Hier soir, alors que les Oilers d’Edmonton affrontaient les Kings de Los Angeles dans le cadre du troisième match de la série les opposant, une controverse majeure s’est produite en prolongation.
Alors que le match se déroulait à vive allure et que le pointage était de 2 à 2 après les trois engagements, les deux équipes se sont retrouvés en surtemps.
Malheureusement pour les Oilers, dès le début de la prolongation, l’attaquant, Ryan Nugent-Hopkins, a écopé d’une pénalité mineure de deux minutes pour avoir asséné un coup de bâton au joueur des Kings, Alex Iafallo.
Dès lors, Trevor Moore a profité de la situation pour battre le gardien des Oilers, Stuart Skinner, et permettre à son équipe de prendre les devants 2 à 1 dans la série.
Néanmoins, quelques instants avant que la rondelle ne franchisse la ligne rouge, l’attaquant des Kings, Gabe Vilardi, qui était dans le coin de la patinoire, à ce moment, a touché au disque plus haut que la hauteur permise.
Du moins, c’est ce que tout le monde croyait…
Malgré tout, le jeu s’est poursuivi et quelques secondes plus tard, Moore a compté.
Les officiels ont donc décidé de revoir la séquence et malgré une évidence, la ligue a déterminé qu’il n’y avait aucun angle de caméra pouvant démontré que Vilardi avait définitivement touché la rondelle.
Évidemment, la décision de la LNH a été sévèrement remise en question, alors que certains affirmaient que la reprise au ralenti démontrait clairement que la rondelle avait touché au bâton du joueur des Kings.
D’ailleurs, voici la séquence avec un plan rapproché. Vous pourrez donc vous faire votre propre idée sur la décision rendue.
Bref, peu importe la décision rendue, cette dernière ne changera pas et les Kings ont officiellement les devants dans cette série 4 de 7. Les Oilers seront-ils en mesure de se relever de cette controverse et d’égaliser la série lors du match #4?
Jeudi soir, Toronto est arrivé en force lors du deuxième match de la série contre le Lightning après s’être fait écraser à domicile pour amorcer le tournoi printanier.
Alors que Auston Matthews et compagnie menait 6 à 1 à la fin de la deuxième période, Jon Cooper contemplait l’idée d’effectuer un changement de gardien. Il a donc partagé sa décision à Andrei Vasilevskiy, mais celui-ci ne voulait rien savoir :
« Je l’ai fait mais il a rapidement refusé. C’est pourquoi il est le meilleur au monde. Il ne sort pas du match, donc levez votre chapeau pour ce kid »
Jon Cooper
Le gardien a laissé rentrer un but sur huit lancers pour terminer la rencontre, et ses adversaires ont remporté le tout par la marque de 7 à 2.
C’était seulement la deuxième fois que la vedette masquée accordait 7 buts en un match. Il en a alloué autant lors de la finale face à l’Avalanche l’an dernier.
Les deux rivaux se dirigent maintenant en Floride, où les Leafs chercheront à continuer sur leur lancée et le Lightning tentera de se rattraper pour sa médiocre performance.
Après une saison absolument catastrophique à Calgary qui a vu les Flames rater les séries éliminatoires, on a annoncé que le DG de l’équipe, Brad Treliving ne serait pas de retour la saison prochaine.
Plusieurs se demandaient également si l’entraîneur-chef, Darry Sutter, écoperait lui aussi après avoir été impliqué dans plusieurs controverses, notamment celle impliquant le jeune attaquant Québecois Jakob Pelletier.
Mais selon ce que rapportent deux sources particulièrement crédibles, soit Elliotte Friedman de Sportsnet et Frank Seravalli de Daily Faceoff, tout indique que Sutter sera bel et bien de retour derrière le banc de l’équipe la saison prochaine et ce, même s’il semble avoir complètement avoir éteint la production offensive des deux joueurs étoiles Jonathan Huberdeau et Nazem Kadri depuis leur arrivée à Calgary.
Il faut dire qu’en plus d’avoir remporté le trophée Jack Adams, remis à l’entraîneur-chef de l’année, il y a un an, la direction de l’équipe lui avait offert une prolongation de contrat de 2 ans. Il serait donc surprenant qu’on le congédie immédiatement après une mauvaise saison et on tentera plutôt de trouver des solutions à l’interne pour relancer l’équipe.
Le prochain repêchage de la LNH se déroulera les 28 et 29 juin 2023 à Nashville.
Actuellement, le Canadien est l’un des clubs qui ont le plus de chance de mettre la main sur le phénomène Connor Bedard.
Si le Tricolore ne remporte par la loterie, il y aura tout de même d’excellents joueurs disponibles lors des positions 5 à 7.
La cuvée 2023 regorge de joueurs avec un grand potentiel.
David Ettedgui vient toutefois mentionner quelque chose d’intéressant.
Voici ce qu’il a écrit sur Facebook :
« Les amis, une solide info, prenez note, le CH a ce défenseur dans leurs mire, ne soyez pas surpris si c est lui l élu au cas ou le Canadiens repêche au 6 ieme ou 7 ieme rang lors du prochain repêchage a Nashville. Un futur prodige de 6.2 190 lbs à la défense du coté droit…. L’Autrichien qui joue en Suisse… David Reinbacher. »
– David Ettedgui
Sans rien enlever au talent de David Reinbacher, je dois avouer que je suis légèrement surpris par cette déclaration.
Né en Autriche, Reinbacher est défenseur de 6’2 187 lb qui est capable de bien contrôler le jeu.
Cependant, je m’expliquerais mal cette décision en considérant que le Tricolore a déjà un surplus de jeunes défenseurs et des espoirs tels que Logan Mailloux, Lane Hutson et Adam Engstrom.
La profondeur est un peu large du côté droit, mais tout de même, je comprendrais mal pourquoi Hughes tournerait le dos à un William Smith ou Zach Benson.
Disons qu’a bien hâte de voir la suite des choses !
Cette saison, les Bruins de Boston ont pulvérisé un vieux record du Canadien de Montréal avec une récolte de 65-12-5 pour un total de 135 points en 82 rencontres, le plus haut total de points jamais récolté auparavant dans la LNH.
Depuis 2011, les Bruins totalisent une Coupe Stanley ainsi que 2 autres présences en grande finale.
Il y a quelque chose de frappant lorsqu’on compare les rivaux de Boston et de Montréal : deux clubs qui trouvaient chacun leur joueur de concession au début des années 2000, mais des chemins qui sont ensuite devenus bien différents.
Le 22 juin 2003 à Nashville, Mike O’Connell frappait un coup de circuit énorme en sélectionnant le jeune Patrice Bergeron au 45e rang.
NHL.com
La saison précédente, Boston s’était qualifié de justesse pour les séries éliminatoires, tout juste devant Montréal qui affichait quelques points en moins.
Au terme de la saison, Bob Gainey arrivait en poste comme DG du Tricolore, succédant à André Savard.
Toujours au repêchage de 2003, il avait tourné son choix vers Andrei Kostitsyn au 10e rang.
En 2005, c’était au tour du Canadien de trouver son joueur de franchise en sélectionnant Carey Price au 5e rang.
Dès sa saison recrue, le portier est tout simplement fumant, amenant son club au sommet de l’Est avec 104 points en 82 matchs.
En 2006, Boston frappe fort au repêchage en tournant ses choix notamment vers Phil Kessel, Milan Lucic et un certain Brad Marchand. De l’autre côté, Montréal fait un repêchage épouvantable, sélectionnant David Fischer au premier tour.
L’année suivante, en 2007, les deux clubs inversent les rôles alors que Ryan McDonagh, Max Pacioretty et PK Subban s’amènent dans la belle province. De l’autre côté, la cuvée 2007 des Bruins est horrible et ils sélectionnent Zach Hamill au 8e rang.
Là où les choses deviennent particulièrement intéressantes, c’est qu’une personne en particulier est venue faire une différence énorme entre le destin des deux clubs : Jeff Gorton.
Alors que Mike O’Connell s’était fait montrer la porte, Gorton s’était vu confier les reines du club en attendant la nomination de Peter Chiarelli.
C’est lui qui avait fait tout le travail pour amener Zdeno Chara et Marc Savard chez les Bruins, eux qui étaient agents libres.
En analysant la suite, on réalise plusieurs facteurs intéressants et je pense que l’organisation montréalaise se doit absolument de regarder vers le passé pour mieux bâtir vers l’avenir.
Je pense qu’on peut s’entendre en disant qu’autant Price que Bergeron ont tenu leur club sur les épaules.
Toutefois, les Bruins sont parvenus à trouver d’autres joueurs qui ont le logo de l’équipe tatoué sur le cœur, notamment Brad Marchand et Zdeno Chara, qui est demeuré pendant très longtemps avec l’organisation.
Le Canadien était parvenu à trouver ses deux piliers en Brendan Gallagher et Andrei Markov. Toutefois, le premier n’a encore que 30 ans et peine à suivre le rythme tandis que le second a été traité de façon douteuse par l’organisation.
Pendant que Tyler Seguin, Dougie Hamilton, David Pastrnak, Jake DeBrusk et Charlie McAvoy s’amenaient à Boston, Montréal multipliait les échecs aux repêchages, parvenant tout de même à soutirer Brendan Gallagher, Alex Galchenyuk, Artturi Lehkonen et Mikhail Sergachev de 2010 à 2016.
Une différence énorme, mais surtout, une erreur énorme de Marc Bergevin d’avoir ensuite échangé Sergachev au Lightning.
Il y a donc deux choses importantes qui expliquent notamment pourquoi les Bruins sont demeurés compétitifs pendant si longtemps alors que le Canadien est en plein virage jeunesse :
– Ne pas avoir été capable de conserver les joueurs en leur donnant l’ADN du club – Multiplier les échecs pendant 6 années consécutives au repêchage
Autre remarque frappante :
De l’édition 2010-11 du Canadien, un seul joueur est encore actif dans la LNH en Lars Eller alors que Carey Price et Max Pacioretty risquent de ne jamais revenir.
De l’édition 2010-11 des Bruins, six joueurs sont encore actifs dans la LNH et trois évoluent encore sous les couleurs des Bruins : David Krejci, Patrice Bergeron et Brad Marchand (ainsi que Milan Lucic, Blake Wheeler et Tyler Seguin).
Si vous pensez que c’est parce que le Canadien avait un club beaucoup plus vieux, c’est faux. La moyenne d’âge était similaire et les deux misaient sur 10 joueurs de 30 ans ou plus.
En espérant que la suite tournera à l’avantage du Tricolore !
NHL Canadien de Montréal / Montage par Cimon Asselin
Au moment du repêchage 2022 de la LNH, plusieurs recruteurs savaient que Lane Hutson était talentueux.
Cependant, sa grandeur faisait hésiter de nombreux experts et il a finalement chuté jusqu’au 62e rang pour ensuite être sélectionné par le Canadien de Montréal.
La décision d’ignorer Hutson commence déjà à venir hanter certains clubs. En plus d’avoir grandi, l’arrière a été tout simplement hallucinant dans la NCAA avec l’Université de Boston.
Avec 15 buts ainsi que 48 points en seulement 38 rencontres, le natif d’Holland a même connu une meilleure saison que celle du grand Brian Leetch en 1986-87, qui avait récolté 47 points en 37 matchs.
Lane Hutson était parmi les 10 derniers candidats pour la lutte au prestigieux trophée Hobey Baker, au meilleur joueur du championnat universitaire masculin de la NCAA.
Le réputé Elliotte Friedman vient tout juste de confirmer une nouvelle importante concernant Hutson alors qu’il a officialisé qu’il va continuer ses études l’an prochain donc il retournera porter les couleurs de l’Université de Boston.
Il faudra donc faire preuve de patience avant de voir le jeune défenseur s’amener de façon définitive à Montréal.
Après leur belle victoire de 4 à 3 en tirs de barrage hier face aux Sabres à Buffalo, les joueurs du Canadien sont aujourd’hui à Philadelphie où ils y affronteront les Flyers ce soir.
Évidemment, il n’y avait pas d’entraînement matinal prévu ce matin et seulement les joueurs en extra ont patiné.
L’entraîneur-chef Martin St. Louis a répondu aux questions des journalistes en point de presse et en a profité pour annoncer sa décision concernant les débuts du jeune attaquant Sean Farrell qui a signé son contrat d’entrée avec l’équipe ce weekend.
C’est finalement ce soir qu’il disputera son premier match dans la LNH. Au moment d’écrire ces lignes, on ignore sur quel trio il évoluera.
On peut se demander si son entrée dans l’alignement sans avoir participé à un entraînement avec l’équipe pourrait coïncider avec une blessure de Kirby Dach?
Après une défaite de 5 à 2 jeudi dernier face aux Panthers de la Floride, les joueurs du Canadien sont une fois de plus au Centre Bell ce soir, où ils y affronteront les puissants Hurricanes de la Caroline.
Pour l’occasion, l’entraîneur-chef, Martin St. Louis, a tenu une séance d’entraînement facultative, ce matin, à laquelle 10 attaquants, 4 défenseurs et 2 gardiens ont participé.
Cependant, après la pratique, nous avons appris que Raphaël Harvey-Pinard n’allait pas disputer la rencontre de ce soir pour soigner certains petits bobos.
C’est donc dire que l’attaquant, Joel Armia, fera un retour dans la formation contre les Hurricanes.
L’entraîneur-chef a également confirmé que le défenseur, David Savard, ne jouera pas ce soir en raison d’une blessure au bas du corps.
C’est Samuel Montembeault qui obtiendra le départ.
Angelina Jolie révèle qu’elle n’a aucunement l’intention de cuisiner au cours de la période des fêtes et pour la fête de Noël, rapporte People.
Ce n’est pas que l’actrice soit trop occupée pour enfourner une dinde, bien que ce soit probablement le cas, mais la décision d’Angelina Jolie serait plutôt pour le bien commun de sa famille.
« Je ne cuisinerai pas, au bénéfice de tout le monde. », lance en souriant Angelina Jolie lorsque questionnée sur ses plans en vue du temps des fêtes.
Les talents culinaires de Jolie ont été la cible de blagues auparavant de la part de Brad Pitt, et il semble que ce soit plutôt l’un des enfants du couple qui envisage de mettre la main à la pâte.
« Pax adore cuisiner », lance la star de Salt au magazine People.
L’actrice et réalisatrice souhaiterait cependant apprendre à cuisiner, ce que Brad Pitt considérerait comme une « perte de temps ».
Angelina Jolie admet que toute la famille est soulagée par sa décision.
Une récente étude publiée dans PLoS One et rapportée par techtimes.com explique les tests effectués auprès de participants affamés et d’autres ayant le ventre plein.
Denise de Ridder et son équipe, des scientifiques de la Hollande, ont fait passer trois séries de tests à deux groupes d’étudiants qui se sont portés volontaires.
Le premier groupe devait avoir jeûné un minimum de 10 heures, et le second groupe avait eu un copieux petit-déjeuner.
Les deux premiers tests étaient reliés au test psychologique IGT (Iowa Gambling Task) qui stimulait la prise de décisions complexes que l’on retrouve dans la réalité du quotidien. Ces décisions étaient associées à un risque et à des récompenses.
Le dernier test comportait 27 questions. Les participants devaient choisir entre un montant d’argent moindre, mais immédiat, ou substantiel, mais futur.
Au terme de ces trois expériences, ce fut toujours le groupe des « affamés » qui prenait les meilleures décisions, à la grande surprise de tous.
Les scientifiques ont donc conclu qu’il était vrai qu’un état « basé sur la notion que l’intuition et des émotions améliore certaines catégories de décisions », et ce, sans même faire des choix qui comportent plus de risques.
