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Tim Hortons lance un beigne spécial ce week-end seulement et les fonds iront à une bonne cause!

Depuis le début de la pandémie, la population entière se trouve à être privée ou limitée de contacts sociaux. En effet, on a tous dû rester confinés, mais les gens présentant des besoins spéciaux sont parmi les plus touchés par ce phénomène.

Afin de contribuer à la cause de l’inclusion des personnes aux besoins particuliers, la populaire chaîne Tim Hortons s’est associée une fois de plus à Olympiques spéciaux Canada pour créer un beigne coloré. Du 28 au 30 janvier, vous pourrez vous procurer le beigne #ChoisirDInclure, dont la totalité des ventes ira directement à l’organisme qui soutient les athlètes canadiens présentant des déficiences intellectuelles.

La pâtisserie en question a l’air complètement alléchante; elle consiste en un anneau de gâteau au chocolat nappé d’un fondant blanc, de vermicelles et le beigne est garni d’une onctueuse crème fouettée. C’est donc le munchies parfait à déguster en fin de semaine!

Ce partenariat entre Tim Hortons et Olympiques spéciaux Canada est bien plus qu’une simple alliance; les fonds amassés serviront à aider plus de 41 000 athlètes ayant une déficience intellectuelle à reprendre le sport de façon sécuritaire dans le contexte de pandémie dans lequel nous vivons.

Comme l’explique la chef de la direction d’Olympiques spéciaux Canada Sharon Bollenbach: « Les personnes vivant avec une déficience intellectuelle sont touchées par la pandémie de façon disproportionnée. L’accès limité aux activités physiques et sociales joue un rôle important dans les défis auxquels fait face notre collectivité. L’achat de chaque beigne Choisir d’inclure change les choses, et nous espérons que les Canadiens participeront à cette initiative. »

C’est donc un geste significatif que de contribuer à la cause en achetant ce beigne alléchant dans les Tim Hortons du Canada du 28 au 30 janvier prochain. En effet, vous contribuerez à l’inclusion de milliers de sportifs qui désirent reprendre leur discipline et un train de vie plus normal.

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Mutation d’un gène qui expliquerait divers troubles du cerveau chez les enfants

On estime que jusqu’à 4 % de la population mondiale est atteinte de déficience intellectuelle, et 2 % de tous les Australiens. L’une des façons dont survient le trouble mental est via la mutation génétique, causant des problèmes de développement du cerveau du fœtus.

Dans la présente recherche, publiée dans la revue spécialisée Human Molecular Genetics, les scientifiques prouvent que le gène TUBB5 est essentiel pour un fonctionnement sain du cerveau. Lorsqu’il y a mutation de celui-ci, responsable du réseautage de nouveaux neurones, le cerveau est endommagé, et les messages envoyés et reçus se détériorent.

Selon la responsable de l’étude, Dre Julian Heng, de l’Australian Regenerative Medicine Institute (ARMI) à l’Université Monash, le TUBB5 pourrait être responsable de nombreux troubles intellectuels et moteurs.

L’origine de cette découverte remonte à 2012, rapporte Medical News Today. Les chercheurs ont associé le gène défectueux à 3 cas majeurs d’enfants atteints d’une rare maladie du cerveau, la microcéphalie.

Selon Heng, en effectuant d’autres recherches, les scientifiques seraient en mesure de « réparer ces mutations ». Celles-ci pourraient même être l’une des causes de l’autisme.

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Causes familiales de l’autisme

Il semble que le sexe du bébé, l’âge des parents, l’ethnie de la mère et le niveau d’éducation de cette dernière sont autant de facteurs de risque de l’apparition de l’autisme ou d’une déficience intellectuelle chez l’enfant.

Des chercheurs de l’University of Utah ont présenté ces nouvelles découvertes dans Autism Research, lesquelles contredisent quelques autres précédentes. Par exemple, selon eux, le revenu familial ne peut être associé avec l’autisme ou la déficience intellectuelle.

Entre autres, on peut lire dans cette étude que les enfants qui souffrent à la fois d’une déficience et de l’autisme sont plus souvent des garçons et ont plus tendance à naître d’une mère âgée de plus de 34 ans.

D’un autre côté, une déficience intellectuelle sans trouble autiste toucherait de manière plus importante des enfants dont le père a plus de 34 ans. À l’inverse, les enfants dont la mère a plus de 13 années d’éducation seraient moins touchés par cette réalité.

Cette étude se veut une piste d’exploration des possibles variables et de leurs combinaisons qui pourraient augmenter le risque de développement de l’autisme.

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La déficience intellectuelle liée à une mutation génétique

Le magazine Science publie une étude, menée à l’Université de Strasbourg en France, qui révèle qu’une mutation génétique serait liée à la déficience intellectuelle.
 
En fait, les chercheurs ont découvert que la mutation MED23 affecte le fonctionnement des gènes qui permettent au cerveau de se développer, de murir et de s’adapter. Le fonctionnement des neurones est alors freiné.
 
40 % des cas de déficience intellectuelle sont d’origine inconnue jusqu’à présent, alors que 40 % sont d’origine génétique et 20 % sont attribuables à des facteurs environnementaux.
 
Au Québec, 235 000 personnes sont touchées par la déficience intellectuelle. Ce dysfonctionnement touche en tout 3 % de la population générale.
 
Les recherches dans ce domaine ne cessent de présenter des découvertes, parfois même insoupçonnées.
 
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Bienfaits des livres chez les jeunes déficients intellectuels

On apprend sur Medical News Today qu’une récente étude américaine a permis de faire un constat des plus étonnant. Il semble que les livres ne comprenant pas de mots ont un effet notable sur le vocabulaire et les capacités de lecture des jeunes enfants vivant avec une déficience intellectuelle.

Pour en venir à ce constat, on a évalué les mots qu’employait une mère en regardant un livre en images avec son enfant, puis on les a comparés à ceux qu’elle disait lorsqu’un livre avec texte était lu.
 
Lorsqu’il s’agissait d’un livre sans mots, un langage et une interaction plus complexes étaient constatés. Quand on doit recréer une histoire ou que l’on décrit une image, on utilise plus de mots et on formule des structures de phrases plus élaborées afin de créer une interaction avec notre enfant.

On était plutôt porté à croire le contraire jusqu’ici. Pourtant, les chercheurs attestent qu’un parent a plus tendance à encourager la communication avec son enfant lorsqu’il n’a pas à lire un texte.