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Des chercheurs observent un lien entre le cancer du côlon et une carence en calcium

Des chercheurs de l’Université du Michigan ont décodé des messages cellulaires qui confirmeraient un lien entre une carence en calcium et le risque de développement du cancer du côlon, selon MedicalNewsToday.

C’est en étudiant le comportement cellulaire du poisson-zèbre que les chercheurs américains sont arrivés à cette conclusion, avant de confirmer cette dernière sur des cellules cancérigènes associées au cancer du côlon.

Menée par le professeur Cunming Duan et son équipe, la recherche a démontré qu’une carence en calcium pouvait ouvrir la porte à certains problèmes, et que même si le corps est étrangement en capacité de s’adapter à une déficience en calcium, il aura besoin de l’élément pour lutter contre les cellules cancérigènes.

« Théoriquement, c’est une possibilité qu’on puisse un jour appliquer ceci sur des humains et bloquer la division des cellules du cancer du côlon », lance Duan.

Le plus étonnant, c’est que le professeur Duan et son équipe ne font pas de recherches sur le cancer, mais plutôt sur les habitudes de développement de l’embryon du poisson-zèbre!

Ce serait une série d’heureux hasards qui aurait permis au professeur de découvrir que la division des cellules est très influencée par les niveaux de calcium d’un organisme, pavant ainsi la voie à de possibles traitements. 

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L’utilisation à long terme d’antiacides liée à une carence en B12

Les gens qui ont recours aux antiacides pour contrer leurs maux d’estomac pourraient faire face à une carence en vitamine B12, selon ce que rapporte MedicalNewsToday.

C’est ce que révèle une recherche sur l’utilisation à long terme de ces produits vendus pour contrer les maux liés au reflux d’acidité, un phénomène somme toute assez répandu. Les personnes qui utilisent les antiacides depuis une certaine période de temps devraient donc être vigilantes à cette possible carence en B12, une vitamine nécessaire au maintien et au bon fonctionnement du système nerveux (cerveau, nerfs, etc.).

« Une déficience en B12 est relativement commune, spécialement chez les adultes plus vieux. Elle comprend cependant plusieurs complications médicales potentielles, si elle s’avère non diagnostiquée », expliquent les chercheurs californiens en tête de cette recherche.

Les consommateurs d’antiacides depuis plus de deux ans devraient donc considérer la prise de suppléments de vitamine B12, mais comme pour toute prise de suppléments, non sans avoir d’abord consulté un médecin.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine JAMA.

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Des carences en vitamine D beaucoup trop communes

La plupart des patients hospitalisés pour des fractures présentent des carences évidentes en vitamine D, selon les spécialistes, ce qui fait dire à ces derniers que ce problème en est un largement généralisé.

Et peu importe l’âge, peut-on déduire des statistiques publiées par l’Université du Missouri et rapportées par The National Library of Medicine, alors que même des patients âgés de 18 à 25 ans présentent cette carence.

« Une découverte intéressante de cette étude est que la déficience en vitamine D est observable chez des patients de tous âges. Plus de recherches sont nécessaires pour démontrer clairement si la vitamine D peut réduire le risque de fracture, mais nous savons qu’elle est nécessaire pour réparer les dommages aux os », résume Brett Crist, un professeur de l’Université du Missouri qui n’hésite pas à suggérer du même souffle la prescription de vitamine D à titre préventif chez la plupart des patients.

Seul bémol : des problèmes de santé sont associés à une trop forte teneur en vitamine D dans l’organisme, par exemple des maladies rénales ou encore le cancer.

On suggère donc fortement d’avoir une discussion ouverte avec son médecin praticien avant de se lancer dans la consommation de suppléments de vitamine D.

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Un médicament contre le psoriasis pourrait être utilisé dans des cas d’Alzheimer

C’est une nouvelle stupéfiante que nous rapporte Santelog.com, alors que des chercheurs de Zurich prétendent pouvoir faire un lien entre un médicament utilisé contre le psoriasis et la maladie d’Alzheimer.

C’est que ce traitement pourrait aussi être utilisé pour contrer les effets de la terrible maladie d’Alzheimer, pour laquelle on cherche toujours activement des traitements efficaces.

Ces conclusions ont été publiées dans le magazine Nature Medicine et révèlent que les chercheurs de l’Université de Zurich ont effectué sur des animaux des tests qui leur permettent de croire au double effet du médicament.

De plus, vu la composition du traitement en question (l’ustekinumab, aussi appelé Stelara), ces conclusions vont de pair avec la théorie qui veut que le développement de la démence soit encouragé par un système immunitaire déficient.

Plusieurs autres études et tests seront effectués sur le sujet, mais les données enregistrées sur des souris permettent de croire que ce type de traitement peut « bloquer » la progression de la maladie d’Alzheimer.

Le même processus pourrait aussi s’appliquer sur des patients souffrant de déficience cognitive légère, ce qui s’avère une excellente nouvelle.

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La vitamine D préviendrait un virus respiratoire

Une étude parue dans Pediatrics a démontré que la vitamine D protégerait les enfants du virus respiratoire syncytial, le VRS.

Ce virus constitue la cause première des infections respiratoires chez les jeunes enfants. Dans la majeure partie des cas, il affecte des bébés de moins de deux ans et il est très contagieux.
 
L’étude en question a porté sur l’analyse de la concentration de vitamine D dans le sang du cordon ombilical de 156 nouveau-nés des Pays-Bas. On a remarqué qu’une déficience de cette vitamine engendrait de plus grands risques de contraction du VRS.
 
Précisément, les bébés qui venaient au monde avec une déficience en vitamine D étaient six fois plus exposés au virus respiratoire que ceux qui présentaient un taux plus élevé.
 
De plus, les chercheurs ont noté que 54 % des bébés en santé naissaient avec une carence en vitamine D et que 12 % des enfants étaient atteints du VRS durant leurs 12 premiers mois de vie.

On recommande finalement que de prochaines études portent sur les effets des suppléments de vitamine D pendant la grossesse quant aux risques de virus respiratoire syncytial chez les bébés.

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Plusieurs déficiences pour les bébés prématurés

Une recherche effectuée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), en France, démontre que les prématurés ont près de 40 % plus de risques de souffrir de déficiences intellectuelles, motrices ou sensorielles lors de leur développement.

Les premiers signes sont apparents dès l’âge de 5 ans, alors que l’on observe que 42 % des enfants nés entre 24 et 28 semaines de grossesse et 31 % de ceux nés entre 29 et 32 semaines ont besoin d’une aide spécialisée, contre 16 % chez les bébés nés à terme.

Chez 9 % des prématurés, on observe une paralysie cérébrale ou encore des difficultés sévères à marcher.

Pour cette étude, les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de 1 817 bébés nés avant la fin du 7e mois de grossesse, ce qui équivaut à 33 semaines de grossesse, et ceux de 396 bébés nés à terme.

Depuis plusieurs années, le taux de naissances avant terme ne cesse d’augmenter, ce qui inquiète la Dre Béatrice Larroque, de l’INSERM : « Chaque semaine de grossesse en plus permet de réduire le risque de déficience. »