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Les cellules souches à la rescousse des coeurs malades

92 sujets ayant en moyenne 63 ans ont participé à un essai clinique sur les greffes de cellules souches sur le cœur, afin de traiter les défaillances cardiaques chroniques qui rendent le cœur incapable de pomper suffisamment de sang.
                       
Tous les participants avaient aussi un dysfonctionnement du ventricule gauche.
 
Les résultats, présentés à la Conférence de l’American College of Cardiology, démontrent que les personnes qui ont reçu des cellules souches de leur moelle osseuse ont vu une amélioration de 2,7 % du volume de sang repoussé du ventricule gauche.
 
Les plus jeunes avaient obtenu de meilleurs résultats, car ils ont plus de cellules souches dans leur moelle osseuse.
 
« Les résultats de cet essai clinique établissent une base solide pour mener d’autres recherches sur le lien entre la moelle osseuse, les caractéristiques des cellules souches et l’amélioration de l’état des patients », mentionne le Dr Emerson Perin.
 
L’étude, effectuée entre 2009 et 2011, a été la plus importante du genre jusqu’à présent.
 
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Une hormone pour prévenir les défaillances cardiaques

Les travaux menés par le Dr John Teerlonk, de l’Université de Californie à San Francisco, l’amènent à conclure que la relaxine, une hormone sécrétée par les ovaires lors de l’accouchement, est efficace pour traiter les défaillances cardiaques sévères.

Selon M. Teerlonk, l’hormone facilite la respiration du patient, en plus de réduire la durée d’hospitalisation liée à son état.

« Plus de 90 % des patients souffrant de défaillance cardiaque sévère perde leur souffle et, pour leur grande majorité, c’est la raison qui les conduit aux urgences. De ce fait, une amélioration de ce symptôme est importante et constitue un objectif clinique légitime dans les soins de la défaillance cardiaque », a mentionné le chercheur.

234 adultes ont participé à cette recherche et la moitié d’entre eux a été traitée à la relaxine. Le taux d’hospitalisation était de 3 % chez ces derniers, tandis qu’il était de 17 % chez les sujets n’ayant pas consommé l’hormone.