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Découverte d’une nouvelle molécule anticancer

Des équipes de l’Institut Curie et du Centre national de la recherche scientifique ont découvert une nouvelle molécule qui agit sur les cellules résistantes à la chimiothérapie traditionnelle, et ce, grâce à un mécanisme encore inconnu.
 
Cette molécule cible seulement la multiplication et la mobilité des cellules, freinant donc la prolifération du cancer.
 
Selon le Cancer Research,il aura fallu une dizaine d’années de recherche et une analyse de 30 000 molécules pour parvenir à en trouver une qui avait l’effet escompté sur les cellules tumorales.
 
Les tests in vitro effectués sur le modèle animal laissent croire à un développement de nouveaux traitements plus efficaces que la chimiothérapie traditionnelle. De l’espoir, donc, dans la lutte contre le cancer.

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10 nouveaux gènes du diabète de type 2 ont été découverts

10 nouveaux gènes impliqués dans le diabète de type 2 viennent d’être discernés, rapporte la revue Nature Genetics.

Des chercheurs ont découvert 10 nouvelles régions d’ADN, ce qui porte le total à plus de 60 gènes impliqués dans cette maladie.

Les scientifiques ont analysé l’ADN de 35 000 personnes diabétiques et de 115 000 personnes témoins pour trouver ces 10 nouveaux gènes.

« Les dix régions identifiées nous apportent une compréhension biologique de la maladie. Il est difficile de trouver de nouveaux médicaments pour traiter le diabète sans avoir cette compréhension des processus biologiques à cibler. Ce travail nous rapproche de l’objectif » indique le professeur Mark McCarthy.

La prochaine étape sera d’obtenir le séquençage complet du génome pour mieux comprendre les mécanismes sous-jacents du diabète.

Rappelons que sans traitement le diabète, même léger, peut avoir de graves conséquences comme des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des lésions nerveuses et la cécité.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Tuberculose : la découverte d’une molécule ouvre la voie à des alternatives thérapeutiques

(Relaxnews) – Des chercheurs de l’Inserm ont mis en évidence une protéine spécifique du système immunitaire, jouant un rôle important dans la lutte contre les mycobactéries, responsables de la tuberculose.

Publiés dans la revue Science, ces travaux pourraient ouvrir de nouvelles voies dans le traitement de la tuberculose, maladie infectieuse responsable de 1,4 million de décès chaque année dans le monde.

Provoquée par une mycobactérie appelée « bacille de Koch », la tuberculose est de plus en plus difficile à soigner, notamment parce que les traitements antibiotiques existants deviennent moins actifs.

Alors qu’un quart de la population mondiale est touchée par la tuberculose, seuls 10 % des individus souffrent des signes cliniques de la maladie. Les chercheurs ont donc cherché à comprendre pourquoi la maladie ne se déclarait pas chez toutes les personnes infectées.

Pour ce faire, ils ont analysé les composantes génétiques d’enfants atteints d’infections mycobactériennes via de nouvelles technologies de séquençage du génome humain. Ils ont ainsi découvert une molécule spécifique, appelée ISG15, secrétée à la suite de ladite infection mycobactérienne.

« De nombreuses perspectives s’ouvrent grâce à cette découverte […]. Sur le plan scientifique, la compréhension fine du mécanisme d’action d’ISG15 et de ses régulations permettra certainement une meilleure connaissance de l’immunité anti-mycobactérienne, étape nécessaire à la lutte contre la tuberculose », expliquent les principaux auteurs de l’étude.

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VIH : des chercheurs découvrent une cible thérapeutique potentielle

(Relaxnews) – Des chercheurs de l’Institut Cochin, en collaboration avec l’Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS), révèlent qu’une population spécifique de globules blancs pourrait être responsable d’une hyperactivation du système immunitaire chez les patients infectés par le VIH.

Or, c’est justement cette hyperactivation que les antirétroviraux ont parfois du mal à contrôler et qui empêche d’éliminer le virus. Les globules blancs en question pourraient ainsi devenir une nouvelle cible thérapeutique pour traiter les patients touchés par le VIH.

Les personnes infectées par le VIH sont victimes d’un cercle vicieux d’hyperactivation du système immunitaire, qui empêche d’enrayer le virus.

Cibles principales du VIH, les lymphocytes T CD4, des cellules ayant un rôle important dans la réponse immunitaire, sont détruits chez les patients atteints du VIH. Ce mécanisme induit le passage de produits bactériens dans le sang, provoquant une hyperactivation du système immunitaire. Cette hyperactivation induit à son tour une destruction massive des lymphocytes T CD4, entraînant une spirale infernale difficilement contrôlable, même par les antirétroviraux.

Les chercheurs sont parvenus à démontrer qu’une population spécifique de globules blancs pourrait être à l’origine de ce cercle vicieux.

« Une destruction spécifique de cette population pourrait être induite par l’injection d’anticorps spécifiques. Cette stratégie permettrait de compléter l’action des antirétroviraux en interrompant d’une manière très ciblée le cercle vicieux d’hyperactivation du système immunitaire », expliquent les auteurs de l’étude.

Les résultats de ces travaux font maintenant l’objet d’un brevet. Ils pourraient constituer une base pour le développement d’un traitement complémentaire, destiné à éliminer le virus.

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Découverte concernant la maladie de la vache folle

Selon l’American Journal of Pathology, la maladie de la vache folle ou encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) peut se propager dans le système nerveux autonome bien avant d’être détectable dans le système nerveux central.

 

Cette découverte a donc un impact important sur le diagnostic et la sécurité alimentaire, car la maladie est transmissible et mortelle. Celle-ci transforme le cerveau comme une sorte d’éponge.

 

Toutefois, non seulement est-elle présente bien avant d’être détectable, mais en plus, la période d’incubation du virus demeure encore floue. 

 

«Nos résultats indiquent clairement que les deux voies sont impliquées dans la pathogenèse de l’ESB et pas nécessairement en même temps», indique le professeur Martin H. Groschup.

 

Selon les examens effectués auprès de veaux, on a remarqué la présence de ESB dans la moelle épinière thoracique et lombaire dès 16 mois après l’infection.

 

Une découverte qui mérite donc d’être analysée de plus près.

 

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Comment faire aimer les légumes à ses enfants?

« Il arrive que l’on doit montrer ou faire goûter jusqu’à une quinzaine de fois un légume à un enfant pour qu’il l’adopte dans son alimentation », confie Geneviève Dulude de l’Université de Montréal, dont la thèse porte sur les attitudes et les comportements de la mère québécoise, l’alimentation et le poids de l’enfant préscolaire.

En effet, le combat entre l’adulte, l’enfant et l’assiette a pour origine la néophobie ou peur des nouveaux aliments. Les enfants refusent de goûter un aliment, car ils ne le connaissent pas.

Pour remédier à cette situation, la diététiste conseille aux parents de varier les achats et les recettes. Transformer le traditionnel brocoli cru et au goût peu plaisant en brocoli sauté dans un poulet teriyaki et en brocoli broyé dans le pâté au poulet peut être un exemple.

Si votre enfant résiste au brocoli un premier soir, ne lui présentez pas jour après jour le bouquet vert dans son assiette afin de le convaincre. Attendez une semaine, apprêtez-le d’une autre façon et, entre-temps, faites-lui découvrir la carotte, le navet, le chou-fleur, etc.

« Le parent qui démontre de l’enthousiasme quant au plaisir de manger certains aliments augmentera leur acceptation auprès de l’enfant », affirme la diététiste àl’Agence Science Presse.

L’autorité, l’obstination, la négligence ou le chantage émotif à la saveur de récompense du genre « Tu n’auras pas de dessert si tu ne manges pas tout » ne fait que rendre la situation pire, selon l’experte.

Des questionnaires remplis par 122 mères québécoises d’enfants âgés de 3 à 5 ans ont permis de voir que près d’un tiers d’entre elles qualifient l’heure du repas de pénible.

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Découverte importante sur l’ostéoporose

Une équipe de l’Université de Göteborg a fait une découverte importante en identifiant 56 gènes dont 14 variantes génétiques sont liées aux fractures causées par l’ostéoporose.
 
80 000 personnes ont participé à la recherche. On a enregistré 32 016 cas de fractures.
 
56 gènes ont été identifiés, dont 32 directement liés à la densité minérale osseuse, qui est affectée lorsqu’une personne est atteinte d’ostéoporose. 14 variantes génétiques ont aussi été trouvées. Elles étaient à l’origine des fractures résultant de l’ostéoporose.
 
Rappelons que jusqu’ici, les causes génétiques de cette maladie étaient plutôt inconnues.
 
L’ostéoporose est une maladie aux conséquences graves. Sur 50 % des cas de fractures de la hanche qui surviennent après 80 ans, le taux de survie est de moins d’un an après l’accident.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à des diagnostics plus précoces permettant éventuellement de ralentir la progression de la maladie et de mieux la traiter.
 
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Découverte importante sur l’ostéoporose

Une équipe de l’Université de Göteborg a fait une découverte importante en identifiant 56 gènes dont 14 variantes génétiques sont liées aux fractures causées par l’ostéoporose.
 
80 000 personnes ont participé à la recherche. On a enregistré 32 016 cas de fractures.
 
56 gènes ont été identifiés, dont 32 directement liés à la densité minérale osseuse, qui est affectée lorsqu’une personne est atteinte d’ostéoporose. 14 variantes génétiques ont aussi été trouvées. Elles étaient à l’origine des fractures résultant de l’ostéoporose.
 
Rappelons que jusqu’ici, les causes génétiques de cette maladie étaient plutôt inconnues.
 
L’ostéoporose est une maladie aux conséquences graves. Sur 50 % des cas de fractures de la hanche qui surviennent après 80 ans, le taux de survie est de moins d’un an après l’accident.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à des diagnostics plus précoces permettant éventuellement de ralentir la progression de la maladie et de mieux la traiter.
 
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Découverte dans le domaine du cancer du sein

Des chercheurs ont découvert le code génétique du cancer du sein de type triple négatif qui s’avère être la forme la plus mortelle de la maladie. 

Quatre chercheurs canadiens de l’Université Simon Fraser, en Colombie-Britannique, ont participé à cette étude, en collaboration avec une équipe internationale.
 
Selon la revue Nature, ils ont établi les cartes génétiques de 100 tumeurs de type triple négatif et ont découvert que cette forme de cancer avait un code génétique qui lui est propre, ce qui explique pourquoi il est si difficile à traiter. Sa complexité ne facilite pas les choses.
 
16 % des personnes qui ont un cancer du sein sont affectées par le triple négatif.
 
Avec cette avancée médicale, on espère mettre sur pied des essais cliniques afin de mesurer la réaction des tumeurs face à différents traitements ciblés.
 
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Découverte d’un gène responsable des formes précoces d’Alzheimer

Ce sont du moins les résultats d’une recherche publiée dans la revue Molecular Psychiatry du 3 avril.

Ce gène, qui s’appelle le SORL1, régule la production de peptide β-amyloïde impliquée dans la maladie. En fait, au lieu de réguler la production de cette substance, les mutations du SORL1 favorisent sa fabrication dans l’organisme.

Lorsqu’il y a sous-expression de SORL1, il y a une augmentation de peptide β-amyloïde, qui s’accumule de façon extracellulaire dans des zones précises du cerveau. C’est ce qui cause les formes précoces de la maladie d’Alzheimer.

Ce phénomène de mutation n’est cependant pas généralisé. Ce ne sont pas tous les patients souffrant d’Alzheimer précoce qui l’ont.

On ne sait toujours pas comment ces mutations génétiques sont transmises au sein des familles atteintes par la forme précoce de la maladie.

Rappelons qu’il semblerait que certains exercices pour entraîner la mémoire pourraient être susceptibles de retarder l’apparition des premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer. Il faut cependant se méfier de ceux vendus en ligne, puisque leur efficacité est remise en question.