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Un virus vieux de 30 000 ans effectue son grand retour

C’est en Sibérie que des spécialistes ont fait une importante et étrange découverte, selon ce que rapporte Santé Log et Top Santé, soit celle d’un virus vieux de plusieurs dizaines de milliers d’années.

Il s’agit du Pithovirus, découvert dans le froid et le sol gelé sibérien, qui serait resté bien tranquille et à l’abri des regards et des dangers durant 30 000 ans, jusqu’à ce que des scientifiques français le retrouvent.

L’équipe de chercheurs et de scientifiques du CNRS de Marseille ne cache d’ailleurs pas son enthousiasme, mais aussi son inquiétude face à cette découverte aux allures historiques.

« La démonstration que des virus enfouis dans le sol il y a plus de 30 000 ans peuvent survivre et être encore infectieux suggère que la fonte du pergélisol due au réchauffement climatique et l’exploitation minière et industrielle des régions arctiques pourraient comporter des risques pour la santé publique », explique le spécialiste Jean-Michel Claverie, du CNRS.

En clair, les spécialistes s’inquiètent de voir quelques horreurs antiques revenir nous hanter à mesure que la température globale de la planète augmentera, ce qui n’indique rien de bon.

Les chercheurs du CNRS vont maintenant concentrer leurs travaux afin d’identifier de possibles menaces éventuelles, notamment celle de la variole, disparue depuis 1977.

Les conclusions et les détails de cette découverte par l’équipe marseillaise du CNRS ont été publiés dans les Actes de l’Académie nationale des sciences américaine (PNAS).

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Encore une percée vers le traitement de la calvitie

On vous parlait récemment de cette percée en recherche d’un traitement contre la calvitie, alors que des chercheurs étaient parvenus à créer une « racine de cheveu » en laboratoire.

Or, il semble que cette lancée fasse des petits, et que la quête d’un traitement de la calvitie n’ait jamais semblé aussi encourageante. Une nouvelle percée est en effet rapportée par le Daily Mail (UK), notamment, et semble donner de l’espoir aux chercheurs qui travaillent à la résolution de ce problème qui touche tant d’hommes dans le monde.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, menés par le Dr Xiaowei Xu, qui affirment avoir franchi un pas important dans la restructuration cellulaire des cheveux et qui publient leurs observations dans le magazine Nature Communications.

« C’est la première fois que quiconque parvient à créer un nombre important de cellules souches épithéliales, qui sont capables de générer […] la composante des follicules capillaires », lance le Dr Xu.

Ce dernier et son équipe poursuivront maintenant leurs recherches sur le sujet, et tenteront d’adapter un traitement initial pour entamer des essais sur des sujets humains.

Manifestement, il y a donc plus d’espoir que jamais pour les hommes souffrant de calvitie, un phénomène qui se transmet de génération en génération. 

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Des chercheurs découvrent la fontaine de jouvence

Ce titre peut sembler sensationnaliste, mais s’avère pourtant un bon indicateur de la vérité. En effet, des chercheurs de Harvard et de l’Université New South Wales publient les conclusions issues de leurs travaux et prétendent avoir découvert ni plus ni moins que la fontaine de jouvence!

On apprend des résultats de ces recherches, par ailleurs rapportés par Radio-Canada, qu’un procédé d’inversement du vieillissement testé sur des rongeurs aurait permis à ces derniers de « rajeunir » d’une année et demie.

Cette véritable boîte de Pandore semble prometteuse à bien des égards, surtout pour les amateurs de jeunesse éternelle, mais les chercheurs se gardent bien de faire des projections quant à la possibilité d’utiliser le procédé sur des humains.

Au-delà de l’immortalité ou de la jeunesse éternelle, les propriétés les plus concrètes pourraient toutefois consister en une amélioration de la qualité de vie lors du vieillissement chez l’homme, comme le croît le médecin Luc Bessette.

« Ce qui est intéressant, ce n’est pas la possibilité d’allonger la vie des gens, mais de leur permettre de vieillir plus correctement. On peut penser entre autres à repousser les souffrances des personnes atteintes de maladies dégénératives, comme le Parkinson ou l’Alzheimer. Si on pouvait permettre aux gens de vieillir jusqu’à 75, 80 ans et d’être malades seulement un an ou deux avant de mourir plutôt que 20 ans, ce serait une révolution », lance Bessette, réaliste mais confiant.

Quoi qu’il en soit, ces résultats réussis sur des souris nous propulsent aux portes de l’avenir, et en feront rêver plus d’un…

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Des chercheurs affirment détenir la clé du traitement contre le cancer du pancréas

Le Daily Mail (UK) rapporte les propos et conclusions d’une équipe de chercheurs de la réputée Université Cambridge, qui laissent croire que celle-ci détiendrait la clé d’un éventuel traitement pour venir à bout du cancer du pancréas.

Les chercheurs en question, dont le Dr Douglas Fearon, auraient en effet découvert un procédé et mis au point un médicament répondant au nom d’AMD3100, qui permettrait à l’organisme d’un patient de renforcer le système immunitaire et de placer ce dernier en position d’attaquer la tumeur.

Les essais effectués jusqu’à maintenant sur des souris semblent probants, alors que plusieurs de ces rongeurs-tests auraient été complètement guéris. L’ADM3100 devra maintenant passer les étapes des essais cliniques sur des humains, et l’équipe de Cambridge a bon espoir de réussir une seconde fois.

Si tout se passe bien, le Dr Fearon et ses collègues prévoient que cette percée permettrait de traiter adéquatement les patients atteints du cancer du pancréas d’ici les dix prochaines années.

Le principe démontré par ces chercheurs est le même que celui proposé par plusieurs homologues depuis quelques années, soit celui des fameuses cellules T et de l’immunothérapie.

L’équipe de Cambridge confirme qu’il s’agit d’une avancée et d’une méthode qui pourraient s’appliquer à plusieurs types de cancer, dont ceux des ovaires et du sein, par exemple.

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De l’espoir en matière de traitement de la calvitie?

Des chercheurs basés à l’Université Columbia et à l’Université de Durham persistent et signent dans leurs travaux sur la repousse capillaire, et donc à la lutte à la calvitie, après avoir fait quelques percées intéressantes à l’automne 2013.

L’équipe américaine et britannique avait en effet réussi à faire pousser quelques follicules il y a quelques mois, rapporte Top Santé, sur des souris-tests. L’opération effectuée à partie de cellules humaines est maintenant poussée plus loin, et les spécialistes seraient maintenant parvenus à « cultiver des cellules de papilles dermiques » et à les multiplier.

Le problème repose en majeure partie sur le fait qu’il serait pratiquement impossible de produire de multiples racines de cheveux, sauf que ces récentes percées indiqueraient que les chercheurs pourraient être un jour en mesure de créer des tas de cheveux à partie d’une seule et même racine.

Même si la quête d’un traitement contre la calvitie demeure extrêmement difficile, ces dernières révélations permettent d’entretenir de l’espoir pour les hommes souffrant de calvitie… et leur descendance.

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Le Routard consacre un ouvrage à la découverte du Jura franco-suisse

Les montagnes du Jura, transfrontalières entre la Suisse et la France, font l’objet d’un nouveau guide du Routard tout juste sorti en librairie.

Particularité de cet ouvrage, il détaille les attraits touristiques d’un territoire situé dans deux pays différents, mais dont la forte identité est le point commun.

Les touristes désireux de connaître le Jura y trouveront les conseils du Routard pour découvrir les activités de ski et neige dans les massifs, les parcours de randonnée, les sites naturels et historiques à ne pas manquer ou encore les secrets des produits du terroir à travers les visites des caves d’affinage du Comté ou des vignobles.

Le Routard détaille aussi sa sélection de restaurants, bars et hôtels, ainsi qu’une sélection de manifestations prévues tout au long de l’année.

Ce guide a été réalisé à l’instigation de la Conférence TransJurassienne qui regroupe les régions françaises et suisses du territoire du Jura.

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Des chercheurs observent un lien entre le cancer du côlon et une carence en calcium

Des chercheurs de l’Université du Michigan ont décodé des messages cellulaires qui confirmeraient un lien entre une carence en calcium et le risque de développement du cancer du côlon, selon MedicalNewsToday.

C’est en étudiant le comportement cellulaire du poisson-zèbre que les chercheurs américains sont arrivés à cette conclusion, avant de confirmer cette dernière sur des cellules cancérigènes associées au cancer du côlon.

Menée par le professeur Cunming Duan et son équipe, la recherche a démontré qu’une carence en calcium pouvait ouvrir la porte à certains problèmes, et que même si le corps est étrangement en capacité de s’adapter à une déficience en calcium, il aura besoin de l’élément pour lutter contre les cellules cancérigènes.

« Théoriquement, c’est une possibilité qu’on puisse un jour appliquer ceci sur des humains et bloquer la division des cellules du cancer du côlon », lance Duan.

Le plus étonnant, c’est que le professeur Duan et son équipe ne font pas de recherches sur le cancer, mais plutôt sur les habitudes de développement de l’embryon du poisson-zèbre!

Ce serait une série d’heureux hasards qui aurait permis au professeur de découvrir que la division des cellules est très influencée par les niveaux de calcium d’un organisme, pavant ainsi la voie à de possibles traitements. 

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Un nouveau traitement aux multiples fonctions serait en développement

Top Santé rapporte que des spécialistes français travaillent à l’élaboration d’un nouveau type de médicament possiblement capable de traiter, ou plutôt de prévenir, plusieurs maladies et troubles de la santé simultanément.

Ce médicament découlerait de la découverte d’une molécule bien spéciale appelée LNP 599, capable de freiner le développement du diabète, réduire les risques d’AVC, ralentir la progression de l’obésité et améliorer la santé cardiovasculaire.

Les chercheurs français, basés à Strasbourg, considèrent la molécule comme l’une des plus grandes découvertes médicales potentielles du 21e siècle, après plus de 15 ans de recherche. La particularité de la molécule et du médicament subséquent résiderait dans le fait qu’elle agit sur le système nerveux, et non sur les organes.

« Notre idée était de chercher une espèce de chef d’orchestre qui nous permettrait, en modifiant le rythme de ces régulations par une cible unique de modifier tous les symptômes à la fois. Et nous avons réussi avec cette molécule », lance non sans fierté et avec beaucoup d’optimisme le spécialiste Pascal Bousquet, à la chaîne France 3.

Les essais cliniques se poursuivent, après plusieurs tests concluants sur des rongeurs, et l’équipe française croit pouvoir terminer ses recherches sur ce médicament du futur au cours des prochaines années.

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Des chercheurs découvrent un nouveau code génétique

Des scientifiques et chercheurs ont fait la découverte d’un « nouveau » code génétique de l’ADN humain, une trouvaille incroyable, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

La découverte de ce deuxième code, ou langage, de l’ADN serait celui qui indique les impacts des changements génétiques sur la santé, explique l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington.  

« Depuis quarante ans, nous avons présumé que les changements de l’ADN affectant le code génétique affectaient seulement comment les protéines sont produites. Maintenant, nous savons que cette présomption ratait la moitié du portrait global. Le fait que le code génétique puisse écrire simultanément deux types d’information signifie que les changements qui altèrent les séquences de protéines pourraient causer des maladies en changeant les contrôles génétiques, ou même les deux mécanismes en même temps », tente d’expliquer le Dr John Stamatoyannopoulos, directeur de ces incroyables travaux.

Ces recherches pourraient changer la donne en matière de diagnostic et de traitements de plusieurs maladies, grâce à l’étude et l’analyse de l’ADN d’un sujet donné, et pourraient radicalement changer la compréhension du processus génétique.

Le tout premier code génétique avait été découvert en 1960.

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Delacroix s’expose en Californie autour d’une toile récemment découverte

L’exposition Delacroix and the matter of finish (Delacroix et la question du fini), organisée par le Santa Barbara Museum of Art (SBMA), est présentée dans la ville californienne jusqu’au 26 janvier 2014, avant de rejoindre le musée de Birmingham (Alabama) à partir de février.

Cela fait plus de dix ans que Delacroix (1798-1863) n’avait pas eu les honneurs d’une exposition aux États-Unis, et c’est la découverte d’un tableau du maître dans une famille de Santa Barbara qui en a été le déclencheur.

« J’étais soufflée quand j’ai vu le tableau pour la première fois », raconte à l’AFP Eik Kahng, commissaire de l’exposition. « Ce n’est pas tous les jours que quelqu’un vous appelle pour vous dire qu’il possède un Delacroix. »

La découverte du tableau s’est immédiatement accompagnée d’une nécessaire réflexion sur son authenticité, rendue d’autant plus ardue que le spécialiste mondial et incontesté du peintre, le Britannique Lee Johnson, est décédé en 2006.

Et son monumental catalogue raisonné, publié dans les années 80, ne fait pas mention du tableau de Santa Barbara, dont il ignorait probablement l’existence. C’est donc Mme Kahng, au terme d’une longue étude, qui a authentifié le tableau.

« Il n’y a plus vraiment d’expert de Delacroix du calibre de Lee Johnson, il y a donc un vide à combler », observe-t-elle. « Je ne dis pas que je vais devenir cette personne. J’ai juste été très intéressée par ce tableau en particulier et la possibilité d’établir son authenticité, en me basant sur l’impression qu’il est de trop bonne qualité pour être l’oeuvre d’un élève ».

Ces réflexions sur l’authenticité ont fini par déterminer le sujet même de l’exposition, où les oeuvres de Delacroix sont mises en regard de celles de ses plus proches élèves, Pierre Andrieu (1849-1935) et Louis de Planet (1814-1876), pour montrer « le gouffre » qui les sépare en termes de maîtrise technique.

Mme Kahng ignore encore quel sera le sort du tableau après l’exposition : « Ses propriétaires souhaitent que le public puisse le voir. Il pourrait donc faire l’objet d’un prêt à long terme au SBMA. Mais je ne peux pas l’assurer avec certitude pour l’instant ».