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La greffe de tissu ovarien pour une maternité retardée

La greffe du tissu ovarien permettrait de retarder la ménopause pour donner la chance aux femmes plus âgées de tomber enceintes et traiter les difficultés à concevoir, ont découvert des chercheurs américains.

Cette transplantation pourrait même éliminer l’existence de la ménopause, car en libérant des ovules, les ovaires produisent l’oestrogène et la progestérone qui régissent le cycle menstruel de la femme, explique Sherman Silber du Centre d’infertilité de Saint-Louis dans le Missouri.

C’est en observant le cas de trois femmes qui ont eu cette greffe que les chercheurs ont pu démontrer qu’elles avaient toutes pu avoir un ou plusieurs bébés à la suite de l’intervention, et selon leurs diverses situations.

Il y aurait même une femme dans l’étude qui aurait été déclarée stérile, à la suite d’un combat contre le cancer et des traitements de chimiothérapie. Toutefois, la transplantation d’un ovaire prélevé avant le début du traitement lui a permis de donner naissance à trois enfants depuis.

Grâce à la congélation d’une partie de leurs ovaires, les femmes ont pu concevoir naturellement, jusqu’à sept ans après la transplantation du tissu congelé. Pour les experts, il s’agit là d’une découverte pour un contrôle bénéfique de la maternité.

Les résultats des observations seront publiés sous peu sur le site d’information professionnelle Reproductive Biomedicine Online.

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Épilepsie : un médicament pour contrer les crises d’absence

L’enfant est éveillé, mais il est dans un état second. Dans son cerveau, des signaux de haute fréquence se bousculent, viennent et repartent rapidement, et provoquent des crises d’absence des centaines de fois par jour chez les enfants atteints d’épilepsie.

Pour remédier à cette situation et permettre à ces petits d’être concentrés, d’avoir une vie normale et de réussir à l’école notamment, un nouveau médicament, appelé pour le moment Z941 Z944, pourrait être efficace.

Des tests sur des rats en laboratoire ont permis d’éviter 80 à 90 % des crises d’absence chez les rongeurs.

Les résultats de l’étude de chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique, publiés dans la revue Science Translational Medicine, laissent croire que le médicament pourrait avoir le même effet sur les enfants. Les premiers tests sur des cellules humaines clonées le prouvent déjà.

Selon des scientifiques australiens, une mutation dans les canaux calciques de type T du cerveau qui laisse entrer un flux trop élevé de calcium serait à l’origine des crises d’absence épileptiques.

Le nouveau médicament, qui peut être pris en comprimés, permettrait de bloquer le passage du flux.

Toutefois, des ajustements et des études supplémentaires devront être effectués pour que le médicament n’entre pas en conflit avec d’autres fonctions corporelles, comme le rythme cardiaque qui a besoin des canaux calciques.

Les médicaments utilisés pour traiter l’épilepsie ne sont pas totalement aptes à gérer les crises d’absence et provoquent souvent des effets secondaires graves, comme de la somnolence et des troubles de la vision.

Outre l’épilepsie, il semblerait que la douleur chronique pourrait être traitée par ce nouveau remède.

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Découverte sur le cancer de l’ovaire

Une équipe du Centre universitaire de santé McGill a découvert que la forme la plus mortelle du cancer de l’ovaire débutait souvent dans les trompes de Fallope.

Voilà donc une découverte qui pourrait remettre en question les méthodes de dépistage utilisées présentement.

Une équipe du Centre universitaire de santé McGill a découvert que la forme la plus mortelle du cancer de l’ovaire prenait souvent source dans les trompes de Fallope.
 
Voici donc une découverte qui pourrait remettre en question les méthodes de dépistage utilisées en ce moment.
 
Une meilleure connaissance de la genèse de ce type de cancer permettrait non seulement de meilleurs diagnostics, à un stade plus précoce, mais aussi de nouveaux traitements possibles.
 
Chaque année, 216 000 femmes reçoivent un diagnostic de cancer de l’ovaire dans le monde, 2600 au Canada seulement, et 70 % en mourront.
 
La forme la plus mortelle de la maladie cause 90 % des décès par cancer de l’ovaire. Un diagnostic précoce permet d’augmenter les chances de guérison. Malheureusement, les femmes ont souvent peu de symptômes au début de la maladie.
 
« Le type de cancer de l’ovaire mortel n’est pas vraiment le cancer des ovaires tel qu’on le connaît maintenant; nous devons donc repenser les tests diagnostiques, sinon ces cancers vont nous échapper », mentionne la Dre Lucy Gilbert à la revue The Lancet Oncology.
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Des explications au syndrome de Rett

Des chercheurs ont découvert qu’une molécule essentielle pour le développement et la plasticité des cellules nerveuses manque cruellement dans la mutation des neurones du tronc cérébral des enfants atteints du syndrome de Rett.

Le syndrome de Rett est un trouble neurologique du développement qui affecte un bébé de sexe féminin sur environ 10 000 naissances. Le syndrome est presque exclusivement réservé aux filles, car il est causé par une mutation du gène X.

En plus de graves problèmes avec la fonction motrice, de grandes difficultés respiratoires peuvent faire partie des symptômes.

Une équipe de chercheurs a découvert que le facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF) est impliqué dans la maturation normale des voies neuronales qui contrôlent la fonction cardiorespiratoire.

Lorsque les neurones normaux sont confrontés à un défi respiratoire, comme lorsque l’oxygène est faible, ils augmentent considérablement la production de BDNF, alors que les neurones mutants ne le font pas.

Cette découverte de chercheurs de l’Université des sciences et de la santé en Oregon, publiée en ligne dans Neuroscience, permettrait d’améliorer le traitement des troubles neurologiques.

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Vers un traitement de l’ataxie de Charlevoix-Saguenay?

L’ataxie de Charlevoix-Saguenay est une maladie héréditaire qui touche un enfant sur 1500 au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
 
Les médecins connaissaient déjà le gène responsable du cette maladie, mais cette fois, l’équipe du docteur Bernard Brais a découvert le processus qui cause la dégénérescence cellulaire caractérisant la maladie.
 
Maintenant, les scientifiques savent comment cela finit par détruire les neurones du cervelet.
 
« Le problème dans la maladie, c’est d’amener les centrales énergétiques, qu’on appelle mitochondrie, aux bons endroits dans la cellule parce que la protéine manquante dans l’ataxie fait que ce transport-là n’est pas bon », mentionne le Dr Brais à Radio-Canada.
 
Maintenant, on doit trouver un moyen de ralentir ou même freiner complètement le processus, ce qui pourra prendre plusieurs années encore malheureusement.
 
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Percée médicale concernant le gliome infiltrant du tronc cérébral

La revue Pediatric Blood & Cancer rapporte une découverte qui pourrait mener à un meilleur pronostic pour les enfants atteints d’un gliome infiltrant du tronc cérébral.
 
Des chercheurs de l’Institut de cancérologie Gustave Roussy de Villejuif et de l’hôpital Necker-Enfants Malades de Paris ont identifié une mutation génétique dans l’oncogène P13KCA à l’origine du développement de certains cancers, comme le gliome infiltrant du tronc cérébral.
 
Il s’agit d’un type de cancer rare qui touche en moyenne les enfants de six ans.
 
Jusqu’ici, les traitements se sont montrés peu efficaces contre le pronostic fatal qui attend les petits patients. Cette découverte pourrait mener à un meilleur diagnostic et une prise en charge plus ciblée qui amélioreraient le sort des malades.
 
« Cette mutation a déjà été identifiée dans certains cas de cancers chez l’adulte (du sein notamment) et il existe plusieurs médicaments en développement ciblant spécifiquement cette mutation. Cette découverte pourrait donc bouleverser le pronostic vital pour ces enfants », expliquent les chercheurs.
 
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La revue Pediatric Blood & Cancer rapporte une découverte qui pourrait mener à un meilleur pronostic pour les enfants atteints d’un gliome infiltrant du tronc cérébral.
 
Des chercheurs de l’Institut de cancérologie Gustave Roussy de Villejuif et de l’hôpital Necker-Enfants Malades de Paris ont identifié une mutation génétique dans l’oncogène P13KCA à l’origine du développement de certains cancers, comme le gliome infiltrant du tronc cérébral.
 
Il s’agit d’un type de cancer rare qui touche en moyenne les enfants de six ans.
 
Jusqu’ici, les traitements se sont montrés peu efficaces contre le pronostic fatal qui attend les petits patients. Cette découverte pourrait mener à un meilleur diagnostic et une prise en charge plus ciblée qui amélioreraient le sort des malades.
 
« Cette mutation a déjà été identifiée dans certains cas de cancers chez l’adulte (du sein notamment) et il existe plusieurs médicaments en développement ciblant spécifiquement cette mutation. Cette découverte pourrait donc bouleverser le pronostic vital pour ces enfants », expliquent les chercheurs.
 
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Deux découvertes concernant la dépression

Des chercheurs français ont fait deux découvertes concernant la dépression. Elles ouvrent donc la voie à de nouvelles thérapies possibles pour traiter la maladie à un stade précoce.

Selon le Journal of Neuroscience, l’équipe de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière a constaté que lorsque des rats étaient soumis à des stress intenses, ceux qui présentaient une altération de la structure des neurones dans certaines zones de leur cerveau devenaient dépressifs après un nouveau stress.

De plus, on a identifié sur les rongeurs des biomarqueurs qui permettaient de déceler la vulnérabilité face à la dépression.

La dépression peut être autant génétique qu’acquise. Un stress intense comme la perte d’un être cher ou un divorce peut déclencher la maladie, de même qu’un stress continu, par exemple au travail.</pchercheurs français ont fait deux découvertes concernant la dépression. Elles ouvrent donc la voie à de nouvelles thérapies possibles pour traiter la maladie à un stade précoce.

Selon le Journal of Neuroscience, l’équipe de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière a constaté que lorsque des rats étaient soumis à des stress intenses, ceux qui présentaient une altération de la structure des neurones dans certaines zones de leur cerveau devenaient dépressifs après un nouveau stress.

De plus, on a identifié sur les rongeurs des biomarqueurs qui permettaient de déceler la vulnérabilité face à la dépression.

La dépression peut être autant génétique qu’acquise. Un stress intense comme la perte d’un être cher ou un divorce peut déclencher la maladie, de même qu’un stress continu, par exemple au travail.

Crédit photo : Michal Marcol / FreeDigitalPhotos.net

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Découverte sur la douleur chronique

Le magazine Science rapporte que des chercheurs britanniques ont identifié un gène de la douleur chronique.
 
L’équipe du professeur Peter McNaughton de l’Université de Cambridge a retiré le gène HCN2 à des souris, pour constater que leur douleur neuropathique était alors supprimée.
 
On savait déjà que ce gène avait un lien avec les terminaisons nerveuses de la douleur. Par contre, on ignorait qu’il jouait un rôle dans la régulation de la douleur.
 
De plus, les chercheurs ont découvert qu’en retirant ce gène, cela n’empêche toutefois pas de ressentir une douleur vive instantanée, comme lorsqu’on se mord la langue par exemple.
Cette découverte permettrait de créer de nouveaux traitements pour soulager les personnes atteintes de douleur chronique, notamment des maux de dos ou des migraines.
 
Au Canada, on estime qu’une personne sur cinq souffre de douleur chronique.
 
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Découverte majeure en fertilité

À la suite de 30 ans de recherche, des chercheurs viennent de présenter une grande découverte dans le domaine de la procréation. Ils ont démontré comment l’ovule et le spermatozoïde pouvaient s’attirer et se joindre.

Cette attraction n’avait pas encore été expliquée, ce qui constituait un blocage pour les couples infertiles. Or, ce lien entre l’ovule et le spermatozoïde serait possible grâce à une simple molécule.

L’ovule deviendrait collant à cause de cette molécule de sucre, d’où sa jonction avec un gamète. Les résultats complets de cette découverte sont présentés dans la revue Science.

Les possibilités qui suivront cette nouvelle explication scientifique sont évidemment nombreuses. Bien sûr, beaucoup d’espoir naît quant aux traitements de l’infertilité et de la fécondité limitée. On pense aussi à d’autres avenues en ce qui a trait à la contraception.