C’est par la récipiendaire d’un Oscar, Jane Campion (The Piano) que The Power of the Dog a été réalisé et Roger Frappier a chaussé ses fidèles chaussures de producteur. Le long métrage qui met en vedette Benedict Cumberbatch, Kirsten Dunst et Iain Canning paraîtra sur Netflix le 1er décembre prochain et nous avons l’impression qu’il pourrait se rendre dans la prestigieuse liste des films de l’année pour la cérémonie des Oscars en 2022. Rien de moins!
L’histoire tourne autour de « l’éleveur charismatique Phil Burbank (Benedict Cumberbatch) [qui] inspire la peur à ceux qui l’entourent. Lorsque son frère ramène à la maison une nouvelle épouse et son fils, Phil les tourmente jusqu’à ce qu’il se retrouve exposé à la possibilité de l’amour ».
Un genre de Brokeback Mountain aux allures de Call me by Your Name, peut-être? C’est ce à quoi l’histoire nous fait penser, mais avec un côté un peu plus sombre, et on va se le dire, ça promet!
Pour ceux et celles qui ne connaissent pas Roger Frappier, laissez-nous rapidement vous résumer son CV : La grande séduction, Bordeline, Liverpool, Ville-Marie, Marécages, Dédé à travers les brumes et une trentaine d’autres films et documentaires d’ici et d’ailleurs.
Monsieur Frappier porte assurément le titre d’un des plus grands producteurs à succès d’ici et mérite tout le succès duquel il jouit.
Son plus récent film, The Power of the Dog a été présenté au Venice International Film Festival et au Tiff de Toronto et a été acclamé par le public et par la critique.
C’est donc tout un accomplissement pour le québécois, d’autant plus que le 1er décembre prochain nous aurons le bonheur de voir son plus récent chef d’oeuvre sur Netflix!
Bravo!
