko et son équipe estiment que ces personnes vivent en moyenne 2,4 années suivant le diagnostic.

Cette découverte, qui quantifie pour la première fois le taux de mortalité associé à la maladie, permettra aux professionnels de la santé d’évaluer, avec leurs patients cardiaques, les diverves options comme la chirurgie ou les soins palliatifs.

L’insuffisance cardiaque se caractérise par l’incapacité du coeur à fournir un débit sanguin suffisant pour combler les besoins de l’organisme. Elle s’accompagne d’oedèmes aux poumons et aux membres inférieurs et d’une rétention anormale de sodium et d’eau.

Catégories
Uncategorized

La démence entraîne la mort

Selon une étude publiée dans le British Medical Journal, l’espérance de vie chez les personnes atteintes de démence est de quatre ans et demi.

Certains facteurs comme l’âge, le sexe et la condition de santé peuvent toutefois influencer légèrement l’espérance de vie.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de 13 000 personnes âgées de plus de 65 ans entre 1991 et 2005.

Parmi l’échantillon, 438 participants ont reçu un diagnostic de démence et 356 en sont décédés, ce qui représente 81 % des candidats aux prises avec cette altération organique des cellules cérébrales.

Il semble que plus le diagnostic de démence est tardif, plus l’espérance de vie diminue. Les participants âgés de 65 à 69 ans ont survécu 10,7 ans, comparativement à 3,8 années pour ceux de 90 ans et plus.

La démence touche de plus en plus les personnes âgées. On estime que 81 millions de personnes à l’échelle mondiale en seront atteintes d’ici 2040.

Catégories
Uncategorized

Baisse de la mortalité infantile attribuable au cancer

Les autorités américaines ont dévoilé une statistique encourageante en ce qui concerne le taux de mortalité chez les jeunes touchés par le cancer. Ce taux a baissé de 20 % entre 1990 et 2004 et pourrait s’expliquer par de meilleurs traitements contre la leucémie et les autres formes de cancer.

En 1990, 34,2 petits Américains sur un million perdaient la bataille contre la maladie, alors qu’en 2004, c’était 27,3 cancéreux sur un million qui mouraient. Chaque année, le pourcentage du taux de mortalité baissait donc de 1,7 %.

« Malheureusement, il y a autant de diagnostics de cancer posés auprès de la jeune population. Mais c’est une donnée encourageante que de savoir que le taux de survie augmente », note la docteure Lori Pollack des Centers for Disease Control and Prevention.

D’autres statistiques démontrent également des différences régionales ainsi que le taux de mortalité plus élevé chez les garçons que chez les filles.

Aux États-Unis, les causes principales de décès infantile sont les accidents, les homicides et le suicide.

Catégories
Uncategorized

L’importance du sommeil

Selon une étude britannique, les chercheurs pensent qu’un manque de sommeil serait lié à un risque plus élevé de haute pression sanguine, et donc de maladies cardio-vasculaires.

Une analyse de 17 ans sur les habitudes de sommeil de plus de 10 000 employés gouvernementaux a permis aux chercheurs d’observer que ceux ayant en moyenne moins de cinq heures de sommeil par nuit avait 1,7 fois plus de chance de décéder de quelque façon que ce soit, et plus encore de décéder de problèmes cardiaques.

Selon Francesco Cappuccio, professeur de cardiologie à l’École médicale de l’Université de Warwick, la pression sociale qui pousse les gens à en faire plus chaque jour ne serait pas étrangère au manque de sommeil chez la plupart des gens.