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Une découverte majeure pourrait mener à un traitement contre l’Alzheimer

The National Library of Medicine rapporte une excellente nouvelle en provenance des États-Unis, plus précisément de New York, concernant la lutte à la maladie d’Alzheimer.

Des chercheurs qui travaillent sans relâche à dénicher de nouvelles pistes pouvant mener à un ou des traitements de l’Alzheimer affirment avoir réussi à cerner un processus génétique qui pourrait bien les mener vers une autre découverte majeure.

En fait, c’est le principe des cellules qui « bloquent » le système défensif du cerveau qui a attiré les chercheurs, qui ont voulu en savoir plus.

Ils savent maintenant quels réseaux de gènes, ou de cellules, sont affectés par la maladie, alors que le cerveau tente de se battre pour sa survie.

« Définir les étapes précises de la réponse inflammatoire cruciale au développement de l’Alzheimer était difficile à accomplir. Nous sommes heureux d’avoir découvert ces nouvelles informations dans le processus », lance avec plaisir l’auteur principal de l’étude, Bin Zhang.

La prochaine étape sera de tester la réponse du cerveau et du processus génétique expliqué plus haut, face à différents types de traitements. Les chercheurs semblent optimistes d’effectuer des percées très intéressantes dans un avenir rapproché.

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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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Connaissez-vous le kale?

Si vous ne connaissez pas le kale, un type de chou, vous feriez bien de le découvrir, semble indiquer le magazine Châtelaine.

C’est qu’en plus d’être un légume, le kale serait aussi l’un des aliments les plus bénéfiques pour l’organisme, toutes catégories confondues, selon des experts.

Bourré de nutriments et peu calorique, le kale possède une multitude de propriétés et d’effets qui peuvent contribuer à un corps en pleine santé.

On vante d’abord sa capacité à aider le corps à se débarrasser de ses toxines, en plus d’agir en prévention d’inflammation.

On rapporte aussi ses vertus en matière de prévention de l’ostéoporose, explicable par sa forte teneur en vitamine K, qui agit sur les os.

Ce n’est pas tout! L’épiderme bénéficierait aussi de ce légume, puisqu’il contiendrait de grandes quantités de vitamine A, précieuse pour afficher une belle peau en santé.

En terminant, on ajoute à cela des apports considérables en vitamine C et en fibres solubles, en plus d’une prétendue capacité à prévenir le développement de certains cancers, et vous avez ici l’un des aliments les plus sains et bénéfiques du monde!

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Le ménage du printemps cérébral

On apprend, par l’entremise de Top Santé, qu’il n’y a pas que nous qui avons l’habitude de faire un grand ménage du printemps… notre cerveau aussi!

C’est du moins ce que révèle une étude publiée dans la revue spécialisée Nature Neuroscience, qui dévoile un phénomène fascinant se déroulant au niveau cérébral à l’arrivée du printemps.

Ainsi, notre cerveau « effacerait » des cellules endommagées et préparerait les cellules souches capables de les remplacer à entrer en action. Le procédé est maintenant connu sous le terme d’autophagie.

C’est ce qu’ont constaté les chercheurs de l’Université du Michigan, aux États-Unis, qui sont en tête de cette étude étonnante. Ils ont même trouvé que le phénomène de ménage printanier cérébral observé serait dû à la protéine FIP200, qui permet de procéder à cette véritable mise à jour centrale.

On note par ailleurs que ce processus semble ralentir avec l’âge, ce qui expliquerait en partie pourquoi les gens plus âgés sont enclins à développer des problèmes cognitifs ou de démence.

« Grâce à l’autophagie, les cellules souches neurales peuvent réguler les niveaux des espèces réactives de l’oxygène (ROS) ou radicaux libres qui peuvent s’accumuler dans certaines régions du cerveau et dont des niveaux anormalement élevés peuvent déclencher leur différentiation », résume le professeur Jun-Lin Guan, de l’Université du Michigan.

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Des chercheurs découvrent les « cellules ambulances »

On rapporte, du côté de Top Santé, une découverte étonnante qui permet de comprendre un peu mieux les réactions de l’organisme face à des troubles de santé précis.

Ainsi, des chercheurs basés à Marseille auraient identifié des cellules souches humaines dont on dit qu’elles travaillent comme une ambulance, c’est-à-dire qu’elles s’activent rapidement, en urgence, pour porter secours à l’organisme.

Ces cellules, maintenant connues sous le nom de cellules souches hématopoïétiques (CSH), se diviseraient afin de protéger et renouveler d’autres cellules comme les globules blancs, les globules rouges ainsi que les plaquettes.

« Nous avons découvert qu’une molécule biologique produite en grande quantité par l’organisme lors d’une infection ou d’une inflammation indique le chemin à prendre aux cellules souches », explique la Dre Sandrine Sarrazin, de l’équipe de chercheurs participant à cette découverte incroyable.

On croit pouvoir éventuellement dupliquer, recréer ou à tout le moins encourager ce phénomène, pour aider des patients à se doter d’une meilleure protection naturelle contre diverses maladies tenaces.

On croit aussi que ces recherches pourraient venir en aide aux patients atteints de leucémie, afin de les protéger à la suite d’une greffe de moelle osseuse.

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Percée intéressante dans la lutte à l’Alzheimer et au Parkinson

Santé Log rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter une enzyme bien précise, qui serait en partie responsable du développement de certaines maladies dégénératives comme le Parkinson et l’Alzheimer.

Il s’agit de l’enzyme KMO, qui fait des ravages au cerveau, et que l’on se devait de mieux comprendre avant d’envisager d’aller plus loin dans les recherches de traitements.

Ce serait maintenant chose faite, des chercheurs de plusieurs universités (notamment en Europe) ayant uni leurs forces pour tenter de mieux comprendre et analyser l’enzyme KMO.

Le but est de réussir à stopper l’activité de cette dernière, et ainsi réussir à créer une barrière pour freiner le développement de ces terribles maladies.

Seule ombre au tableau, il faudra maintenant réussir à passer outre la barrière hématoencéphalique du cerveau humain, un défi de taille…

Malgré ce défi et le fait que cette récente découverte n’en soit qu’au stade préliminaire, les chercheurs semblent portés par un vent d’optimisme.

On attend déjà avec impatience les prochaines publications sur le sujet.

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La vitamine D aiderait aussi à la santé pulmonaire

Une récente étude propose de nouvelles vertus à la vitamine D, que l’on sait déjà bénéfique pour les os. Selon cette recherche rapportée par Medical News Today, la vitamine D pourrait aussi aider grandement à améliorer le système respiratoire et les poumons.

En plus de permettre une meilleure respiration, un apport respectable de vitamine D pourrait du même coup protéger contre la tuberculose. Cette maladie est d’ailleurs étrangement en hausse à travers la planète, un phénomène qui n’est pas sans inquiéter plusieurs spécialistes.

L’étude, qui a été publiée dans The Endocrine Society’s Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism (JCEM), explique que le meilleur moyen d’obtenir de bons apports en vitamine D est l’exposition aux rayons du soleil, ainsi qu’un régime alimentaire adéquat.

« La recherche montre clairement une connexion entre les fonctions des poumons et les niveaux de vitamine D dans le sang. Ce lien demeure intact malgré l’âge, le sexe, le poids ou le style de vie des individus », résume l’auteur en chef de l’étude, Chan-Jin Choi.

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Les neurones survivraient à leur propriétaire

C’est une découverte aussi intéressante que troublante que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs ont établi que les neurones du cerveau peuvent vivre, et survivre, souvent bien plus longtemps que l’humain lui-même.

Après avoir tenté diverses expériences sur des rats, les scientifiques de l’Université de Pavie, en Italie, ont découvert que non seulement les neurones ont une capacité de survie après la mort de l’hôte, mais qu’ils pouvaient aussi être « transférés » dans un autre cerveau!

En effet, il appert que ce qu’il serait convenu d’appeler une transplantation neuronale ne relève pas de la fiction, mais qu’il s’agit d’un concept tout à fait réalisable.

« Vous pouvez étendre la durée de vie maximum d’un animal sans vous inquiéter que ses neurones meurent avant la mort de l’animal… (si vous viviez très vieux), vous ne perdriez pas vos neurones, parce que vos neurones n’ont pas une durée de vie limitée », lance le neurochirurgien Lorenzo Magrassi, co-auteur de l’étude en question.

Les applications possibles de ce processus sont pour ainsi dire infinies. Reste à savoir si ces découvertes s’appliquent chez l’Homme, ce que croient les spécialistes.

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Potins

On aurait retrouvé les restes de Freddie Mercury

Le mystère entourant la localisation des restes de Freddie Mercury pourrait avoir été résolu, alors que Female First annonce que le lieu du dernier repos de la star pourrait avoir été découvert.

C’est ce que l’on comprend des nouvelles informations recueillies ainsi que du témoignage d’une source, alors qu’une plaque commémorative qui semble être dédiée au chanteur de Queen a été découverte.

Située dans le cimetière Kensal Green de Londres (West London), la plaque affiche : « En mémoire de Farrokh Bulsara, 5 sept. 1946 – 24 nov. 1991. Pour Être Toujours Près De Toi Avec Tout Mon Amour ».

Le nom, la date de naissance ainsi que celle de la mort du chanteur concordent. La plaque serait signée « M », et on croit qu’il s’agirait de Mary Austin, l’ancienne amoureuse de l’artiste.

Une source vient également confirmer que les gens du coin ont toujours su que les cendres de Freddie Mercury étaient enterrées là-bas.

« Tout le monde sait que Freddie a été incinéré à ce cimetière, mais le mystère demeure quant à savoir où ses cendres ont été déposées. Il s’agit d’une découverte excitante et importante », explique cette même source.

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L’acupuncture pour soulager les allergies

Les gens qui souffrent d’allergies sont nombreux, et ceux-ci savent très bien que parfois, les traitements disponibles ne donnent pas beaucoup de résultats.

À d’autres occasions, le corps réussit à s’habituer aux traitements et ces derniers deviennent progressivement de plus en plus inefficaces.

Voilà qu’une étude allemande sur le sujet propose une solution alternative, rapporte Top Santé. En effet, les spécialistes en tête de ces recherches proposent l’acupuncture comme traitement alternatif des allergies chroniques et tenaces.

Après avoir étudié les cas de 422 sujets aux prises avec différents types d’allergies et démontrant des symptômes, les chercheurs ont découvert que l’acupuncture pouvait bel et bien (bien que parfois de façon minimale) avoir un impact sur leur état.

Deux des trois groupes observés, ceux qui ont eu accès à de l’acupuncture comme traitement partiel ou complet, ont tous témoigné d’un meilleur bilan de santé, et ils ont affirmé ressentir moins de symptômes.

Les chercheurs croient que ces résultats sont plutôt dus à l’effet placebo qu’autre chose, mais ils n’en demeurent pas moins vérifiables.