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Exposition AD Intérieurs : un hôtel parisien du XVIIe siècle transformé en haut lieu de la décoration

L’Enclos des Bernardins à Paris accueille du 7 au 22 septembre l’exposition AD Intérieurs. Pour cet évènement, 15 décorateurs connus mondialement pour leur travail ont transformé pièce par pièce cet hôtel particulier autour du thème de la métamorphose, offrant ainsi un véritable écrin design qui se veut à la fois artistique et fonctionnel. 

C’est dans le 5e arrondissement de Paris, derrière la façade classique de l’Enclos des Bernardins, un hôtel du XVIIe siècle, que le magazine de décoration AD a donné carte blanche à ses 15 décorateurs responsables d’un relooking pour le moins étonnant.

Bureaux, boudoirs, chambres, salons ou jardins, à chaque pièce son artiste. Et chacun y appose sa griffe autour d’une thématique choisie, qui permettra aux visiteurs de déambuler dans un lieu avant-gardiste, sans pour autant perdre de vue l’aspect pragmatique qu’un toit se doit d’offrir à ses hôtes.

Le public pourra donc admirer « le bureau enchanté » de Maria Pergay pour Fendi, « la chambre du Petit Prince » conçue par Vincent Darré, « le salon-salle à manger mythologique » signé Bruno Moinard ou encore « le jardin en reflets » imaginé par Chahan Minassian, parmi tant d’autres salles réinvesties en chefs-d’oeuvre du design.

L’exposition AD Intérieurs 2013 sera présentée au public du 7 au 22 septembre, tous les jours de 11 h à 19 h.

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Chine : un restaurant à l’image de l’Airbus A380

Les clients ne doivent pas craindre la nourriture qu’ils dégusteront à ce restaurant. Ce n’est pas parce que le lieu a pris pour thème l’avion, et plus particulièrement celui de l’Airbus 380, que les clients vont manger le même genre de nourriture que l’on sert aux passagers d’un vol.

C’est pourtant l’une des seules choses qui ne sera pas similaire à l’expérience de vol de l’Airbus 380. En effet, tout a été reproduit pour donner l’impression au visiteur d’être dans les airs plutôt que sur terre.

Hublots, sièges, tapis et éclairage sont identiques à ceux du plus gros avion civil de transport de passagers en service et du troisième plus gros avion de l’histoire de l’aéronautique.

Les traditionnelles chaises aux tables ont été remplacées par de larges fauteuils ajustables comme ceux de la section Première classe du célèbre avion.

Les serveuses ont reçu une formation spéciale pour servir, se vêtir, se coiffer et se maquiller comme les hôtesses de l’air.

Il semblerait que pour obtenir l’une des quatre tables des coins du restaurant, il faut débourser un montant supplémentaire et réserver tôt, car elles sont de forme ovoïde et sont les préférées des couples en souper romantique.

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Le bateau de croisière Paul Gauguin rajeunit

Après avoir passé trois semaines sous les marteaux et pinceaux pour être encore plus luxueux, le bateau de croisières Paul Gaugin est prêt à reprendre le large.

Depuis sa première croisière en 1997, il s’agissait de la plus importante rénovation pour le paquebot 5 étoiles.

C’est dans le port australien de Brisbane, en janvier dernier, que 6 millions d’euros ont été investis pour décorer à nouveau le bateau qui a l’habitude de faire le tour de la Polynésie.

Pendant 10 jours, il a été d’abord possible de nettoyer et repeindre la coque du bateau en cale sèche. De nouveaux garde-corps en tek ont été ajoutés aux balcons des cabines et des suites.

L’éclairage et le mobilier sur les ponts ont été modifiés, tandis qu’à l’intérieur, les suites et cabines ont été métamorphosées.

Les 332 passagers qui peuvent être accueillis par les 215 membres de l’équipage du bateau pourront également bénéficier d’une banquette sur le pont arrière, d’une piste de danse dans le grand salon et d’une nouvelle aire buffet au restaurant plein-air.

Quant à la section casino, elle a pris de l’ampleur et de nouvelles machines à sous et tables de roulette et de Black Jack ont été ajoutées.

Finalement, pour être au goût du jour, la liaison Internet sans fil a été installée dans toutes les cabines.

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Bébé coûte cher, même avant son arrivée

Plusieurs parents ne regardent pas à la dépense pendant la grossesse. Une étude anglaise, qui a interrogé 2000 parents, déclare que ces derniers dépensent en moyenne 2825 $ durant les 9 mois d’attente.

Le compte en banque diminuerait même de 14 516 $ pour les parents anglais plus fortunés (6 %). La décoration de la chambre et la congélation de cellules souches viendraient en tête de la liste des dépenses de ces derniers.

L’emballement, l’excitation et la peur de l’inconnu pousseraient même certains parents à connaître de lourds problèmes financiers après la naissance de leur bébé. En effet, un quart des parents interrogés dans l’étude a confirmé ce fait.

Selon Alistair Clayton, la porte-parole d’une émission qui prépare les adultes à devenir parents, « en prévision de l’arrivée de leur bébé, les parents se sentent souvent et pour la première fois sous pression. Ils dépensent pour faire face à toute éventualité : des vêtements, du matériel de puériculture coûteux et des gadgets qu’ils n’utiliseront jamais. Le manque d’argent, les contraintes, les soins à donner à la naissance, c’est une combinaison toxique pour le couple ».

Après la grossesse vient la vie normale. Il semblerait, selon une étude de 2011, qu’un enfant coûte aux parents environ 14 500 $ par an jusqu’à ses 21 ans.

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Toronto accueille un hôtel signé Donald Trump

Avec ses 65 étages comportant 61 chambres, le complexe devient le plus haut du Canada et la deuxième construction la plus haute de la capitale économique du pays, Toronto.

Sa façade de pierre, d’acier et de verre culmine à 900 pieds et offre aux clients des vues imprenables sur la métropole depuis ses chambres et ses suites, qui font de 550 à 4000 pieds carrés pour la Suite présidentielle.

Il s’agit du deuxième hôtel Trump à ouvrir au-delà des frontières américaines. En plus de bénéficier d’une foule de petits services propre à la marque de Trump, tels que la literie de la marque italienne Bellino, les machines à café Nespresso et les téléviseurs à écrans plats, les clients pourront également profiter d’un spa de 18 000 pieds carrés et de ses dix salles de soins, au 31e étage.

En 2012, le Trump International Hotel & Tower ne sera pas le seul à ouvrir ses portes à Toronto, un Shangri-La Hotel et un Four Seasons Hotel devraient également accueillir des visiteurs bientôt.

Rappelons que la ville canadienne a battu des records de fréquentation touristique en 2011, dépassant pour la première fois de son histoire les 9 millions de nuitées dans des chambres d’hôtel.