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Martin St. Louis s’est fait demander si la loterie Connor Bedard a influencé ses décisions lors du match d’hier

Le Canadien de Montréal recevait la visite des puissants Bruins de Boston lors du 82e et dernier match de la saison 2022-23 hier soir.

Même s’ils se sont inclinés par la marque de 5 à 4, les joueurs du CH ont bataillé ardamment et donné un excellent spectacle aux partisans de l’équipe.

On connait donc maintenant la position finale du Canadien au classement général de la LNH ainsi que ses chances lors du tirage de la loterie du repêchage dans le but de mettre la main sur le phénomène Connor Bedard.

Tel que nous vous le rapportions au cours des derniers jours, une victoir du Canadien hier aurait eu un impact direct sur la loterie alors qu’il aurait terminé au 27e rang total au lieu du 28e rang. Ce petit changement au classement aurait fait en sorte que les chances du CH de mettre la main sur un choix Top-5 auraient passé de 41.8% à 15.4%, soit une énorme différence de 26.4%.

D’ailleurs, lors du point de presse d’après-match, un journaliste a posé la question à l’entraîneur-chef Martin St. Louis à savoir s’il avait pensé à ne pas retirer son gardien en fin de match, sachant l’impact potentiel que cela pourrait avoir sur les chances de l’équipe lors de la loterie.

La réponse de St. Louis était sans équivoque.

« Non. Nous jouons pour gagner. Quand tu fais les choses de la bonne façon, la chance fini par te revenir au final. On s’est battu jusqu’à la fin et nous avons tenté de remporter le match. Ça n’a même pas effleuré mon esprit une seconde. »

– Martin St. Louis

Heureusement, au final c’est le meilleur des scénarios qui s’est produit et le Canadien n’a pas récolté de points inutiles au classement qui lui auraient potentiellement coûté de précieux rangs au repêchage annuel.

Voyez au bas le point de presse dans son intégralité.

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Musique

René Angélil : les grandes décisions

René Angélil aura réussi un véritable tour de force en propulsant la « petite fille de Charlemagne », Céline Dion, au firmament des superstars de la musique, avec plusieurs décisions éclairées. En voici quelques-unes.

Le Québec et le pape

René Angélil découvre Céline Dion grâce à la mère de cette dernière, en 1981. Affirmant « se donner cinq ans pour en faire une star », René Angélil ne perd pas de temps. Un premier album francophone est lancé sur le marché québécois, puis Céline chante coup sur coup pour Michel Drucker (1983) et le pape Jean-Paul II (1984).

Incognito et Eurovision

Céline Dion est maintenant une jeune femme, et la vague Incognito frappe le Québec, en 1987. En 1988, René Angélil décide de faire participer sa protégée au concours Eurovision, qu’elle remporte.

CBS, l’anglais et Unison

René Angélil est prêt pour le rêve anglophone. Avec l’album Unison (1990), on découvre une Céline Dion parfaite en anglais et puissante dans un style qui allait devenir le sien. La chanson Where Does My Heart Beat Now en est un parfait exemple. Céline Dion est maintenant chez CBS, et remporte le prix Juno de l’album de l’année.

Beauty and the Beast

René Angélil parvient à placer Céline Dion sur la trame sonore de Beauty And The Beast, de Disney. Le clan Dion obtient en fait la chanson thème du film, aux côtés de Peabo Bryson, permettant à Céline de cristalliser sa position sur le marché anglophone et de se faire découvrir d’un nouveau public.

Titanic

Après avoir enchaîné plusieurs hits anglophones et francophones comme The Power of Love, To Love You More, Falling Into You, et l’album D’eux, René Angélil et Céline Dion frappent un ultime coup de circuit avec My Heart Will Go On, qui se retrouve sur la trame sonore de Titanic, de James Cameron.

Aussi explosive que le film, la chanson thème permettra à Céline Dion de s’installer au sommet des palmarès partout dans le monde et de devenir la plus grande chanteuse du monde entier.

Las Vegas

Accumulant les succès depuis plusieurs années, René Angélil ressent le besoin d’installer sa protégée et sa famille dans un contexte plus stable, en plus d’assurer la suite de la carrière de Céline Dion. Alors que Las Vegas est alors reconnue comme une terre d’accueil pour les artistes finis, René Angélil installe une Céline Dion au sommet de son art au Caesars Palace, changeant pour de bon la perception de Las Vegas dans l’industrie du show-business.

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Les parents se sentent jugés dans leurs choix et décisions

Apparemment, les parents ont l’impression d’être scrutés à la loupe lorsqu’ils « influencent » leurs enfants, indique les résultats de Nurofen for Children. Ce sont plus des deux tiers des parents (68 %) qui craignent la critique des autres.

Les données exactes rapportent, selon Female First, que :

– La moitié des répondants ont peur d’être critiqués sur l’alimentation de leur enfant;

– 43 % craignent la même chose, mais à propos de leurs qualités parentales;

– 33 % ont peur que ce soit le comportement de leur enfant qui soit pointé du doigt.

Les mères, contrairement aux pères, sont portées à demander l’avis des autres, que ce soit leurs propres parents, grands-parents, amis ou médecin.

Un représentant de Nurofen for Children affirme que l’objectif pour le parent est de comprendre que l’hésitation et les mauvais choix font partie du rôle de parent, et que demander de l’aide est normal, voire souhaitable.

Les autres préoccupations des parents concernaient surtout la santé, la sécurité, l’entourage et les bonnes manières de leurs enfants.

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Les enfants savent prendre des décisions qui maximisent leur profit

Le journal scientifique PLoS ONE publie les résultats d’une étude ayant porté sur des enfants âgés de 3 à 9 ans, auxquels on présentait un biscuit. Les enfants se faisaient ensuite offrir de garder leur biscuit ou de l’échanger contre une tasse d’un lot de six identiques qui contenaient d’autres biscuits.

Pour rendre la décision moins évidente, la taille du biscuit pouvait être différente au sein des tasses : plus petite que le biscuit déjà remis aux enfants, de taille égale ou plus grande, avec différentes combinaisons. Avant de prendre leur décision, les chercheurs disaient aux enfants combien de tasses contenaient des « combinaisons gagnantes ».

Les plus jeunes enfants, de 3 et 4 ans, n’arrivaient pas vraiment à bien comprendre que leur profit potentiel pourrait être plus grand que leur profit existant.

À partir de 5 ans toutefois, les enfants assimilaient plus le concept des chances de gagner et prenaient des décisions qui étaient affectées par la possibilité de perdre. Ils tenaient même compte des précédents « gains » et « pertes ».

Les plus vieux du groupe présentaient une aversion à la perte semblable à celle des adultes.

L’auteure de l’étude, Valérie Dufour, a noté que les résultats suggéraient que notre processus de prise de décisions commence très tôt dans la vie, à partir de 5 ans, selon Science Daily.