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L’intimidation en baisse chez les jeunes Américains

Les campagnes de sensibilisation et la mobilisation globale de la population en matière d’intimidation semblent porter leurs fruits, à tout le moins de l’autre côté de la frontière.

The National Library of Medicine rapporte en effet une baisse générale du phénomène de l’intimidation chez les adolescents, aux États-Unis, depuis les dix dernières années.

L’étude proposée repose sur des sondages complétés auprès d’étudiants entre 1998 et 2010, et suggère que l’intimidation verbale et physique est en forte baisse. On parle même d’une réduction du phénomène de moitié, surtout chez les garçons.

« Au cours des récentes années, il y a eu plus d’attention accordée aux efforts anti-intimidation, comme des programmes et des politiques scolaires. On espère que ces efforts de prévention et l’attention additionnelle accordée au problème puissent être la raison de ce déclin », explique l’auteure de l’étude, Jessamyn Perlus.

Pendant ce temps au Québec, d’autres recherches semblent suggérer un effet contraire, mais de nouvelles études seront nécessaires pour offrir un véritable constat de la situation québécoise et canadienne.

Les résultats de l’étude rapportée ont été publiés dans l’American Journal of Public Health.

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La caféine permettrait de lutter contre le développement de l’Alzheimer

Une nouvelle étude avance et confirme que la caféine permettrait bel et bien de lutter contre le développement de la démence et de la maladie d’Alzheimer, rapporte Santé Log.

C’est une équipe de l’Université de Bonn, en Allemagne, et de l’Université de Lille, en France, qui s’est penchée sur les effets bienfaiteurs présumés de la caféine en prévention de l’Alzheimer.

L’équipe conjointe franco-allemande a rapidement observé les effets protecteurs de la caféine sur des souris, qui se voyaient mieux protégées contre le développement de certaines protéines (notamment la protéine Tau) associées à la maladie d’Alzheimer.

Cette récente étude va de pair avec de précédentes recherches sur le sujet, qui confirmaient presque toutes les effets préventifs du café et de la caféine sur la mémoire et le déclin cognitif.

Les effets seraient observables à la suite d’une consommation « régulière à modérée », ce qui laisse entendre que les accros du café possèdent un avantage marqué en prévention de l’Alzheimer.

D’autres études seront nécessaires avant de confirmer ces observations, mais les chercheurs ont bon espoir de pouvoir confirmer la théorie, et même d’utiliser d’autres molécules relatives à la caféine pour possiblement créer une forme de traitement de la maladie.

Les conclusions tirées de l’étude franco-allemande ont été publiées dans le magazine Neurobiology of Aging.

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La viande rouge et l’exercice vantés pour contrer les effets du vieillissement

La viande rouge ne connaît pas ses meilleurs moments depuis quelques années, étant sauvagement vilipendée par plusieurs lobbys et spécialistes en santé et nutrition.

Les amateurs de viande rouge se consoleront peut-être avec les conclusions de cette nouvelle étude rapportée par Medical News Today, qui vante pour une rare fois les mérites de la viande rouge.

L’étude de l’Université Deakin affirme en effet que des apports en viande rouge maigre et de l’exercice physique régulier peuvent permettre d’éviter certains signes de ralentissements cognitifs dus au vieillissement, et ainsi réduire les risques de développement de la maladie d’Alzheimer et de la démence.

« Considérant les résultats de l’étude, nous croyons que de manger les trois ou quatre portions recommandées par semaine et de les combiner avec un programme d’entraînement pourrait s’avérer la clé pour conserver le corps et l’esprit en condition optimale », explique le professeur Robin Daly.

Ces conclusions peuvent étonner et vont à contresens de plusieurs théories anti-viandes véhiculées abondamment depuis quelques années, mais semblent on ne peut plus réalistes.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Un cocktail d’antioxydants pourrait contribuer au ralentissement du déclin cognitif

Une étude américaine propose une nouvelle solution afin de prévenir et ralentir les effets du déclin cognitif dû au vieillissement, rapporte Santé Log.

Le concept proposé par des chercheurs de l’Université de Floride du Sud se traduit par un véritable cocktail d’antioxydants qui, une fois mélangé, peut se transformer en ce qu’on appelle un nutraceutique.

Les chercheurs croient être en mesure de commercialiser l’idée sous forme d’un simple comprimé, qui contiendrait à la fois du thé vert, de la vitamine D et des extraits de bleuets.

Ces trois aliments, tout comme les antioxydants, sont déjà reconnus pour leur capacité à prévenir le développement ou l’amplification de maladies cognitives, ou du déclin « normal » dû à l’âge.

Après une série de tests conduits sur des patients volontaires, les chercheurs de la Floride ont pu confirmer leur théorie. Un grand nombre de ces personnes âges participant à l’essai auraient bien répondu au traitement, en plus d’afficher certaines améliorations cognitives encourageantes.

D’autres phases de tests sont encore à venir, et les chercheurs croient que cette étude ouvre la porte à de nouvelles solutions en matière de traitement du déclin cognitif chez les personnes âgées.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le magazine Rejuvenation Research.

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De meilleures performances cognitives chez les aînés d’aujourd’hui

Les aînés d’aujourd’hui sont-ils plus « performants » que leurs ancêtres des décennies précédentes?

C’est le constat auquel semble arriver des chercheurs européens, qui publient une étude sur le sujet, rapporte The National Library of Medicine.

Les spécialistes en cause dans cette recherche constatent que les personnes présentement âgées de 80 ans et plus possèdent de plus grandes aptitudes cognitives, en moyenne, qu’il y a dix ans.

Ces mêmes personnes afficheraient par ailleurs le même genre de résultats qu’à l’âge de 70 ans, ce qui semble signifier que d’atteindre ce palier vénérable d’âge pourrait devenir une norme, le tout en bonne santé.

« Les gens sont en fait mieux éduqués qu’ils ne l’étaient, et leur situation économique pourrait aussi être meilleure, comparativement aux groupes précédents. Tous ces facteurs combinés travaillent de concert pour une situation améliorée », analyse Dallas Anderson, qui étudie la démence dans le Maryland, mais qui n’a pas pris part à l’étude.

Plusieurs autres facteurs sont cependant à prendre en considération avant de parler d’une tendance mondiale, croient d’autres observateurs en santé, à commencer par exemple par l’accès aux soins de santé offerts dans certains pays.

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La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.

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Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

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Les jeux vidéo excellents pour la santé mentale et la longévité des aînés

Les détracteurs des jeux vidéo devront se rhabiller, car une nouvelle étude sur le sujet vante les mérites des jeux interactifs électroniques, rapporte Top Santé.

XBOX, Playstation, Wii, peu importe le produit, l’étude américaine en question estime cette fois que les personnes âgées aussi peuvent bénéficier de cette activité, et pas qu’un peu.

Longévité accrue, mémoire améliorée, déclin dû au vieillissement moins important et retardé, meilleures capacités cognitives, bref, les avantages de l’utilisation des jeux vidéo chez les personnes âgées sont notables.

Les chercheurs de l’Université d’Iowa ont sélectionné quelques sujets, avant de les diviser en deux groupes. On les a ensuite fait jouer à différents jeux et on a observé leur évolution cognitive.

Conclusion?

« On n’a pas seulement prévenu leur déclin, on a accéléré leurs facultés. », se réjouit le professeur Wolinsky, qui participe à l’étude.

Il faudra donc revoir certains mythes concernant les « vilains » jeux vidéo, et probablement en installer dans les résidences pour personnes âgées, qui peuvent bénéficier grandement de ces activités virtuelles… en plus de s’amuser.

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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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Le déclin de la mémoire avec l’âge démystifié

Des chercheurs se sont penchés sur la question de la perte ou du déclin de la mémoire lors du vieillissement, et ils proposent ici un nouveau modèle d’explication.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui explique le processus utilisé par ces chercheurs de l’Université de Warwick. On a donc regroupé 185 sujets pour une étude dans laquelle ces derniers devaient se soumettre à différents tests cognitifs et de mémoire.

Rapidement, on a constaté au fil des tests que ce sont les mécanismes de la mémoire qui changent, et non la « vitesse » de réaction de celle-ci.

On parlerait donc moins de « déclin » que d’un problème de concentration, si vous voulez, qui se traduit par une plus grande difficulté à garder ses pensées et sa mémoire sur une catégorie ou un sujet précis.

La mémoire, en vieillissant, serait donc plus vagabonde et passerait d’un thème à l’autre, laissant ainsi des souvenirs enfouis.

On suggère de faire des exercices de mémoire par catégorie pour améliorer le recouvrement des souvenirs, comme l’indique le Dr Thomas Hills.

« Si, par exemple, vous oubliez votre liste de courses, essayez de vous concentrer sur les produits à acheter, catégorie par catégorie, et essayez d’utiliser ce dont vous vous souvenir pour retrouver ce que vous avez oublié. »