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Espoir majeur dans le traitement de la maladie d’Alzheimer

Santelog.com rapporte que des chercheurs des NIH (National Institutes of Health) affirment avoir réussi à inverser le processus de la maladie d’Alzheimer chez des souris, pavant ainsi la voie à de nouvelles possibilités de traitement.

C’est toute une nouvelle que cette percée, alors que la maladie d’Alzheimer fait encore et toujours des ravages partout sur la planète.

Les chercheurs auraient utilisé une molécule du nom de TFP5 pour bloquer le signal cérébral qui poserait problème dans les cas de cette maladie, ce qui aurait eu pour effet d’inverser les symptômes communs et de rétablir la mémoire.

Le tout est d’autant plus incroyable que les spécialistes parlent maintenant d’essais cliniques à court terme, c’est-à-dire des tests sur des patients humains.

On ne rapporte pas, ou très peu, d’effets secondaires sur les sujets rongeurs, et on souhaite bien entendu que le modèle soit identique sur l’être humain.

Il s’agit d’un espoir majeur pour toute la population, mais surtout pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie et ceux qui les entourent.

On attend maintenant avec impatience la suite des choses.

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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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Percée majeure dans la lutte à la maladie de Crohn

La maladie de Crohn fait des ravages, notamment parce qu’elle est complexe et difficile à analyser. Les traitements sont donc difficiles pour ce syndrome qui touche, selon les statistiques, 150 personnes sur 100 000.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait aux chercheurs d’avancer dans la quête de traitement, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

En effet, des chercheurs de l’University College London, en Angleterre, ont réussi à identifier plusieurs nouveaux gènes relatifs au développement et à l’hérédité de la maladie. Cette percée porte maintenant le compte des gènes identifiables liés à la maladie de Crohn à 200.

« La découverte de tant de gènes et de leur localisation s’avère une étape importante dans la compréhension de la maladie, qui possède une base génétique très compliquée. Nous souhaitons que la méthode utilisée ici puisse servir à identifier les gènes d’autres maladies aussi complexes, par exemple dans le cas de certains cancers et du diabète », exprime le Dr Nikolas Maniatis, auteur en chef de l’étude.

Il s’agit donc d’une bonne nouvelle, non seulement concernant la lutte à la maladie de Crohn, mais qui s’applique à plusieurs autres maladies et problèmes de santé chroniques.

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Le Roquefort : fontaine de jouvence?

Revirement de situation dans le cas du Roquefort, ce fromage gras, lourd et bleu, souvent déconseillé dans le cadre d’un régime alimentaire sain.

C’est que selon topsante.com, des chercheurs britanniques viennent de découvrir que le fameux fromage français possède des propriétés qui empêchent le vieillissement prématuré.

Le Roquefort, une fontaine de jouvence? Le mot est fort, mais il semble que ses vertus soient vérifiables. Si cela semble étrange pour certains spécialistes, notamment pour sa grande teneur en gras, cela pourrait expliquer notamment l’espérance de vie plus longue que la moyenne chez certaines Françaises amatrices de ce produit.

La durée de vie des Françaises, en moyenne, est de 84 ans.

Les chercheurs britanniques de Cambridge cherchaient d’abord à expliquer cet écart de longévité avec plusieurs autres peuples. Le vin rouge n’étant pas la réponse absolue, ils se sont tournés vers d’autres produits et aliments consommés massivement par les Français.

Le Roquefort s’est démarqué des autres, notamment par ses vertus anti-inflammatoires. Il appert également que malgré un taux de lipides élevé, le fromage ne serait pas néfaste pour la santé cardiaque.

Le fromage bleu reprend donc ses lettres de noblesse, au point où les chercheurs, qui ont baptisé le phénomène French Paradox, suggèrent à l’industrie cosmétique d’analyser les propriétés anti-âge du fameux fromage.

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Importante découverte en matière de réanimation (RCR)

On croyait bien que les techniques de RCR (réanimation) étaient coulées dans le béton, c’est-à-dire qu’on ne pourrait pas vraiment les améliorer. Il semblait que la technique enseignée dans tous les cours de premiers soins prévaudrait.

Il semble toutefois que tout cela soit sur le point de changer, alors que plusieurs études viennent mettre en doute l’utilité du bouche-à-bouche lors des manœuvres de réanimation.

La plus récente en date est celle publiée dans la nouvelle édition du Journal of American College of Cardiology (JACC), rapportée par santelog.com, qui parle de taux de survie clairement plus élevé lorsque le RCR est pratiqué sans bouche-à-bouche.

On prône donc maintenant des manœuvres de compressions thoraciques uniquement, les spécialistes affirmant qu’ils sont en train de constater des hausses dans les taux de survie lorsque le bouche-à-bouche n’est plus dans le processus. On parle même de taux qui sont passés, dans certains cas, de 18 à 38 %!

On explique que dans les dix premières minutes d’un arrêt cardiaque, la compression thoracique permet d’imiter les battements du cœur et donc de maintenir le flux sanguin. L’aspect de l’aide respiratoire (bouche-à-bouche) ne serait pas prioritaire dans les tout premiers soins.

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Nouvelle stratégie pour combattre efficacement l’influenza et l’inflammation

Des chercheurs auraient trouvé une nouvelle technique pour contrer les effets de l’influenza, mieux connue sous le nom de virus de la grippe, et ses possibles complications.

Même si une grippe n’est souvent pas mortelle pour celui qui la contracte, elle peut apporter son lot de désagréments et de complications qui peuvent rapidement dégénérer. Plusieurs ont sans doute vécu le phénomène d’une grippe qui s’aggrave au point de former une bronchite ou une pneumonie, par exemple.

C’est que le corps humain répond à la présence du virus par le système immunitaire, ce qui peut parfois mener à une inflammation (des poumons, entre autres).

Voilà que des chercheurs de l’INRA affirment être en mesure de régler le problème « à la source », après avoir isolé et supprimé la protéine PAR1 chez des souris. Cette protéine serait à l’origine du processus qui mène à une inflammation, rassemblant toutes les cellules inflammatoires au site de l’infection, selon ce qu’explique santelog.com.

Les chercheurs auraient donc réussi à protéger complètement les rongeurs d’une possible infection, ce qui permet de croire que le processus s’appliquerait aussi sur l’humain.

En supprimant PAR1, on s’attaque à la cellule hôte au lieu du virus en tant que tel. Une percée majeure qui pourrait mener à de nouveaux traitements efficaces, ce qui remonte le moral des chercheurs avec l’arrivée de nouvelles souches modernes et plus agressives de l’influenza.

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Les rats et l’effet placebo

Une nouvelle étude arrive à la conclusion que les rats peuvent également ressentir le fameux effet placebo que l’on croyait réservé au complexe cerveau humain.

Des chercheurs de l’Université de Floride affirment qu’ils sont parvenus à prouver que les rats sont également réceptifs à l’effet placebo, annonce www.nlm.nih.gov.

L’effet placebo se décrit comme étant une « réaction positive à un faux traitement », ce qu’aurait vécu un groupe de rongeurs. Le cas échéant, ceci pourrait mener à de nouvelles stratégies efficaces en matière de traitement de plusieurs maladies graves.

« C’est ça, la grosse découverte… que les animaux qui s’attendaient à être soulagés de leur douleur l’ont été en ne recevant qu’une substance inerte, dans ce cas-ci de l’eau saline. Ça aide à valider notre modèle qui prône que ce que nous faisons aux rats peut se transposer chez l’humain », déclarait John Neubert, professeur et spécialiste de la douleur du département de dentisterie de l’Université de Floride.

L’étude, d’une durée de deux ans, comparait les réactions obtenues chez les rats en leur administrant soit des antidouleurs (comme de la morphine), soit de l’eau saline.

Au final, les rats qui avaient reçu de la morphine et à qui on administrait ensuite de l’eau saline ressentaient tout de même le soulagement attendu.

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Bientôt de meilleurs traitements contre les commotions cérébrales?

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait une découverte qui pourrait bien améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de commotion cérébrale.

En effet, des spécialistes affirment qu’ils ont décelé des changements au niveau du cerveau, observables dans les cas de commotion cérébrale, et qui pourraient faire progresser la façon de faire dans des cas de complications postcommotion, notamment.

L’étude, qui compile ces résultats, a été publiée dans le journal Radiology et fait état de tests effectués sur 23 patients aux prises avec une commotion cérébrale (ou en complication postcommotion), et sur 18 patients en parfaite santé.

Il appert qu’une commotion cérébrale influencerait des zones-clés du cerveau, celles-là mêmes qui place l’organisme en état de repos. Lors d’une commotion, les mêmes zones seraient influencées, plaçant le corps dans ce que l’on appelle « l’état de base réseau » (default-mode network). Ce dernier définit l’état d’une personne en repos, ou lorsqu’elle « part dans la lune ».

On constate que les conséquences d’une commotion sont vérifiables dans ces mêmes zones cérébrales, altérant le système réseau mentionné ci-haut. On constaterait le même genre d’altération chez les gens souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs croient qu’une amélioration des traitements est envisageable à la suite de cette découverte.

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Une forme héréditaire d’Alzheimer détectable rapidement

Santelog.com rapporte que des chercheurs croient pouvoir détecter la maladie d’Alzheimer, dans sa forme héréditaire, chez un patient dès l’âge de 18 ans!

Certains signaux seraient identifiables au cerveau, ceux-là mêmes qui sont à blâmer pour les pertes de mémoire éventuelles, et même la démence.

Ceci permettrait de détecter la maladie très tôt chez un patient, voire quelques décennies avant que les symptômes fassent leur apparition.

C’est en comparant les données relevées lors de tests sanguins et de numérisations du cerveau, entre de jeunes patients porteurs de la maladie et d’autres qui n’en étaient pas atteints, que les chercheurs sont arrivés à ces conclusions.

On a répertorié, chez les jeunes patients atteints, des niveaux plus élevés de l’amyloïde B1-42 dans le sang et dans le cerveau (liquide céphalo-rachidien) que chez les autres. Aussi, des zones différentes du cerveau des patients se sont activées lors de tests de mémoire.

D’autres observations ont été faites, ce qui confirmerait que des différences de structure sont observables chez des patients aussi jeunes que 18 ans. Ceci pourrait aider à prévenir la progression de la maladie, avec une détection précoce.

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Québec Kerouac 2012 – Du 21 au 25 novembre

Les amateurs de littérature ou de Jack Kerouac sont conviés dans la Vieille Capitale en novembre! C’est que la ville accueille l’événement Québec Kerouac 2012, du 21 au 25, qui souligne le 90e anniversaire de naissance du célèbre auteur de On The Road.

De plus, cette année marque également le 25e anniversaire de la Rencontre internationale Jack Kerouac, un événement qui avait aussi eu lieu dans la capitale provinciale, en 1987.

www.quebecregion.com décrit Québec Kerouac 2012 comme un événement « multidisciplinaire », alors qu’artistes et conférenciers viendront échanger avec les nombreuses personnes attendues sur place, dont le légendaire chanteur de jazz américain Mark Murphy.

Ces ateliers, activités et conférences se tiendront un peu partout dans la ville, dont au Cabaret du Capitole, au Largo Resto-Club, à la salle Méduse (danse) et au Musée National des Beaux-Arts du Québec.

Québec Kerouac 2012 est présenté en marge du Festival de Jazz de Québec, qui propose une foule d’activités.

Pour obtenir des renseignements sur cet événement, il est possible de contacter l’organisation au 418 977-9455 ou en visitant le site internet.

À noter également que On The Road a été porté à l’écran, avec Kristen Stewart (Twilight) dans l’un des rôles principaux.