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Une découverte qui pourra prédire et éviter la fausse couche

C’est parentcentral.ca qui nous rapporte la précieuse information. Des chercheurs britanniques du domaine de la fertilité ont développé une méthode efficace pour prédire quelles femmes seront le plus à risque de vivre une fausse couche.

Par cet intermédiaire, les médecins seront à même de déterminer les femmes qui pourront obtenir un traitement préventif et éviter que la grossesse soit interrompue.
 
C’est lors de la conférence de la Société européenne pour la reproduction et l’embryologie à Stockholm que les résultats de l’étude ont été dévoilés.
 
Parmi les 6 facteurs identifiés comme causes potentielles, les chercheurs ont réalisé que la combinaison de deux d’entre eux créait un bon « indice de viabilité de grossesse » (IVG). Il s’agit des niveaux de saignement et de présence de la gonadotrophine chorionique humaine (hormone de grossesse).
 
Kaltum Adam, de l’Hôpital St. Mary de Grande-Bretagne, responsable du projet, est fière des résultats : « Cette découverte permettra aux femmes à risque d’obtenir le bon traitement en évitant les conseils futiles, notamment, l’abstinence sexuelle, des tests sanguins inutiles, des scans aux ultrasons et les suppléments de progestérone. »
 
Elle ajoute : « D’autre part, les médecins auront des données probantes pour expliquer aux femmes qui ne peuvent éviter la fausse couche la raison pour laquelle il en est ainsi. »
 
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Donner moins d’explications aux enfants

On est souvent porté à donner trop d’explications à un enfant sur un nouveau jouet, voire à lui indiquer comment l’intégrer dans ses propres jeux. Pourtant, une nouvelle étude nous indique de ne pas trop en dire, selon Science Daily.

Il semble en fait que moins on passe de temps à expliquer comment fonctionne un jouet ou un gadget, plus un enfant sera porté à en découvrir davantage sur celui-ci. C’est ce qu’ont démontré des chercheurs américains au Museum of Science de Boston auprès de 85 enfants d’âge préscolaire.

Selon quatre scénarios, on présentait un nouveau jouet aux enfants. L’objet en question était fait de tubes et de boutons. Soit on expliquait tout le fonctionnement du jouet, soit on l’expliquait brièvement (à la suite d’une interruption ou de façon naïve), soit on le déposait devant l’enfant.

Ainsi, les enfants à qui l’on avait simplement remis le jouet en venaient à en avoir une meilleure compréhension, car ils avaient été portés à en tester toutes les possibilités. Il semble que la pédagogie devrait donc plus porter sur la découverte.

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Nouvel espoir dans la lutte contre le diabète de type 1

Une équipe de l’hôpital St. Michael à Toronto a semé un nouvel espoir dans la lutte contre le diabète de type 1.
 
Une substance chimique naturellement présente dans l’organisme peut régénérer les cellules qui produisent de l’insuline. Ces cellules sont détruites lors de l’apparition de la maladie.
 
Un traitement à base de GABA (substance chimique naturelle qui produit les cellules bêta pancréatiques) peut inverser la maladie et permettre au corps d’accepter la régénération des cellules.
 
Lorsqu’une personne est atteinte de diabète de type 1, 70 % de ses cellules bêta sont détruites par le système immunitaire. Le traitement GABA permet de protéger et régénérer ces cellules.
 
Habituellement, il est très difficile de traiter ce type de diabète. Seules les injections d’insuline sont efficaces, car même en remplaçant et en régénérant les cellules, le système immunitaire les détruit. Il faut freiner cette réponse auto-immune et le traitement GABA y parvient, sans être toxique.

Ce sont les meilleurs résultats de recherches obtenus depuis des années dans le domaine. Il faudra toutefois attendre encore quelques années avant de permettre ce traitement chez l’humain, car de nombreux essais cliniques sont à prévoir.

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Alice Cooper veut son émission de téléréalité

Las de voir les émissions de téléréalité orientées vers la découverte de talent qui ne présentent que des artistes conformistes, Alice Cooper a admis son intention de mettre en ondes sa propre version où le rock avec attitude serait primé.

Au journal britannique Daily Star, avec qui il s’est entretenu avant son apparition au Download Festival, Cooper a déclaré : « Oubliez The X Factor, j’aimerais voir une émission de télévision qui découvre un vrai génie de l’écriture du rock. »

« J’appellerais ça Lunatic Fringe. Les groupes n’ont plus d’attitude de nos jours. Ils sont tous beiges et n’offrent pas de mise en scène. Ma génération était à l’opposé de cela. Être en quête de normalité n’a jamais été une option. »

Cooper a avoué être un fan de la musique pop avec attitude, comme Lady Gaga et Katy Perry.

« C’est beaucoup plus intéressant de regarder quelqu’un comme Lady Gaga. Même chose pour Katy Perry. Elle a le sens de la pop. »

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Découverte pédiatrique majeure

On apprend sur Elle qu’on aurait trouvé une explication à la mort subite du nourrisson. Des chercheurs de la Faculté de médecine de Strasbourg, en France, viennent en plus de mettre en place un traitement qui pourrait prévenir ce syndrome.

La mort subite du nourrisson serait due à une activité trop importante du nerf vague, lequel sert à rendre les battements du cœur réguliers. Quand ce nerf ne fonctionne pas normalement, le battement cardiaque se met alors à diminuer, et ce, jusqu’à s’arrêter complètement.
 
Le traitement préventif en question consiste donc en une prise de sang qui pourrait dépister un dysfonctionnement du nerf vague.

Rappelons finalement que le syndrome de la mort subite du nourrisson touche en moyenne 1 bébé sur 2 000. Il survient habituellement durant la première année de vie d’un enfant.

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Traitement d’une maladie infantile grave

Selon le New England Journal of Medicine, des scientifiques de Heidelberg, Paris et Montréal ont présenté des résultats probants d’un traitement du syndrome hémolytique et urémique (SHU).

Rappelons que le SHU est une maladie qui touche en grande partie les enfants âgés de moins de trois ans. Pouvant devenir grave, elle peut être diagnostiquée à partir de tests sanguins.
 
Dans le cas présent, on aurait réussi à soigner trois jeunes enfants qui souffraient d’une forme grave de ce syndrome après une infection due à la bactérie E. coli. Le traitement aux anticorps s’est avéré efficace.
 
La transfusion d’eculizumab (anticorps), une ou deux fois par jour pendant une semaine, a réussi à soigner les enfants. On a même remarqué une amélioration de leur état général 24 heures après le début du traitement. Six mois plus tard, les enfants n’avaient aucune séquelle.

Les chercheurs espèrent beaucoup de cette découverte, qui se veut des plus prometteuse pour les autres enfants atteints.

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Découverte quant à une défectuosité de naissance

On apprend dans The American Journal of Human Genetics que le King’s College de Londres a présenté des résultats très encourageants pour les bébés qui viennent au monde avec certaines défectuosités de naissance.

Des chercheurs ont effet isolé un gène responsable du syndrome d’Adams Oliver, lequel peut engendrer des défectuosités de naissance au cœur, aux vaisseaux sanguins et aux membres.
 
Mentionnons que ce syndrome se définit comme l’association d’anomalies congénitales des membres et d’anomalies du cuir chevelu. Il comprend souvent des défauts dans l’ossification du crâne. Il s’agit d’un syndrome rare : il touche moins de 150 familles dans le monde.
 
Toutefois, les défectuosités de naissance touchant le cœur, les vaisseaux sanguins et les membres sont plus fréquentes. Par exemple, 9 bébés sur 1 000 naîtront avec une anomalie au cœur.
 
Ainsi, utilisant la technologie ADN, les chercheurs ont remarqué des mutations d’un gène chez deux familles atteintes du syndrome d’Adams Oliver. Il s’agit du gène ARHGAP31.

On a donc découvert le premier facteur inhérent audit syndrome, ce qui nous permet de mieux comprendre comment peuvent se développer les défectuosités de naissance associées.

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Nouvelle avancée dans la régénération de tissus

Une équipe interdisciplinaire de l’Université Queen à Kingston, en Ontario, a mis au point une technique qui permet de régénérer les tissus humains à partir du gras humain.

Cette nouvelle technique, réalisée après de longues années de recherches, ouvre donc la voie à de nouvelles thérapies régénératrices pour la reconstruction de tissus mous, comme lors d’une ablation d’une tumeur au sein ou une mastectomie, le développement des cartilages ou le traitement des maladies cardiovasculaires.
 
À partir de gras humain, on implante des cellules souches et le tout peut ensuite se transformer en gras, muscle, os ou cartilage.

Toutefois, ces recherches n’en sont encore qu’au stade préliminaire. De nombreuses études sont encore à prévoir avant d’offrir véritablement cette technique aux patients.

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Nouvel espoir contre le cancer du tube digestif

Les personnes avec des tumeurs du tube digestif voient poindre un nouvel espoir grâce à des chercheurs français. La Parisienne rapporte qu’ils ont découvert un marqueur qui permettrait des soins plus rapides aux personnes atteintes de GIST ou tumeurs stromales gastro-intestinales.
 
Les GIST peuvent se soigner avec un inhibiteur nommé imatinib, qui fait régresser ou qui stabilise les tumeurs dans 60 % des cas.
 
Toutefois, certaines personnes ont, à la surface de leurs cellules immunitaires lymphocytes NK, un marqueur spécifique, le NKp30c, qui résiste aux traitement en raison de la sécrétion de la protéine Interleukine-10.
 
Chez les personnes avec les variantes NKp30a et NKp30b, on n’observe pas cette réaction.
 
Ainsi, avec la variante « c », les chercheurs pourraient prédire la réponse aux traitements et augmenter ainsi le taux de survie des patients.
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Cancer du sein : trois nouveaux gènes découverts

Alors qu’ils étudiaient les causes génétiques du cancer du sein, les chercheurs de l’Institut de recherche en cancérologie de Londres ont fait une découverte totalement inattendue.
 
Ils ont trouvé trois gènes liés au cancer du sein. Cette surprise leur semblait tellement improbable que le tout a dû être revérifié afin de confirmer qu’il ne s’agissait pas d’une erreur.
 
Selon la revue PLoS Genetics, cette découverte majeure ouvrira la voie à de nouveaux traitements qui pourront sauver la vie de millions de femmes.
 
Pendant cinq ans, on a étudié l’ADN de 104 femmes avec un cancer du sein. Les chercheurs s’étaient attardés sur un récepteur à la surface des cellules cancéreuses. Cette protéine favorise la croissance des tumeurs cancéreuses lorsque l’hormone sexuelle, l’œstrogène, s’y fixe.
 
Habituellement, les traitements contre le cancer du sein freinent la production de cette hormone, mais de plus en plus, on assiste à des cas plus résistants.
 
La découverte des trois nouveaux gènes pourrait changer la façon de traiter la maladie. Maintenant, on veut identifier précisément ces trois gènes dans le développement de la maladie.
 
« Nous devons examiner de plus près le fonctionnement de ces gènes. La découverte pourrait conduire à d’éventuelles nouvelles thérapies qui profiteront aux femmes atteintes d’un cancer du sein dans un proche avenir », explique l’auteure des travaux, Anita Dunbier.