Étiquette : découverte
Voyager nous permet de découvrir des paysages parfois tout à fait impossibles dans notre propre pays. Imaginons seulement une plage sablonneuse avec palmiers sur les rives du Saint-Laurent à la hauteur de Sept-Îles pour s’en convaincre.
Toutefois, les différences qu’un pays peut nous faire vivre se trouvent parfois beaucoup plus près de nous que l’on pense. Trois fois par jour, il y a un rituel tout à fait essentiel qui expose d’emblée les différences culturelles de notre planète, celui de nos repas quotidiens.
Le site Timesonline s’est amusé à faire le top 10 des nourritures parfois surprenantes qui existent aux quatre coins du globe et que vous pourriez voir dans votre assiette au gré de vos voyages.
Saviez-vous qu’en Chine, on mange parfois le homard vivant? Qu’aux États-Unis, vous pourriez vous délecter d’un gâteau au fromage à l’alligator? Qu’en Écosse, le haggis se compose du cœur, du foie et des poumons du mouton, hachés finement avec des oignons et cuits avec de l’avoine et du bouillon, avant d’être servis dans l’estomac du mouton?
Ce top 10 pour le moins inhabituel demande deux choses du voyageur : un estomac solide et une ouverture d’esprit et de découverte.
Parmi les autres « spécialités » recensées, vous verrez notamment un plat de genoux de poulets chinois, de la langue sanglante d’Allemagne, un plat de melon amer africain, des fèves longuement fermentées (et gluantes) du Japon, des feuilles de cactus mexicaines, des larves australiennes et, pour terminer, de délicieuses pies de vaches de la Toscane, en Italie.
Ces plats sont souvent le résultat de périodes où la pauvreté sévissait durement dans une région du monde et où les habitants, obligés de laisser aller les beaux morceaux aux mains des riches, se devaient d’être inventifs avec ce qui restait d’une carcasse d’animal ou de ce que la nature environnante leur offrait.
Indéniablement, l’assiette mondiale a beaucoup à nous apprendre pour nous dépayser.
Une équipe du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine vient de faire une percée importante concernant le syndrome de Sanfilippo de type C, cette maladie dévastatrice qui affecte les jeunes enfants. Ils ont constaté qu’une protéine défectueuse avec une mauvaise malformation causerait la maladie.
Le syndrome de Sanfilippo de type C est une maladie neurologique génétique qui touche les nourrissons et jeunes enfants. Jusqu’à maintenant, aucun traitement ne pouvait soulager la maladie.
Ce syndrome affecte le lysosome, ce compartiment responsable de la dégradation et du recyclage des molécules. Il entraîne une neurodégénérescence chez les tout-petits, ce qui cause un retard mental et souvent la mort avant d’atteindre l’âge adulte.
En effectuant des tests sur des cellules, on a découvert que la glucosamine pourrait corriger partiellement la défectuosité et ainsi améliorer le fonctionnement et retarder la progression de la maladie.
Pour bien des touristes, la France est peut-être l’un des plus beaux pays du monde, mais les Français eux, n’ont pas toujours bonne réputation, surtout en ce qui concerne les Parisiens.
Pour permettre aux touristes d’échanger avec des Parisiens, deux jeunes, Rémi Brichant et Guillaume Giler, âgés respectivement de 25 et 24 ans, ont pris l’initiative d’organiser des rencontres avec les touristes. Ils ont mis sur pied un site Internet où ceux-ci peuvent consulter le calendrier des activités d’échange.
Que ce soit pour jouer une partie de pétanque avec la Tour Eiffel comme décor ou boire un pastis, ces rencontres ont pour objectif d’introduire les voyageurs à la vie parisienne.
En allant sur le site www.EnjoyYourParis.com, les gens sont invités à remplir un petit questionnaire et à choisir les activités qui les intéressent parmi plusieurs catégories comme la culture, la gastronomie, la vie nocturne, le divertissement ou tout simplement, la découverte de Paris.
En seulement quelques mois, le site a permis à plus de 600 visiteurs de découvrir Paris et ses habitants sous un angle beaucoup plus humain.